La Liberté Est Elle Absence De Contraintes

PHILOSOPHIE Peut-on avoir peur d'être libre ? Cette question peut paraître absurde étant donné le désir que les hommes ont depuis toujours à posséder cette liberté. En effet l'histoire recèle d'exemples confirmant ceci. En 1778, les Américains obtinrent leur indépendance vis à vis de leur métropole. Le Royaume-Unis, après une guerre de 8 années. Quelques années plus tard les français éclairés par certains philosophes des lumières comme Montesquieux ou Voltaire par exemple, prennent les armes

cette affirmation. Peut on acquérir la liberté par le travail. Cette affirmation part du présupposé qu’on ne peut être libre si on ne travail pas. Dans un premier temps, il sera intéressant d’analyser dans quelle mesure le travail et la liberté sont deux valeurs incompatibles puis en quoi le travail permet à l’Homme de découvrir la vrai liberté. Le travail et la liberté sont deux valeurs incompatibles. Dans un premier temps car le travail contrait la liberté avec dans un second temps car le travail

sapiens/) qui vit en société. * _Liberté : _Avant tout, la liberté désigne l’absence de toute contrainte étrangère et extérieure. A l’origine : libre condition de l’homme qui n’est pas esclave, qui dispose de sa personne et participe à la vie de la cité. La liberté est un statut, une condition sociale et politique, puis elle devient une caractéristique individuelle et morale. Est libre un homme indépendant et autonome qui n’est pas déterminé ou contraint. * _Obligation :_Vient du latin /obligare,/ « attacher

o Dévotion et soumission à dieu : aucune allusion à dieu = étrange + la devise de saint augustin était « aime Dieu et fais ce que tu veux » Ici, c’est « fais ce que voudras » : dieu disparaît dans cette devise. + on ne prit plus dieu. = absence de règle religieuse sauf le mariage de la fin. - Les Thélèmes agissent selon leur propre volonté Rabelais est issu d’un enseignement monastique, lui-même ayant suivi un début de carrière religieuse. Dans sa description de l’utopie, il montre

La liberté fait-elle le malheur ? Lorsque l’on se demande si la liberté de l’homme peut faire son malheur, nous pensons que cette question est contradictoire. Dans un premier temps la liberté de l’homme ne peut pas faire son malheur car quand on parle de liberté, on raccroche ce mot au bonheur parce qu’être libre c’est agir celon nos désirs. Mais une personne libre est une personne qui n’est influencé par personne et qui a des responsabilités qui conduisent à des choix difficiles. Ainsi l’homme

doctrine fasciste de l’État 2.1 La conception fasciste de l’État L’état libéral était le garant des droits individuels. Pour les fascistes, au contraire, l’individu n’a ni volonté, ni liberté, ni pouvoir, et par conséquent, il n’a aucun droit. Seul l’État est une personne spirituelle douée de volonté, de liberté et de puissance. La devise fasciste est « Tout dans l’État, rien contre l’État » (Mussolini). NB : La différence entre le fascisme et le nazisme est que, pour Mussolini, l’État était une

c'est interpeller et pour être interpellé, il faut être « dedans », c’est-à-dire concerné. Donc problématiser un thème pour un public, c’est le mettre en relation avec ce thème. Il faut par conséquent relier le thème (parfois abstrait, exemple, « la liberté », « la tolérance », etc ) au quotidien. Comment ? En recherchant des exemples, des scénarios, des témoignages, des faits etc. Bref, tout ce qui ajoute de la « pâte humaine » aux idées. Exemple : - Si l'exposé porte sur des philosophes anciens

pas universelles & nécessaires : peuvent varier. Les lois de la nature : Contraintes, universelles & nécessaires. 3) Un enfant gâté. Il fait ce qui lui plaît & a tout ce qu'il désire. Quand il n'a pas ce qu'il veut, il ne se contrôle plus, pas de raison. Si on ne se contrôle pas, nous ne sommes pas libres. L'enfant gâté est dans un état de passivité. Il y a qqch dans la modestie & la pauvreté : une école de la liberté. 4) La richesse. Une part de vérité : plus on a d'argent, plus nos

42 LA LIBERTÉ L’essentiel pour comprendre 1 LES DIFFÉRENTS SENS DU MOT « LIBERTÉ » ▲ A. La liberté comme absence de contrainte ● C’est la définition la plus commune de la liberté : être libre, c’est faire ce qui nous plaît, c’est accomplir nos désirs sans obstacle ni contrainte. Cette acception du mot « liberté » rejoint d’ailleurs son sens premier. Pour les Anciens, un homme « libre » (du latin liber) est un homme qui n’obéit qu’à lui-même (contrairement à l’esclave

l’esclave. « libertas » désignait l’état juridique de l’homme libre par rapport à l’esclave. L’homme libre agit à sa guise, il n’a pas de maître. C’est donc l’absence de contraintes. Mais toute société est régie par des lois, des restrictions, des compromis, voire des sacrifices. Définir la liberté comme absence de contraintes, c’est en donné une définition factuelle qui se réfère à l’action. Mais qu’en est-il de la pensée ? Ne sommes-nous pas libres de penser, c’est-à-dire de concevoir des notions