La Gatt Et La Montée Des Protectionnismes

début de la « longue dépression », deux décennies de marasme plus que de véritable chute de l’activité, sur fond de disparition des banques d’affaires, de durcissement de la réglementation bancaire, de mégafusions d’entreprises, de regain de protectionnisme et de perte de vitesse du commerce mondial. Le G20 qui a regroupé les vingt pays les plus importants de la planète, le 2 avril 2009 à Londres, a bien ouvert des pistes qui vont dans le bon sens pour mieux contrôler et rendre plus stable la planète

paix, la recherche de l’autarcie et l’hyper-protectionnisme n’est qu’un facteur de guerre et un fauteur de troubles • Les E.U font renaître une Allemagne nouvelle: la RFA en mai 1949 dont la date de création concomitante de celle de la création de l’Otan. • La nouvelle constitution imposée au japon par les américains et qui d’ailleurs «fait plaisir aux plaisir aux Japonais » : elle n’impose pas au japonais la fin de la monarchie • Le GATT en 1945 Un échec( l’OMC : la bipolarisation

négociation collective indexée sur la productivité des prix (maintenir le contrôle sur le coût de production représenté par les salaires. Par ailleurs, le régime monétaire de Bretton Woods (parité fixe $/or) et le régime des échanges commerciaux du GATT aidait à garantir que la circualtion des devises internationales ne pertubent pas le contrôle de l'Etat sur la monnaie nationale. Le blocage du cercle vertueux fordien : Le mécanisme de la croissance fordien reposait sur un partage de la valeur

mondialisation... Mais il est toutefois marqué par des crises, marquées par l’insuffisance, des krachs boursiers... Ainsi, une crise lancée dans un pays ne touche plus uniquement ce seul pays, mais le monde tout entier. La crise en Allemagne entraîne la montée du nazisme. A la suite de la défaite allemande lors de la Première Guerre Mondiale, l’Allemagne est endettée du fait du grand nombre de remboursements qu’elle doit effectuer au reste de l’Europe. L’Amérique stoppant ses crédits, l’Allemagne replonge

garantir la stabilité des monnaies et donc des échanges, pour éviter les désordres économiques qui s’étaient produits dans l’entre-deux-guerres. Les Alliés partagent en effet l’idée que la guerre a été provoquée, pour une large part , par le protectionnisme et l’instabilité monétaire. Ces accords sont préparés par l’économiste britannique John Maynard Keynes (économiste qui a révolutionné la pensée économique avec sa Théorie Générale de l’économie, de l’emploi et de la monnaie paru en 1936) et l’Américain

dirigeant s’occupe plus de l’extérieur du marché qui de l’intérieur. Il s’occupe plus de négocier avec les gens qui sont dans le système (salaire, pension,…) et tant pis pour ceux qui n’y sont pas (new employés, jeunes,…). Hystérèse = plus on est monté dans les degrés plus c’st difficile de redescendre, ce sera long. Exemple : si un pays atteint des tx de chômage élevés, plus il prendra du temps pour qu’ils e rétablisse. Il faut arrêter cette hausse de chômage sinon ça prendra des décennies à revenir

(marché intérieur suffisant). Politique d’indépendance (1ère colonie à conquérir son indépendance -> volonté d’assurer son autonomie et son propre développement) Politique protectionniste Alexander Hamilton (1755-1804) : Traité théorisant le protectionnisme (taxe à l’importation), dans le but de protéger l’industrialisation des Etats-Unis. 1865 : fin de la guerre de sécession Le Nord (industriel) gagne -> volonté de protéger l’industrie au dépend de l’exportation de coton (Sud). Une industrialisation

leur investissement économique et ne décident plus seuls de leur avenir, ils sont dépendants d’autres pays de la conjoncture internationale, des marchés financiers. On ressent alors la tentative de retour à la nationalisation c.-à-d. tentation protectionnisme comme une solution idoine. La politique monétaire: La politique monétaire conjoncturelle va consister à agir sur le niveau du taux d'intérêt pour moduler l'activité économique. En cas de croissance faible Keynes recommande de diminuer le taux

mais au contraire des flux de biens industriels substituables entre pays au même stade de développement (commerce interbranche). Les principaux problèmes d’économie international auxquelles le monde fait face aujourd’hui sont l’accroissement du protectionnisme, la volatilité excessive ?, le chômage structurel, les différentes crises financières, l’élargissement des inégalités. Deux définitions de la notion de crise : La sous consommation : terme évoqué par Keynes, il y a sous consommation lorsque

avant la problématique de l'enrichissement à partir d'activités ayant un rendement croissant (fabriquer et vendre des produits manufacturés plutôt que de vendre des produits bruts). Si la vision mercantiliste justifie les réflexes défensifs (protectionnisme), il serait injuste de ne pas voir que certains de ses courants promeuvent l'idée plus positive et offensive selon laquelle certaines activités économiques sont préférables à d'autres (effets de rendements croissants ou comme dit à l'époque «