La Havane

à la ligne 21 le mot «lampe ». Enfin le dernier sens nous pouvons vérifier est l’ouïe à la ligne 18 : « bruits », « sonorité rauque » et « écho ». Nous pouvons aussi noter que Zola emploi des termes très technique lier au métier de mineur : « havane », « taille », « rivelaines ». Pour que Zola soit encore plus crédible dans son roman il utilise un point de vue omniscient, ou par une personne anonyme car il utilise le pronom « on » : « on n’entendait » (l.17), « on ne distinguait rien » (l.22)

aucune éducation académique et vit dans l’ignorance des choses, on peut s’aventurer à dire qu’elle est possiblement simple d’esprit, comme le souligne sa requête auprès de M. Bourais de lui montrer dans l’atlas la demeure de son neveu Victor à la Havane. En bref, l’essentiel du personnage de Félicitn’est pas axé dans la perspective de l’ intrinsèque de Félicité mais davantage dans son extrinsèinque, soit son rapport avec autrui et, de manière plus précise, la bonté inconditionnelle qu’elle démontre

titulaire du CAPES (certificat d’aptitude au professorat de l’enseignement du second degré) de philosophie et enseigne à l'étranger. Il débute alors une série de nombreux voyages qui le mènent à séjourner longuement en Algérie, au Nigéria, au Maroc, à La Havane. Épisodiquement, sa vocation de romancier rappelle le globe-trotter sur les rives françaises, notamment en 1988 lorsqu'il publie son premier succès critique et commercial, Longue vue. Le Feu d'artifice (1992). La Femme parfaite (1995) et Ces deux-là

grand large, Paris, Seghers, 1952. Minerai noir, Paris, Présence Africaine, 1956. Journal d'un animal marin, Paris, Seghers, 1964. Un Arc-en-ciel pour l'Occident chrétien, Paris, Présence Africaine, 1967. Cantate d'octobre, édition bilingue, La Havane, Institut du Livre; Alger, SNED, 1968. Poète à Cuba, préface de Claude Roy, Paris, Oswald, 1976. En état de poésie, Paris, Éditeurs Français Réunis, 1980. Au matin de la négritude, préface de Georges-Emmanuel Clancier, Paris, Euroediteur, 1990

-OPEP→Fondée initiative Venezuela/membre + imp : Pays du golfe ⇒maitriser la production et prix du pétrole (principale ressource énergétique ) -ASEAN → regroupe Pays asiatique = 1967 3) Les divisions idéologiques Div idéo = conférence de la Havane(1966)=Veut réunir Asie , Afrique ,Am latine Fidel Castro = Révolution = seul voie émancipation contre avis puissance modérée. Tiers monde divise en 2 ⇒ Pro-occidental et Procommuniste=Plusieurs conflit / secouent Afrique Asie en 1970 III- L’éclatement

(Suite) Victor : neveu de Félicité, dont la mère vit à Trouville et se nomme Nastasie Barette femme Leroux (p. 37). Victor part naviguer au long cours et meurt de la fièvre jaune après son arrivée à La Havane.   Loulou : le perroquet offert à Mme Aubain par la baronne de Larsonnière. Félicité le récupère et ne s’en sépare plus, le faisant empailler après sa mort. Question 3 :

Ce conte n’est pas

sombre et noir, qui permet au lecteur de ressentir, et nous montre que la femme a une âme noire. Les poèmes de Baudelaire sont énormément centrés sur l’évocation des sens, ici l’auteur utilise des senteurs exotiques comme l’havane ou le musc. « Havane » rime avec « savane » pour insister sur le paysage Oriental. Il cherche a nous dépaysé et à faire voyager son lecteur. Baudelaire, montre dans son poème que c’est une déesse, une déesse des enfers. Il l’a qualifie « d’œuvre de quelque obi » et de

Saint Vincent de Senlis, où il resta jusqu’à son baccalauréat, en 1859. Il y fut un élève brillant et très apprécié. La découverte de l’œuvre de Leconte de Lisle fit sur lui une impression profonde. De retour à Cuba en juin 1859, il passa un an à La Havane, approfondissant sa connaissance de la langue et de la littérature espagnoles avec le projet d'y poursuivre éventuellement des études de droit. C'est à Cuba qu'il composa les premiers poèmes français qui nous sont parvenus. Mais il n'y trouva pas

et en Australie. Les départs favorisés par les États et par la révolution des transports : Les différentes destinations proposées sont New-York, San Francisco, New-Orélans (et toutes les nations de l'intérieur des États-Unis), les Antilles, la Havane, Vera-Crus et le Mexique. Ce sont des pays Américain. On dit que nous allons à destination du « nouveau monde » car l'Amérique est découverte depuis peu (1492). Le gouvernement est principalement à l'origine des migrations. On cherche surtout des

aussi avec les « noirs minuits ». Il est très vite mis en relation avec « obi », sorcier noir. Le noir symbolise ici le diable rappelé par « Faust ». Le caractère exotique peut être associé au noir. On a l’exotisme des parfums de la femme. Le « havane » vient d’un monde éloigné et une teinte foncée, brume. Les mots sont choisis pour évoquer quelque chose de lointain. L’auteur cherche à nous dépayser avec « obi », « savane ». Le caractère divin de la femme est aussi présent. Le mot « déité »