La Fête Et Ses Dimensions Collectives

approche thématique permet d'envisager la relation des femmes avec le monde du travail, d'étudier l'évolution de la vie privée des femmes au XXème siècle ainsi que les transformations du rapport des femmes à la vie politique ou à la dimension culturelle de la société française. Les femmes ont-elles accédé à la fin du XXème siècle à une identité propre ? Sont-elles réellement "devenues femmes" ? 1°) LES EFFETS DE LA GRANDE GUERRE. La première guerre mondiale représente un tournant

son immense production litteraire( 123 titres connus) dont il ne reste que quelques fragments. Le genre tragique s’élabore au cours des fêtes civiques « les grandes dionysies » qui se déroule a athenes en mars : fête civique et religieuse qui célèbrent le dieu Dionysos Cette fête comporte des concours de tragédies, poèmes La tragédie s’ouvre généralement sur un prologue parlé qui amorce la scène d’exposition et se clôt avec un chant la parodos .Il suive des scènes particulières chacune formant

CARÊME DANS L’EGLISE CATHOLIQUE ? « L’Eglise s’unit chaque année par les quarante jours du Grand Carême au mystère de Jésus dans le désert » (Catéchisme de l’Eglise catholique, n° 540) QUEL EST DONC L’ESPRIT DU CARÊME ? C’est comme une retraite collective de quarante jours pendant lesquels l’Eglise propose à ses fidèles l’exemple du Christ pendant sa période au désert, se prépare à la célébration des solennités pascales, dans la purification du cœur, la pratique parfaite de la vie chrétienne et une

dans des rapports binaires qui constituent un montage alterné parallèle, l'image d'une partie succédant à celle d'une autre suivant un rythme. Mais il faut aussi que la partie et l'ensemble entrent eux-mêmes en rapport, qu'ils échangent leur dimension relative. L'insertion du gros plan, en ce sens n'opère pas seulement le grossissement d'un détail mais entraîne une miniaturisation de l'ensemble, une réduction de la scène à l'échelle d'un personnage. En montrant la manière dont un personnage vit

rapporte à la fin du chapitre. De fait, il était fréquent que des indigènes rapportés en France par les voyageurs participent aux fêtes données en l’honneur de l’Entrée d’un roi dans une ville. En 1550, à l’occasion de l’Entrée d’Henri II à Rouen, une fête met en scène la vie brésilienne, 50 « sauvages » participent au spectacle. Montaigne affirme en avoir rencontré dans cette même ville, en 1562, lors de l’Entrée de Charles IX (la ville vient d’être reprise aux Protestants), mais il est plus probable

Norbert Elias c pr designer ces groupes sociaux t les membres st liés par des liens Y qui leurs permettent de vivre ensemble. Ceci s amène à une question : L'homme est-il naturellement sociable ? Ns savons qu'il est nécessaire d'assimiler des règles collectives ensemble, on ns transmet des règles dès la naissance.Notre comportement ds la soc est déterminé par la naissance quand on nous apprend des règles. Ex: l'enfant qui a grandi avec les loups, il avait aucune notion du comportement en soc, il arrive

de purger la violence collective. Ici, le déchainement de violence peut se faire par le sport qui est un défoulement pacifique. Il faut trouver la paix intérieure. Dans la pensée primitive, la violence doit s’exprimer car sinon elle s’accumule dans l’individu et finie par le détruire. La violence doit être évacuée. Le mythe incarnant ce besoin d’expulser la violence Un mythe fondateur est une histoire révélant, à travers la narration de faits habituels, une dimension plus profonde des comportements

jamais existé. Ce qui est inédit, c’est l’apparition de deux régimes totalitaires sur un même continent qui se ressemblent en terme d’objectifs et qui vont rentrer en guerre. Il faut imaginer un projet politique qui vise à englober toutes les dimensions de la vie sociale (d’où la racine « total »). Pour exemple, on va parler de l’Allemagne nazie de 1933 à 1945 (régime hitlérien), il y a plus de difficultés pour parler de totalitarisme soviétique dans une chronologie, nous allons parler d’URSS stalinienne

la crise économique → rareté du pain et chèreté. La population parisienne manifeste son angoisse. Paris a connu les « émotions populaires » : troubles, mouvements de foule allant presque jusqu'à la révolte. 1775 : guerre des farines, révolution collective, pillage des boulangeries. Avant le 14 juillet : à la recherche de farines = violences qui réapparaissent régulièrement. Printemps c'est encore pire puisque c'est la période de la soudure : moment ou la farine de l'année prochaine est attendue puisque

là à « un trait de la mentalité baroque où tout n’est que faux semblant, où les apparences sont trompeuses, et où l’illusion devient réalité et la réalité illusion ». Il faut noter un élément sociologique dans cette pièce, à savoir l’évocation de la Fête des Saints Innocents, jour de liberté pour les fous, qui nous renseigne sur « les mœurs asilaires du temps » – en même temps qu’elle constitue une occasion dramatique de premier ordre. Au total, il s’agit d’une pièce qui, entre autres choses, témoigne