La Folle Route

Classes : Teminales CELLULE PEDAGOGIQUE DE FRANÇAIS Chapitre : Le théâtre Je ne veux pas comprendre ISMENE – Tu sais, j’ai bien pensé, Antigone. ANTIGONE- Oui ISMENE – J’ai bien pensé toute la nuit. Tu es folle. ANTIGONE – OUI. ISMENE – Nous ne pouvons pas. ANTIGONE – après un silence, de sa petite voix – Pourquoi ? ISMENE – Il nous ferait mourir. ANTIGONE – Bien sûr. A chacun son rôle. Lui, il doit nous faire mourir, et nous, nous devons aller enterrer

Ragon. L’accès en voiture ou en bus est N°1 Samedi 18 février Les collectes quittent la Carterie pour Ragon Les collectes à la Carterie, c’est fini. Elles auront lieu désormais à la Maison de quartier de Ragon. simple. Il suffit de suivre la route des Sorinières jusqu’à Ragon. Les bus n°94 ( Sorinières ) et n°38 ( L’Aufrère ) s’arrêtent à proximité. Un parking est également à la disposition de tous. Ce sera aussi l’occasion, pour les donneurs, de découvrir les multiples activités de la Maison

murs suintants, pavé qui glissent, Voilà ma route – avec le paradis au bout. 3. Des poètes maudits |Baudelaire |Verlaine |Rimbaud | | Scandalisée par son comportement, sa | Il boit et finit par abandonner sa femme| Son caractère emporté supporte mal les | |famille lui impose une décision judiciaire |pour vivre une folle aventure avec Arthur |contraintes familiales

les évolutions de Jeux Olympiques p.4 A) Le déroulement des Jeux p.4 B) Le sport, l’art et la culture p.4 C) Les évolutions techniques p.4 D) Le financement des Jeux p.5 II- Olympisme et économie p.5 A) La folle compétition des villes candidates p.5 B) Transformations des villes hôtes p.6 C) Le revers de la médaille p.7 III- Olympisme et politique p.7 IV- Les dérives de l’Olympisme p.9 A) Entre économie et valeurs

filles de Miami ? Temps modernes à la mine je cherche qui je suis Pour un coup de soleil faudra payer le prix Les pornos et les joints non ne me font plus rien Moi je crache mon venin à la face du destin Les stations de métro sont mon unique route Sous l’acide des pluies passer entre les gouttes Alors la nuit je traîne comme un loup dans la plaine Qui pourra remplacer le poison dans la veine ? Et je cherche aux étoiles A qui donner mon corps Dans les boites à cochons Je vais sur les

crier « gare », il s’avança, les mains tendues, les lèvres gourmandes, et, la saisissant à pleins bras, il l’embrassa. D’un bond elle fut debout, criant : « Au secours », hurlant d’épouvante. Et elle ouvrit la portière ; elle agita ses bras dehors, folle de peur, essayant de sauter, tandis que Morin éperdu, persuadé qu’elle allait se précipiter sur la voie, la retenait par sa jupe en bégayant : « Madame... oh !... madame. » Le train ralentit sa marche, s’arrêta. Deux employés se précipitèrent aux signaux

parler seule et ne veut rien avaler d’autre que des petits-suisses et des sucreries. Les rôles s’inversent peu à peu mais pour Annie Ernaux, malgré la douleur, l’envie de voir sa mère en vie est la plus forte : « J’ai peur qu’elle meurt, je la préfère folle. »14 À l’hôpital ou dans la maison de retraite où sa mère sera placée, ce que l’auteure voit, les détresses qu’elle croise, sont « au-delà de la tristesse ». « Je ne suis pas sortie de ma nuit » est le récit douloureux d’une fille obligée d’attacher

maison bien close ! Jouons pendant qu’il est encore temps. Jouons et flânons dans la maison. La nouvelle route part à travers les prairies et les pommiers, en pente douce. Puis elle entre dans la vallée étroite pour grimper en lacets vers les hautes crêtes. Des équipes remuent la terre, coupent les arbres, creusent les roches, bâtissent les ponts sur les torrents et les précipices. Une folle joie règne pendant nos récréations. Une moitié des élèves joue aux billes à l’ombre des arbres. D’autres

discussion dans le camion : → chemineau = Tom Joad issu d'une famille de cultivateurs possédant une ferme de 40 arpents → disparition de familles de cultivateurs avec de « sacrées chenilles » → camionneurs s'occupent comme ils peuvent, seuls, sur la route : poésie, chant, sifflement ; pour celui-ci : exerce sa mémoire et souhaite faire des études par correspondance pour devenir ingénieur-mécanicien ; les chauffeurs s'arrêtent dans les bars pour voir du monde et se reposer → Joad : emprisonné pendant

même les vieilles rancœurs" J'ai beau t'aimer encore, j'ai beau t'aimer toujours J'ai beau n'aimer que toi, j'ai beau t'aimer d'amour Si tu ne comprends pas qu'il te faut revenir Je ferai de nous deux mes plus beaux souvenirs Je reprendrai la route, le monde m'émerveille J'irai me réchauffer à un autre soleil Je ne suis pas de ceux qui meurent de chagrin Je n'ai pas la vertu des femmes de marins Dis, quand reviendras-tu? Dis, au moins le sais-tu Que tout le temps qui passe, Ne se rattrape