La Liberté Est Elle Inaliénable

Alors cessent tous les prétendus «droits naturels», à l'exception de ce que les individus eux-mêmes ne peuvent aliéner, ce qui est le cas de leur liberté de penser et d'exercer leur raison, tandis que leur liberté de s'exprimer passe sous le pouvoir de la loi.■ Ainsi, selon cette philosophie du droit, le droit d'aller contre le droit ne saurait être un droit. Comme l'explique Spinoza : « Tout citoyen est non point indépendant, mais soumis à la nation, dont il est obligé d'exécuter tous les ordres

Montesquieu, afin de lutter contre les formes absolutistes du pouvoir. C'est une doctrine libérale qui veut protéger les droits et les libertés des individus en évitant la concentration du pouvoir entre les mains d'une seule institution et en prônant la nécessité d'instaurer des contres pouvoirs. La garantie des droits quant à elle, doit assurer que les libertés et les droits fondamentaux, exprimés d'ailleurs par la déclaration des droits de l'homme (comme l'égalité des droits entre les individus

celle-ci n'est pas conforme avec la première liberté des individus : celle d'avoir librement et légitement choisi. De même , si la loi n'est pas compatible avec les principes de légitimité indispensables que nous avons vu précedemment : respect des droits inaliènables de l'homme ,respect de la sphère privée.alors on dispose également d'un droit de désobeissance car la loi est détournée de son but originel : au lieu de garantir la paix, la sureté et la liberté des individus , celle-ci les transforment

la liberté et l’égalité ? si oui, cela implique deux choses : a) elle est inaliénable en droit : c'est quelque chose de sacrer, à respecter b) elle est aliénable en fait : il faut la protéger car elle est mise en péril. 2- l’action est-elle aliénable par l’Etat : dans quelle mesure les lois d’un Etat peuvent peuvent-elles priver un individu de sa capacité d’agir ? 1) le droit est le résultat d’un partage : le droit à la liberté est el résultat du partage de sphères de liberté : ma liberté s’arrête

auront décidé d'abandonner cet état de nature que la société véritable pourra s'organiser autour du Droit qui devient un élément de régulation. Pour ce faire, il faut l'instauration d'un contrat entre un souverain et le peuple qui doit renoncer à sa liberté naturelle. Hobbes, dans son ouvrage « le Léviathan » précise ce que doit être ce souverain « d'institution ». Ce sont les détenteurs du pouvoir civile et sont source des droits reconnus dans cette société. Comme chez Machiavel, il doit disposer d'un

sont des pactes de soumission. Les peuples se sont aperçus que si on les laissait livrés à eux-mêmes, ils s’entre-déchiraient par violence. Ils ont donc passé un pacte avec leur gouvernant. Ce pacte consiste en ceci: les peuples ont renoncé à leur liberté, en échange de quoi leur gouvernant leur assurait la sécurité. Le grand théoricien de ce pacte est Thomas Hobbes. Hobbes, auteur du Citoyen et du Léviathan, a le même pessimisme tragique que Pascal. Il dit: “l’homme est un loup pour l’homme, l’homme

fait de déclarer les droits est suffisant pour en assurer le respect ? Pour cela nous allons nous intéresser aux libertés inaliénables dont il est question dans la déclaration ainsi qu’au progrès qui ont été fait depuis l’antiquité puis, nous verrons les institutions misent en place de nos jours pour garantir le respect de la déclarations A l’époque Gréco-romaine, les libertés de chaque individu étaient bien plus restreintes que de nos temps. En effet, il était possible qu’il soit dépouillé

de propriété du royaume ayant disparu à l'avènement des Capétiens, le roi est, comme tous les féodaux, propriétaire de son domaine et pendant longtemps il en aliène librement des parcelles pour gratifier l'Église ou récompenser ses fidèles. Cette liberté paraissant inacceptable, le principe de l'inaliénabilité va être établi progressivement. Ce n’est donc pas un principe nouveau qu’introduit l’Edit de Moulins. Ce dernier a été préparé par le chancelier Michel De l’Hospital et signé par le roi de France

s’appuyant sur les principes de la Révolution ? Mouvements : . Le préambule met l’accent sur l’importance des citoyennes et la nécessité de leur donner un rôle politique, puis les trois premiers articles portent sur les droits inaliénables de la femme. Linéaire : En gras, les extraits de la DDHC, pour comparaisonPremier mouvement1) Les mères, les filles, les soeurs, représentantes de la Nation, demandent à être constituées en Assemblée nationale. Les Représentants du Peuple

une déclaration des droits de l’homme et du citoyen, cela veut donc dire de façon générale qu’elle énumère les libertés civiles et les libertés politiques. La déclaration précise plusieurs aspects de la liberté. Elle reconnait la liberté d’opinion, la liberté religieuse et insiste surtout sur la liberté individuelle, notamment la sureté.