La Meditation Nietzsche

7 c. La vertu, c’est le bonheur 7 d. Être conscient des maux qui nous guettent 7 e. Conclusion 8 2. Un Stoïcien original : Spinoza 8 C. Le pessimisme 10 1. Schopenhauer 10 2. Bouddhisme 11 3. Christianisme 11 D. La sublimation 11 1. Platon 11 2. Nietzsche 12 3. Freud 13 II. Bonheur et temps 14 A. Le bonheur se distingue du plaisir par sa durée 14 B. Il faut chercher le bonheur dans l’instant présent 14 1. L’espoir nous empêche d’être heureux (Pascal) 14 2. Le désespoir est la clef du bonheur (Comte-Sponville)

7 c. La vertu, c’est le bonheur 7 d. Être conscient des maux qui nous guettent 7 e. Conclusion 8 2. Un Stoïcien original : Spinoza 8 C. Le pessimisme 10 1. Schopenhauer 10 2. Bouddhisme 11 3. Christianisme 11 D. La sublimation 11 1. Platon 11 2. Nietzsche 12 3. Freud 13 II. Bonheur et temps 14 A. Le bonheur se distingue du plaisir par sa durée 14 B. Il faut chercher le bonheur dans l’instant présent 14 1. L’espoir nous empêche d’être heureux (Pascal) 14 2. Le désespoir est la clef du bonheur (Comte-Sponville)

2. Conséquences existentielles (Schopenhauer) 5 3. Toute chose s’efforce de persévérer dans son être (Spinoza) 6 4. Tout est volonté de puissance (Nietzsche) 6 5. Le désir d’immortalité et d’éternité (Platon) 6 C. La mort 7 1. La structure kamikaze du désir 7 2. L’agressivité introjectée (Nietzsche) 8 3. La nature conservatrice des pulsions (Freud) 8 4. Le plaisir de se perdre 8 Conclusion : l’indétermination du désir 9 II. Le désir de

phylogénétique (Darwin) 5 2. Conséquences existentielles (Schopenhauer) 5 3. Toute chose s’efforce de persévérer dans son être (Spinoza) 6 4. Tout est volonté de puissance (Nietzsche) 6 5. Le désir d’immortalité et d’éternité (Platon) 6 C. La mort 7 1. La structure kamikaze du désir 7 2. L’agressivité introjectée (Nietzsche) 8 3. La nature conservatrice des pulsions (Freud) 8 4. Le plaisir de se perdre 8 Conclusion : l’indétermination du désir 9 II. Le désir de l’autre 10 A. Le désir mimétique

esprits étroits qui se tiennent obstinément à un même point de vue. Une société n’est forte qu’à la condition de reconnaître le fait des supériorités naturelles. Elle est celle de la race qui domine. Réaction allemande contre l’intellectualisme : Nietzsche étudie la crise des sociétés occidentales. Il condamne le nivellement progressif des valeurs d’où résulte la dégradation de l’énergie. L’élément de la décadence, c’est la démocratie, le pacifisme et le socialisme. Thomas Mann oppose la culture (vraie

Telle est la première condition en tout art, comme la parenté des mots artiste et artisan le fait bien entendre; mais une réflexion suivie sur la nature de l'imagination conduit bien plus sûrement à cette importante idée, d'après laquelle toute méditation sans objet réel est nécessairement stérile. Pense ton œuvre, oui, certes; mais on ne pense que ce qui est: fais ton œuvre. Puisqu'il est évident que l'inspiration ne forme rien sans matière, il faut donc à l'artiste, à l'origine des arts et toujours

JPS oppose le coté mécanique du corps au besoin d’entretien et de réflexion que demande la pensée  « La pensée c’est moi qui la continue, qui la déroule » (L41). C’est le dualisme mis en évidence par Descartes dans Les Méditations métaphysiques. [Transition] Donc si dans la 1ère partie du texte, AR semble être réduit par un corps, il s’en désaliène en pensant. b) Existence et pensée Pourtant, AR semble avoir du mal à maitriser ses pensées : il semble les subir avec désintérêt

psychologique. . Le 19ème siècle (siècle positiviste) a peut être cru trop facilement s’en débarrasser, l’attitude religieuse ressurgit peut être de façon dégradée au travers de formes nouvelles : sectes, scientismes, « religions sociales » ==< voir ici Nietzsche dans la partie critique. - Eliade distinguait religions transcendantes et religions immanentes(communisme, fascisme, religions sociales). 4- Les rites. . Ce sont des pratiques collectives et/ou individuelles qui manifestent extérieurement

Approche phylogénétique (Darwin) 5 2. Conséquences existentielles (Schopenhauer) 5 3. Toute chose s’efforce de persévérer dans son être (Spinoza) 6 4. Tout est volonté de puissance (Nietzsche) 6 5. Le désir d’immortalité et d’éternité (Platon) 6 C. La mort 7 1. La structure kamikaze du désir 7 2. L’agressivité introjectée (Nietzsche) 8 3. La nature conservatrice des pulsions (Freud) 8 4. Le plaisir de se perdre 8 Conclusion : l’indétermination du désir 9 II. Le désir de l’autre 10 A. Le désir mimétique (Spinoza)

de vaincre ses angoisses et de trouver son salut. Salut différent du salut religieux de par le fait que celui-ci s'obtient par la raison plutôt que par la foi en un être transcendant. Toutes les grandes visions philosophiques de Platon jusqu'à Nietzsche et ce, sans exception aucune n’est une tentative grandiose pour aider les humains à accéder a une « vie bonne » en surmontant les peurs et les « passions tristes », qui les empêchent de bien vivre, d'être libre, lucides et, si possible, sereins