La Maison Vide

fond, une maison composée d’un rez de- chaussée et d’un étage. Au rez-de-chaussée, la devanture d’une épicerie. On y entre par une porte vitrée qui surmonte deux ou trois marches. Au-dessus de la devanture est écrit en caractères très visibles le mot : « EPICERIE ». Au premier étage, deux fenêtres qui doivent être celles du logement des épiciers. L’épicerie se trouve donc dans le fond du plateau, mais assez sur la gauche, pas loin des coulisses. On aperçoit, au-dessus de la maison de l’épicerie

la terre. » (p.55) -« Les deux femmes les servaient, remplissaient les assiettes vide, apportant le grand plat de lard et de pomme de terre bouillies, versant le thé chaud dans les tasses. » (p.57) * Explication : D’après ces deux citations on peut dire que chaque membre de la famille a son rôle ; les hommes travaillent dans les champs et les femmes s’occupent de la maison et préparent la nourriture alors ils s’aident entre eux et ils forment une famille unie. * I.S2-Maria

également, et remonte le balai et les deux extincteurs dans le bureau. Maria remonte se remet à la fenetre mais là s’amuse à se suspendre pas les bras dans le vide, en me disant qu’elle veut sortir, que si je ne lui ouvre pas la porte elle sautera par la fenetre, je lui demande de remonter que nous allons en discuter. Accompagné de la maitresse de maison nous essayons de la raisonner mais cela devient de plus en plus compliqué. Elle se met a tremblé et pleurer en me suppliant de la laisser sortir, que maintenant

air à triples-croches Mais avez-vous le mot         Eh ! oui le mot fatal Aux créneaux Aux créneaux Laissez là les pioches Comme un astre éperdu qui cherche ses saisons Cœur obus éclaté tu sifflais ta romance Et tes mille soleils ont vidé les caissons Que les dieux de mes yeux remplissent en silence Nous vous aimons ô vie et nous vous agaçons Les obus miaulaient un amour à mourir Un amour qui se meurt est plus doux que les autres Ton souffle nage au fleuve où le sang va tarir

Antoine AGUER Groupe 4 22 mai 2013 EFREI Culture et Communication « Et si j'étais un écrivain ? » 2013 Le mystère de la salle de bain jaune Le mystère de la salle de bain jaune. Me voilà déjà seul dans cette grande maison typiquement anglaise de la banlieue de Stafford en Angleterre, décorée avec des éléments aléatoirement choisi venus des quatre coins du monde. Je ne sais que très peu de chose sur mon hôte, qui au bout d'une dizaine de jours a fait ses valises pour une petite virée de deux

qu’il a su qu’elle était enceinte. La fille a étudié dans son pauvre village, mais elle a quitte l’école pour rester a la maison et veillée sur sa vielle mere.Elles étaient pauvres de tel sorte qu’elle ne trouvait rien à manger. Tous les matins la jeune fille part pécher des poissons dans une rivière a cote, parfois elle retourner à la maison avec un panier plein ou vide. Un jour sa mère ne sentait pas bien, elle avait une tel fièvre qu’on dirait une chaudière, Il n’y avait ni docteure ni

physique J’écris ton nom Sur les sentiers éveillés Sur les routes déployées Sur les places qui débordent J’écris ton nom Sur la lampe qui s’allume Que la lampe qui s’éteint Sur mes maisons réunies J’écris ton nom Sur le fruit coupé en deux Du miroir et de ma chambre Sur mon lit coquille vide J’écris ton nom Sur mon chien gourmand et tendre Sur ses oreilles dressées Sur sa pate maladroite J’écris ton nom Sur le tremplin de ma porte Sur les objets familiers Sur le flot du

la structure de sa phrase : elle contenait deux sujets « je » et « moi-même ». Or il ne pouvait être deux personnes à la fois, il y en avait forcément une de trop. Le fait même de réaliser cette dualité erronée le fit partir dans une impression de vide. C’est comme s’il avait perdu conscience, sauf qu’il était très conscient. Il tombait dans un état de joie ineffable et il eut l’impression de rencontrer une présence pleine d’amour. Quand il reprit ses esprits, les yeux toujours fermés, il entendit

lumière électrique et les ombres avec un grand soin. Cette fascination se retrouve souvent dans ses tableaux. Il ira même jusqu’à affirmer : « Peut-être ne suis-je pas très humain. Mon désir consistait à peindre la lumière du soleil sur le mur d’une maison .» . Dans Nighthawks, Hopper ne délaisse pas non plus les personnages mais la lumière apparaît bel et bien comme une force motrice et un élément essentiel de la composition. La lumière donne aussi lieu à un certain paradoxe. D’un côté elle procure

jardin qui bordait mon ancienne maison. C'était un petit coin tranquille isolé de tous les bruits et de tous les regards. Dès notre arrivée, mes parents y avaient installé une vieille balançoire usée par les nombreux déménagements. Je m'asseyais là et me balançais lentement, sentant les brins d'herbe, trop longs et jaunis par le soleil, qui frôlaient et chatouillaient mes pieds toujours nus. Et je parlais, il m'arrivait parfois de rester des heures là à parler dans le vide. Puis, dès que je me sentais