La Guerre De Troie N Aura Pas Lieu Giraudoux

les personnes sans abries, guerre, ou encore des crimes perpétués à l’encontre d’une idéologie. Prenons l’exemple de ce qui s’est passé le mercredi 7 Janvier, des Hommes ont attenté à la vie de nombreuses personnes car ces derniers avaient fait des caricatures sur la religion de ces terroristes. Preuve que les problèmes sociaux sont omniprésents. D’ailleurs Jean Giraudoux a écrit une pièce évoquant les problèmes de la société, elle se nomme La guerre de Troie n’aura pas lieu : Cette pièce met en scène

Commentaire Comparé Introduction Le commentaire comparé que nous nous proposons de mener aujourd’hui, va s’articuler autour du thème de la Guerre, thème que nous allons explorer à travers différents textes, produits de divers auteurs, lesquels ont pour la majorité vécu au XVIIIème siècle. Le choix de cette époque n’est pas anodin ! En effet, nous savons déjà qu’au cours du XVIIIème siècle est apparu un mouvement philosophique de grande importance : le Mouvement des Lumières. Les Lumières sont

Voltaire et Giraudoux cherchent d’abord à persuader. La volonté de convaincre, donc de construire un raisonnement, utilise la logique comme arme privilégiée. La Bruyère, comme l’auteur de l’article "Paix", énonce des faits que nul ne peut réfuter. La logique se voit également dans l’opposition entre l’état de Paix et la guerre. L’Encyclopédie utilise un autre procédé : l’analogie qui consiste à comparer deux faits, deux situations pour en déduire une valeur explicative, ici la guerre assimilée

Voltaire et Giraudoux cherchent d'abord à persuader. La volonté de convaincre, donc de construire un raisonnement, utilise la logique comme arme privilégiée. La Bruyère, comme l'auteur de l'article "Paix", énonce des faits que nul ne peut réfuter. La logique se voit également dans l'opposition entre l'état de Paix et la guerre. L'Encyclopédie utilise un autre procédé : l'analogie qui consiste à comparer deux faits, deux situations pour en déduire une valeur explicative, ici la guerre assimilée à

représentation et le temps de l'histoire, une convention du théâtre classique (XVII e siècle) a fixé à vingt - quatre heures la durée de l'action représentée  cf. la règle des tro is unités : unité de temps (en un seul jour), unité de lieu (dans un décor unique) et unité d'action (une seule intrigue principale).  Au XIX e siècle, les règles du théâtre classique sont re jetées par les R omantiques ; l'action peut alors s'étendre sur p lusieurs mois, voire plusieurs années

alors coïncidence parfaite entre temps de l'action et temps de la représentation évolue jusqu'à 12 heures puis jusqu'aux fameuses 24 heures qui devient alors la règle : "qu'en un seul lieu, qu'en un seul jour, un seul fait accompli tienne jusqu'à la fin le théâtre rempli" (Nicolas Boileau ).Concernant l'unité de lieu, d'Aubignac apporte certaines tolérances (côtés, rideaux). La comédie va s'aligner sur ces même règles fondamentales de la tragédie. Cependant, le XVIIème a principalement pour dessein

les mythes de façon simple, drôle et intelligente: Hamilton (Edith) : La mythologie. XVIIème & XVIIIème siècles: En Europe, c'est la période dite classique. Après les violences et les incertitudes de l'âge baroque (XVIème siècle: guerres de religion, remise en question des certitudes par Galilée, scissions politiques), on aspire à la raison, à la sobriété, à la paix et au retour de l'ordre social. Louis XIV rétablit (autoritairement) l'équilibre politique, la langue française est

Objet d'étude : les réécritures:  Texte A – Homère, L’Odyssée, chant XII , extrait Texte B – Aloysius Bertrand, « Ondine », in Gaspard de la Nuit, 1842 Texte C – Jean Giraudoux, Ondine, acte 1, scène 8, extrait, 1937 Texte D – Robert Desnos, « Ma sirène », Les Nuits Blanches, 1932 Annexe : Document iconographique : Marc Chagall, Sirène au poète, 1967 CORRECTION DU DEVOIR ( Corrigé fait à partir des propositions de Sylvie et Jacques Dauvin dans la collection Hatier

la vraisemblance. Corneille, Stances de Rodrigue, Le Cid Giraudoux, La guerre de Troie n’aura pas lieu, II, 3 Lecture(s) cursive(s) et documents complémentaires (en particulier iconographiques) Comparaison entre : Sophocle, extrait d’Antigone Anouilh, extrait d’Antigone Pagnol, Marius, « Le picon-citron-curaçao » - Fiches de travail sur Andromaque (personnage, contexte mythologique) - Comparaison entre la pièce de Racine et celle de Giraudoux Activités proposées à la classe par le professeur

La trilogie d'Agamemnon L'Orestie Eschyle (-458) Eschyle Agamemnon Le guetteur parle du lieu où il se trouve comme le toit des Atrides. Il évoque alors la lignée maudite de celles ci, les Tantalites (Tental le 1er de la lignée) Il a invité les Dieux à manger et il leur a servit un de ces fils. Il va être envoyer au Enfer, le supplice de Tental qui sera de ne pas pouvoir boire, ni manger. Atrée qui va suivre dans lignée, va donné les fils à manger à leur père, Thyeste. Il lui reste