La Maison Vide

pouvoir suivre les médias. ⇒ bénéfices de la radio: un ‘’ingénieux’’ appareil ayant permis a l’oreille de ‘’s'améliorer a ce point’’ ⇒ C’est un objet honorable qui augmente l’estime d’un foyer car la radio était ‘’fort en honneur’’ dans ‘’chaque maison’’ (indiquant que c'était une sorte de ‘’mode’’ que d’avoir une radio chez tout le monde) ⇒ La radio était le centre d’attention de tous et captivait toute la famille ‘’au beau milieu du salon’’ -> milieu du salon -> le salon étant un endroit

la nouvelle elle se trouve un peu troublée mais après elle devient très nostalgique pour avoir gaspillé sa vie pourtant elle trouve que cela a été nécessaire à cause de la crainte d’être seule ; à ce moment de sa vie elle est frustrée: son mari, sa maison, le voyage, l’hôtel et même avec elle-même car à la fin elle n’est pas si courageuse pour s’enfuir Marcel : c’est un homme plus petit que sa femme qui n’est pas beau mais qui aime bien sa femme et en plus il est généreux avec Janine. C’est un homme

Introduction : La maison est un espace d'intimité qui s'oppose à l'espace public. Pourtant, contrairement à ce que l'on pourrait croire, la maison est autant le cadre de vie du travail des hommes que des femmes. Les paysans vivaient dans des cabanes fabriquées en torchis, sans fenêtre et le toit était en chaume (paille après la moisson). Les gens plus aisés avaient une maison plus grande (1 pièce principale et deux chambres), puis la population riche, qui avait une maison comportant plus d’une

maçons ont recours la plupart du temps à des blocs de béton ainsi qu'à du ciment. Les murs peuvent ensuite être recouverts d'un mortier ou encore d'une couche de goudron. La maçonnerie enterrée et les éléments de sol sont des parties du projet d’une maison qui seront invisibles après leur achèvement mais une chose est sûre, elle est invisible mais a une grande importance. La maçonnerie enterrée comprend la construction des fondations d'un bâtiment 3 : Matériaux utilisés. Pour les maçonneries

courage d'aller jusqu'au bout. Baptiste rentre de son entraînement de football et rentre à la maison. Il retrouva son frère entrain de dormir dans son lit près d'une boîte de médicaments vide, il croyait son frère mort. BAPTISTE, rentre dans la maison. Maman ? Papa ? Benjamin ? Laura ? Il y a quelqu'un ? Il entra dans la chambre de Benjamin. Ah Benjamin, tu es là. Voyant la boîte de médicaments vide, en hurlant. Benjamin ! Qu'est ce que tu as fait ?! Le secoue. Benjamin se réveille.

rues semble laide. L'heure devenait louche, les lointains se brouillaient d'une teinte boueuse. Gervaise, déjà lasse, tombait justement en plein dans la rentrée des ouvriers. A cette heure, les dames en chapeau, les messieurs bien mis habitant les maisons neuves, étaient noyés au milieu du peuple, des processions d'hommes et de femmes encore blêmes de l'air vicié des ateliers. Le boulevard Magenta et la rue du Faubourg-Poissonnière en lâchaient des bandes, essoufflées de la montée. Dans le roulement

vallée -    Maintenant, c’est la voix du second chauffeur -    Maintenant la maison est vide -    Toute la maison est vide -    Entre la peinture grise qui subsiste -    Maintenant l’ombre du pilier A)    « Maintenant l’ombre du pilier » : 1ère section Le roman débute in medias res : description d’une maison et de la terrasse.  Le personnage principal – A…- circule entre sa chambre, la terrasse, et le reste de la maison ; tout ceci est scrupuleusement décrit par le narrateur. On pense que le narrateur

Franck Lloyd WRIGHT La maison sur la cascade (Fallingwater) 1935-1937   Domaine artistique :    Arts du de l’espace Courant artistique :     Architecture moderne Thématique :             Arts, espace et temps                                 Arts, ruptures et continuités Maison de vacances d’un riche homme d’affaire, elle a été construite à flanc de montagne, au-dessus d’une cascade. Des volumes simples s’enchevêtrent les uns dans les autres créant un jeu de lignes horizontales

épouse, une mère, une maîtresse de maison. Bien que sans défaut, elle était sans zèle aucun. Ses journées passèrent, monotones et régulières. Son mari s’émouvait de son manque d’imagination. Des allées qu’elle commandait à son jardinier, et qui, sans mener nulle part, ne communiquaient pas entre elles. Malgré tout cela, Lol. V Stein semblait être « guérie » du bal de T. Beach. Désormais plus rien ne s’opposait à son retour à S. Thala, et lorsqu’elle hérita de la maison familiale, ce fut chose faite

Yves Bonnefoy dans son recueil Les Planches courtes, « La Maison natale ». Nous nous demanderons ici quels sentiments du poète la maison d’enfance permet-elle d’exprimer ou d’éveiller. Nous traiterons ce sujet dans l’ordre des textes, les un après les autres. Le premier texte, « Milly ou la terre natale », est un poème d’Alphonse de Lamartine, publié en 1830 dans les Harmonies poétiques et religieuses. Nous pouvons observer que la maison d’enfance qui y est décrite révèle un sentiment de tristesse