La Grande Prairie

de Mirandol commune de Chasseradès dans la petite région Margeride au cœur du département de la Lozère située en zone de montagne à une altitude d’environ 1 100 mètre. L’exploitation compte 167 ha dont 113 ha de pâture, 23 ha de prairies temporaires, 13 ha de prairie naturelle et 18 ha de céréales diverses autoconsommées comme l’orge, le blé, le triticale ou l’avoine tous ses terrains sont en location. Deux troupeaux utilisent ces surfaces, un premier de 30 vaches laitières de race montbéliarde

soit par sa conversion précoce dans la production biologique, la mise en place d’une vente directe ou par la construction de la méthanisation, le GAEC fait figure de pionnier dans la région. Afin de transmettre leur vision de l’agriculture au plus grand nombre, les exploitants accueillent de nombreux stagiaires et conseillent des personnes voulant créer leur propre exploitation. Avec conviction, ils défendent une agriculture non chimique, respectueuse de l’environnement et des conditions de vie

|Investissements | | | | | |1950 |Installation du grand père et de la |35ha |10 Vaches Laitières |10ha de prairies |2UMO | | |grand mère | |Normandes | | | |1965 |Installation

L'Oise n'est pas seulement l'héritière d'un patrimoine architectural exceptionnel ; elle est aussi dépositaire d'un patrimoine naturel d'une grande richesse. Pour le préserver et le valoriser, le Conseil général de l'Oise mène une politique active dans le cadre de son Agenda 21. Il dispose de richesses multiples: marais, coteaux calcaires, prairies, bocages, landes à bruyère...On s'appuyant sur ces nombreux atouts, le Conseil Général de l'Oise mène une politique en faveur de l'environnement pour

description de la Coupe du Sol rencontrée sur place. 2 – Développement : 1* - En ce Jeudi 15 Septembre, il faisait une grande chaleur d'été sur Carcassonne et sur le site du lac de la Cavayère. La température mesurée en arrivant en plein soleil était exactement de 33,5°Celsius. Une preuve de la grande chaleur. En premier lieu, nous avons observé une petite prairie que l'on peut divisé en deux partie. Une première partie où on trouve un champ en friche sec, non entretenu, et une seconde partie

ce temps là... Mais après deux grandes guerres la main d'oeuvre masculine a manqué dans les campagnes. La nature s'est faite envahissante. Certains chemins bordés de haies se sont fermés, on passe au bout du champ. D'autres sont en mauvais état, défoncés par les grandes roues étroites et cerclées de fer, des charrettes et des tombereaux. Parfois le paysan se sent impuissant, incapable de dominer la végétation sauvage qui gagne sur son champ, qui envahit sa prairie et parfois cerne les bâtiments

Ecole Normale Supérieure de Lyon Licence de Biologie Moléculaire et Cellulaire Année universitaire 2006-2007 Rapport de Stage Stéphanie PERIQUET Quantification et analyse de la phénologie des prairies de l'adret de Villar d'Arène en fonction de leur gestion, de leur fertilité minérale et de leur localisation dans le paysage Maîtres de stage : Sandra LAVOREL, Laboratoire d'Ecologie Alpine, Equipe Traits fonctionnels et Dynamique des écosystèmes alpins (TDE), Université Joseph Fourier

Un Pont Deux Villes Sur la photographie nous voyons en premier lieu la rivière des prairies qui sépare l’ile de Montréal de celle de Laval. Nous nous trouvons sur la rive-nord de la rivière, donc à Laval. En face de nous, sur la rive nous voyons l’Église de la Visitation un lieu de culte construit par l’homme. En arrière-plan, nous reconnaissons des maisons et des bâtiments, probablement des condominiums. Bien sûr à la gauche complètement de la photographie nous apercevons clairement le pont Papineau

calque avec mes propositions. (Touts les documents nécessaires se trouvent en annexe.) Analyse du terrain Mon secteur est formé par une large vallée au pied de quelques douces collines. Le terrain est principalement marqué par des prairies, des pâturages et quelques champs, interceptés par des haies et des arbres. Un petit chemin serpent entre les parcelles. Il se divise en deux, un bras finit dans une impasse au le milieu du terrain, l’autre quitte le secteur relativement vite. De

communes : Haute-Goulaine, Le Landreau, Le Loroux-Bottereau, Saint-Julien de Concelles et La Chapelle-Heulin. En septembre, il y a 40 km d’eau, en été, il y en a que 20. Ainsi le marais est vidé l’été. Mais les canaux que le marais contient en grandes quantité, comme nous pouvons le voir sur la carte ci-dessus (représenté par des traits bleu clair), sont inondés toute l’année ainsi que les étangs vu sur une carte précédemment. Le réseau hydraulique primaire du marais est dans la Goulaine