La Force du pardon

Ecriture Personnelle _ Peut-on rire de tout ? Rire jaune, forcé, sournois, grave, étouffé, complaisant, condescendant, agressif, méchant, cruel, nerveux, niais, naïf, imbécile, bête... Fou rire, gros rire. Rire en coin, en cape, en sourdine, en catimini, en franc-tireur, aux éclats, de bon cœur,  de tout son cœur, aux larmes, jusqu'aux larmes, du bout des dents, du bout des lèvres, à contre cœur, dans sa barbe, aux anges, au nez,  aux dépens, au désespoir, de gorge. On le voit, on peut rire n'importe

pièce lui avait donné autant de fil à retordre quant à la mise en scène, l’appel au défi était trop tentant pour ce metteur en scène dont l’expérience et le talent sont reconnus et appréciés de tous. Appuyé d’une excellente distribution, le tour de force qu’à réalisé René Richard Cyr, c’est-à-dire, rendre les mots de Geneviève Billette à leur juste valeur, les faire ressortir et faire ressortir leur intention, est d’autant plus grandiose. Le peu d’éclairage et l’absence de décors ajoutaient à l’atmosphère

coercitives. Ainsi, à la ligne 441, le comte emploie le futur de l’indicatif qui a valeur d’ordre atténué : « Amour ou vanité, vous ouvrirez la porte ». Par ailleurs, l’expression « ou je vais à l’instant… » montre que le comte est prêt à employer la force pour parvenir à ses fins. Mais, sa formule est interrompu par la comtesse : il était sur le point d’enfoncer la porte. La scène 16 est ainsi construite sur un crescendo dramatique dans la mesure où elle évoque la colère croissante du comte, colère

des torts, on n’en garde pas rancune. 6 Découvrir une injustice, ou voir commettre le mal, ne fait pas plaisir à celui qui aime. Il se place du côté de la vérité et se réjouit lorsqu’elle triomphe. 7 L’amour couvre tout : il souffre, endure et pardonne. Il sait passer par–dessus les fautes d’autrui. Aimer, c’est faire confiance à l’autre et attendre le meilleur de lui, c’est espérer sans faiblir, sans jamais abandonner. C’est savoir tout porter, tout surmonter. Quelle serait la note que vous

narration pour rendre la chose plus vivante, plus pathétique) → signe d’adoration (cf.religion), et lorsqu’elle s’en va il la retient par sa robe → geste de supplication. Il parle des « nœuds de [son] affection » → il est prisonnier, lié, par la force de son amour, à elle. Il n’ose d’abord pas y croire et lui demande si elle lui dit cela pour l’ « éprouver » ou le « désespérer » → on met à l’épreuve quelqu’un sur lequel on a des pouvoirs, de qui on est supérieur + en lui demandant de cette manière

savoir l’autonomie absolue de la politique, le principe de souveraineté “, c’est pourquoi la pol doit être pensée pour elle même elle n’exprime qu’elle même, elle est l’effet des passions humaines et l’état est le produit des rapports de force et est fondée par la force” "c'est une pol des temps nouveaux qui n’est fondée ni en Dieu ni en nature “ Hobbes : introduction au vecteur juridique-à partir de là, introduire au second vecteur, comme une seconde phase, second vecteur de la modernité : phase juridique

l’amour d’Émilie, à aller jusqu’au bout de la conjuration et du meurtre. Mais le complot est éventé. Auguste hésite entre le pardon et la punition. Cinna assume ses intentions ; Émilie, qui survient, apprend à l’empereur accablé qu’elle est l’origine de la conspiration, et Maxime*, qu’Auguste croyait fidèle, se révèle à son tour. Cependant, l’empereur, magnanime, pardonne aux conjurés. 2:Analyse Pour écrire Cinna, Corneille puise son inspiration à la fois dans la littérature et dans l’histoire

puisque ce dernier est, en fait, le sujet de ses pièces théâtrales et la source de l'étincelle créative qui « allume » son travail. Il se rend compte que cette rage est la force motrice de sa vie et de sa carrière. Claude ne pouvant pas justifier la rage qui l'anime, craignant que, si son père décède ou qu'il cède à un besoin de pardon " Ça laissera un trou dans le cœur de mon être. " (Acte I) Immédiatement après cette prise de conscience est un désir tout aussi puissant pour assassiner l'homme qui a

impressions d'une longue maladie qui s'est passée tout entière dans les mystères de mon esprit; - et je ne sais pourquoi je me sers de ce terme maladie, car jamais, quant à ce qui est de moi-même, je ne me suis senti mieux portant. Parfois, je croyais ma force et mon activité doublées; il me semblait tout savoir, tout comprendre; l'imagination m'apportait des délices infinies. En recouvrant ce que les hommes appellent la raison, faudra-t-il regretter de les avoir perdues?" Gerard Labrunie, alias de Nerval

ne m'a jamais aimé. J'ai mal aux yeux à force de pleurer, et mal au bide à force de t'attendre. J'ai le cœur qui va exploser, se détruire d'amour et d'espoir. J'ai l'impression que ma tête va exploser, que mon souffle va se couper. C'est à partir de ce moment-là que j'ai commencé à te détester, à te haïr. C'est ce qu'on appelle l'amour haineux, l'amour destructeur, l'amour sans amour.Je suis désolé, vraiment désolé. Pardonne-moi de m'être éloigné, pardonne-moi de ne pas avoir été là pendant ses quelques