La Goulue

des grandes stars de l’époque comme notamment Yvette Guilbert (qui se produisit ensuite dans le monde entier et dans des villes prestigieuses comme New-York). De plus, l’Olympia, ce grand music-hall, fut construit et inauguré le 12 avril 1893 par La Goulue (un artiste de Montmartre). C’est donc un atout de plus à la ville Parisienne et surtout une activité culturelle de plus pour Paris. La Belle Epoque correspond également à la période de consécration des music-halls. Paris connu aussi la naissance

de la mine et du Minotaure, il réactive d’abord le mythe grec du monstre mi-homme, mi-taureau qui exigeait en pâture les enfants d’Athènes : d’emblée, la fosse, « dressant sa cheminée comme une corne menaçante, semble avoir un air mauvais de bête goulue, accroupie là pour manger le monde » (Première partie, ch. 1). Etienne sera donc un nouveau Thésée voyageant dans un dédale d’escaliers et de couloirs obscurs (Première partie, ch. 3). Enfermé au cœur du labyrinthe avec Chaval, il devra tuer celui-ci

collectionnées, ce qui en améliore la qualité. Toulouse-Lautrec et Leonetto Cappiello y contribuent grandement en simplifiant, chacun à leur manière, les formes et les couleurs afin de rendre les affiches plus attirantes. Moulin Rouge La goulue Jules Chéret 1891 191x117mm lithographie a 4 couleurs Toulouse Lautrec . LES ANNEES 30 La dimension argumentative : La belle image ne suffit pas il faut expliquer, c'est la période de la réclame.

sans même m'en douter, bah! ça conserve."Zola décrit la fosse, un lieu effrayant "Cette fosse, tassée au fond d'un creux, avec ses constructions trapues de briques, dressant sa cheminée comme une corne menaçante, semblait avoir un air mauvais de bête goulue, accroupie là pour manger le monde."Les bâtiments sont mal éclairés, pleins de trous noirs inquiétants avec la complication de leurs salles et de leurs étages.Zola raconte la façon dont Etienne Lantier découvre ces lieux effrayants. Après avoir monté

jouent plus loin leur rôle habituel de protecteurs de la famille, de façon collective, en fait grégaire. L’animalité des bohémiennes, en tant que mères nourricières, est soulignée par l’expression périphrastique : «trésor toujours prêt», la bouche goulue des suceurs étant évoquée par : «fiers», puisqu’on parle d’un appétit féroce ainsi que par les labiales finales sans oublier le prosaïsme du terme «mamelles» . L’impression de divagation sans but précis - comme si le plus important était la marche

formules sont moins allergisantes que les préparations classiques. Il en existe chez une dizaine de laboratoires différents. En voici quelques exemples. Les préparations « satiété » : Elles sont conseillées avec précaution pour les bébés dits « goulus », ces préparations sont enrichies en caséine. C’est une grosse protéine qui ralentit la vidange du petit estomac du bébé qui sera certes bien « calé », mais qui risque d’être constipé. Ces boites se trouvent presque toutes en pharmacie, on en trouve

Ça va et ça vientTITRE DE L'OEUVRE : Avec le temps (1971) AUTEUR: Léo Ferre (1916-1993) "Avec le temps...Avec le temps va tout s'en vaOn oublie le visage, et l'on oublie la voix.(...)Avec le temps...Avec le temps va tout s'en vaL'autre qu'on adorait, qu'on cherchait sous la pluieL'autre qu'on devinait au détour d'un regard(...)Avec le temps tout s'évanouit"Dans ce poème, Léo Ferre évoque clairement le thème du temps - il répete le mot cinq fois - mais il

vers, Décharné, dénervé, où les os découverts, Dépoulpés, dénoués, délaissent leur jointure : Ici l’une des mains tombe de pourriture, Les yeux d’autre côté détournés à l’envers Se distillent en glaire, et les muscles divers Servent aux vers goulus d’ordinaire pâture : Le ventre déchiré cornant de puanteur Infecte l’air voisin de mauvaise senteur, Et le nez mi-rongé difforme le visage ; Puis connaissant l’état de ta fragilité, Fonde en Dieu seulement, estimant vanité Tout ce qui ne te

vers, Décharné, dénervé, où les os découverts, Dépoulpés, dénoués, délaissent leur jointure : Ici l’une des mains tombe de pourriture, Les yeux d’autre côté détournés à l’envers Se distillent en glaire, et les muscles divers Servent aux vers goulus d’ordinaire pâture : Le ventre déchiré cornant de puanteur Infecte l’air voisin de mauvaise senteur, Et le nez mi-rongé difforme le visage ; Puis connaissant l’état de ta fragilité, Fonde en Dieu seulement, estimant vanité Tout ce qui ne

romans et leur contenu. C'est d'abord la lecture pratiquée par Emma et la lingère qui est dépréciée. La vieille fille « avalait de longs chapitres, dans les intervalles de sa besogne » (L. 9). La métaphore apparente la lecture à une ingestion goulue de nourriture ; c'est de la littérature de consommation, au sens propre du terme. De même, « Emma se graissa donc les mains à cette poussière des vieux cabinets de lecture » (L. 15-16). Là encore, la lecture est ravalée au rang d'une activité matérielle