La Liberté Est Elle Inaliénable

Séance……….. / lecture / étude du poème Liberté de Paul ELUARD  1)     Quelles remarques pouvez-vous faire sur la forme du poème (nombre de strophes, mètre choisi, rimes, répétitions, strophes en rupture (sens ?) ? 2)     Certaines strophes peuvent-elles être regroupées en raison de thématiques communes ? Lesquelles ? Pourquoi ? 3)     Quelle progression suit le poème ? Que retrace-t-il par conséquent ? 4)     Quelles oppositions ou échos notez-vous dans l’ensemble du poème (ex : lieux ouverts

de la liberté et de la tolérance religieuse „ Libertés classiques, proclamées dans les déclarations de l’époque révolutionnaire „ Droits qui réservent à l’individu une sphère d’autonomie sur laquelle il est interdit aux autorités publique d’empiéter „ Liberté-résistance ou droits-attribut „ Droits dits de la première génération „ Exemples : droit à la liberté individuelle, droit à la liberté de mouvement, droit à la liberté de commerce et de l’industrie, droit à la liberté d’expression

personnes juridiques sont des sujets de droits, car étant soumises au droit objectif, elles ont la possibilité d'exercer des droits subjectifs. -Droit de l’homme : Sont un concept selon lequel tout être humain possède des droits universels, inaliénables, quel que soit le droit positif en vigueur ou les autres facteurs locaux tels que l'ethnie, la nationalité, l'orientation sexuelle ou la religion. -Droit de la personnalité : Sont l'ensemble des droits fondamentaux que tout être humain possède

Il est également l’ensemble des pouvoirs, constituant et législatif, ou des compétences que peut exercer cet Etat. Dans la Constitution de 1958, l’article 3 définit le titulaire de la souveraineté, organise son exercice et implique son caractère inaliénable, « La souveraineté nationale appartient au peuple qui l’exerce par ses représentants et par la voie du référendum. Aucune section du peuple ni aucun individu ne peut s’en attribuer l’exercice. » Ainsi la souveraineté appartient au peuple et donne

celle de ses biens inaliénables que sont la vie, l'intégrité corporelle, la liberté et la propriété[9]. Comme l'Etat se dotait des outils propres à garantir sa souveraineté, l'individu doit pouvoir - s'il le souhaite - disposer des armes nécessaires. C'est là la conséquence pratique de ce changement d'échelle de l'équilibre de la terreur. A l'appui de cet argument, il est intéressant de se remémorer les limites que Hobbes fixe lui-même à son Léviathan : l'individu abandonne sa liberté au profit de l'Etat

en commun, avec les autres membres de la société, la part de souveraineté qu’il détient. Il accepte ainsi d’obéir à l’Etat, mais, puisqu’il constitue l’Etat, il n’obéit qu’à lui même et préserve ainsi sa liberté. Dans la vision rousseauiste, les hommes ne devraient conserver réellement leur liberté que si toutes les décisions étaient prises à l’unanimité, ils n’obéiraient qu’à eux mêmes. Donc la doctrine de la souveraineté populaire enseignerait que la souveraineté appartient au peuple, conçu comme

l’intégrité physique : droit à la vie b. droit à l’intégrité morale : droit au nom, droit à l’image, droit au respect c. droit au respect de la vie privée d. droits fondamentaux : liberté de mouvement, de pensée, d’expression, de la presse, de s’associer, de travailler, etc. Les droits extra-partimoniaux sont inaliénables, insaisissables et imprescriptibles et, à ce titre, tout atteinte à leur égard est passible de sanctions. D. LES DROITS PERSONNELS Ils constituent un lien de droit unissant deux

constitution de 1791 qui dispose « la souveraineté est une, indivisible, inaliénable et imprescriptible. Elle appartient à la nation aucune section du peuple ni aucun individu ne peut s'en attribuer l'exercice » article 1 du titre 3. -Elle est indivisible cela signifie qu'elle n'est pas atomisé en autant de parties qu'il y aurait de citoyens. La souveraineté est au dessus des citoyens ceci n'en sont que le support. -Elle est inaliénable (on ne peut ni la vendre ni l'abandonner on ne peut pas l'approprier)

Notamment O. Beaud, La puissance de l’Etat, Paris, PUF, Coll. Leviathan, 1994, pp. 440ss et « La souveraineté de l’Etat, le pouvoir constituant et le Traité de Masstricht », RFDA, 1993, n°4-6, pp. 1045ss ; J. Combacau, « Pas une puissance, une liberté : la souveraineté internationale de l’Etat », Pouvoirs, 1993, n°67, pp. 47-58 ; Droit international public, Paris, Montchrestien, 2001, 5ème ed., pp. 250ss et « La souveraineté internationale de l’Etat dans la jurisprudence du Conseil constitutionnel

forte dans la seule association avec la psychanalyse freudienne. A priori on ne voit pas pourquoi cette expression devrait évoquer cette doctrine, mais c’est bien un fait que c’est bien la menace de la théorie freudienne de l’inconscient contre la liberté qui se profile en sous-entendu dans le sujet. « exclut » Une chose en exclut une autre chose quand elle prend sa place, quand elle la supplante, de telle manière que les deux ne peuvent être au même endroit. Une idée exclut une autre idée quand