La Liberté Du Lecteur Au Theatre

théorie de la réception présente une nvle conception de l'œuvre, qui ne se réduit pas à un texte: le rôle du lecteur est déterminant (Iser). Celui-ci, confronté à l'unicité caractéristique de tte œuvre, est contraint de faire "l'expérience d'un dépaysement": contrairement à la communication ordinaire, la communication littéraire ne comporte que deux éléments concrets: le message et le lecteur (Riffaterre). 1.Gustave Lanson: "la littérature et la science" (1895) Auteur célèbre d'études sur Bossuet

représentée pour la première fois en 1960. Cette pièce, appartenant au théâtre d’avant-garde, raconte l’histoire de la population d’un petit village provincial qui se transforme petit à petit en rhinocéros. Eugène Ionesco, un auteur dramatique et écrivain roumain et français représentant du théâtre de l'absurde. Cette pièce est une de ses pièces les plus célèbres. Elle est composée de trois actes. Bien que Ionesco se refuse à un théâtre engagé, cette transformation symbolise la montée du totalitarisme

Fiction = apologues (roman, théâtre, poésie), incite à réfléchir sur l’homme et le monde. La thèse = le recours à la fiction est efficace ; pourquoi ? ; atouts et moyens pour argumenter Problématique : pourquoi une argumentation reposant sur la fiction serait-elle plus efficace que les genres d’argumentation directe pour susciter la réflexion ? Comparer la fiction (argumentation indirecte) l’argumentation directe : faits irréels, fictifs, contre faits réels Ouverture : parler des limites de la fiction

sociale par cette conversation délibérative. Outre les discutions de Jacques et son Maître, on peut aussi voir ce genre dans les délibérations entre le narrateur et le lecteur fictif. A la fin du récit de Mme de La Pommeraye, l'auteur s'adresse au lecteur, lui demande son avis sur l'histoire puis donne le sien: "Et vous croyez, lecteur, que l'apologie de Mme de La Pommeraye est plus difficile à faire?"; puis "raisonnons."; il commence ici une réflexion sur la vengeance de cette femme, la fidélité et

Pensez-vous que le théâtre est le lieu de la plus grande liberté, de l’imagination la plus folle ? Voici une ébauche de plan : I. Dans une certaine mesure, OUI. - les libertés du metteur en scène, de l'acteur (d'ailleurs aussi appelé interprète) - le théâtre de l'absurde II. Dans une autre mesure, NON. - les contraintes du théâtre classique : règle des 3 unités, règle des bienséances - la censure - les contraintes matérielles (espace fermé, acteurs réels, temps limité... )

17ième siècle. Époux d’une maîtresse de Louis XIV, Paul Scarron devient le précurseur de la littérature romanesque. La Poésie et la comédie lui sont chères. Dans le même esprit que François Rabelais, Scarron recourt a la dérision pour affirmer une liberté de ton et une certaine audace par rapport a tout système officiel. Son Virgile travesti connait un franc succès. Le roman comique a pour trame les aventures d’une troupe de comédiens amusant. Scarron qui connait bien la région du Mans, donne de

s’opposant à la superstition, à l’intolérance et aux abus de l’Eglise et des États. Ce siècle est donc le siècle des libertés : on prône la liberté de pensée, la liberté d’expression ; et on voit apparaître dans la littérature de nouveaux genre tels que l’essai philosophique, ou encore le roman libertin, qui met en scène des personnages pratiquant le libertinage, et invoquant la liberté. Diderot est l’un des philosophe-écrivain emblématiques de ce siècle ; il participe tout d’abord à la rédaction de

mimique : à travers son œuvre il met en scène deux personnages (Lui et Moi), dont l’un d’eux se met en scène (Lui, tel un comédien, jouera le rôle d’un proxénète séduisant une jeune fille, le rôle de sa femme, celui de musiciens…). Les thèmes du théâtre et de la musique sont très présents dans l’œuvre. Nous verrons par la suite qu’ils constituent une réflexion philosophique. Dans ce passage Lui imite un grand virtuose ce qui peut sembler paradoxal puisque ce protagoniste ne possède pas de

la fatalité Dans cette scène de dénouement, l’auteur a usé de plusieurs procédés pour théâtralisé son récit. Pour commencer, Prosper mérimée construit le passage sur les dialogues: les questions de Don José et les répliques de Carmen. Le lecteur ressent l’atmosphère qui devient de plus en plus tendue. Tout d’abord, le Navarrais est calme, il parle de façon posée («Je t’en prie, lui dis-je, sois raisonnable.»(l.1795)), puis il essaye de persuader Carmen («Je me jetai à ses pied, je lui pris

exalter la grandeur de l’uni- vers. · célébrer le poète inspiré par la « fureur divine » | · refuser la codification des genres en mêlant le sublime et le grotesque. · revendiquer la liberté et l’imagination · exprimer l’intensité des sensations éprouvées au contact de la nature. | · instruire le lecteur et le spectateur, tout en  le distrayant. · retrouver le naturel et l’universalité des caractères et des passions. · établir et respecter des règles strictes, pour chaque genre littéraire