La Folle Journée

Le mariage de Figaro ou La folle journée 1778 Beaumarchais Introduction : Comédie écrite en 5 actes en 1778 Beaumarchais y remet en scène les principaux personnages de sa pièce Le barbier de Séville : le barbier, Figaro, le comte Almaviva et Rosine, appelée maintenant la Comtesse. Bartholo, autre personnage essentiel du Barbier, joue un rôle beaucoup plus secondaire. Deux ans après sa première représentation, la pièce a été adaptée en opéra par Mozart et Lorenzo da Ponte sous le titre Le nozze

fait des avances sur Phèdre. Dans cet extrait, issu de la scène 6 de l’acte IV Phèdre a essayé de dire la vérité à Thésée, mais apprend qu’Hipolyte se prétend amoureux d’Aricie, ennemie du roi, et qu’il a été chassé du château. Phèdre se voit alors folle de jalousie, et n’arrive pas à avouer la vérité à Thésée. Elle se confesse alors à Oenone, et parle de ses sentiments, narrant ce qu’elle ressent. Cette fureur jalouse de Phèdre sert de moteur au conflit tragique auque se confronte l’héroine. Nous

leurs époux et les encouragent à la violence et la férocité; elles sont parfois même en tête du mouvement et certaines sont arrêtées et parfois durement condamnées. Ainsi nous constatons que les femmes sont grandement présentes lors des premières journées révolutionnaires. ( IMAGE DE L’AVANT-GARDE DES FEMMES ALLANT À VERSAILLES )L’assouvissement de pouvoirs politiques n'est qu'un sujet rare pour ces femmes revendicatrices à partir du moment où elles n'ont pas conscience du pouvoir qu'elles peuvent

tous ses occupants: Chérubin, Fanchette, Marceline... Tandis que la Comtesse, seule, sort de l’autre pavillon. Le Comte, comprenant sa bévue, implore le pardon de son épouse, et «tout finit par des chansons» . 3) Historique de la pièce La Folle Journée ou le Mariage de Figaro est une comédie en cinq actes et en prose de Pierre-Augustin Caron de Beaumarchais (1732-1799), créée à Paris à la Comédie-Française le 27 avril 1784, et publiée simultanément à Paris chez Ruault et à Kehl à la Société littéraire

:s. Olivia , pour moi tes bien plus qu'une simple amie, tes beaucoup plus. Y'a qu'avec toi que je peut rire sans m'arreter, devenir folle quand il parle de J.b, dansé comme si personne nous voyait, chanter avec l'ordi qui change la voie, être folle d'mon cousins - a moi, pas touche Mdr. - Tous se dire, s'aider, s'envoyer des sms pour rien dire. Je t'aime tant ma folle, mon trésor, ma soeur, ma biebeuse (xD), my life, my favorite girl, mon ange, mon amoure, mon coeur, cherie .. Tes toute ma vie, la

discussion plus intime entre les deux jeunes gens notamment sur leurs précédentes liaisons amoureuses et leur conception de l’amour. Une relation plus intense se développe alors. Arthur est réellement impliqué dans sa recherche sur le coma : il passe des journées entières à la bibliothèque s’interrompant uniquement à une heure avancée de la nuit pour rejoindre Lauren à la maison. Tout se passait pour le mieux jusqu’au jour où Lauren appris que sa mère, chagrinée de la voir dans cet état végétatif et poussée

qui craignait la « bête », sans doute mort dans l’incendie. Chapitre III : Cabanes sur la plage Ils se mettent donc à construire des cabanes mais très vite Ralph et Simon se retrouvent seuls à la tache pendant que les « petits » passent leurs journées à se gaver de fruits et à jouer sur la plage. Des cabanes sont construites mais elles restent fragiles. L’harmonie dans le groupe ne dure pas très longtemps lorsque les conflits commencent à éclater entre Ralph et Jack, qui deviennent peu à peu ennemis

se construisent les identités alimentaires. Aussi un espace social géographique (réel) de la cuisine, autour du feu où se structure l’organisation sociale des tâches. 4 = espace des habitudes de consommation = la structure de l’incorporation : journée alimentaire, définition des repas (idée anthropocentriste, il existe des populations qui ne prennent pas de repas / exVietnam repas organisé et « manger pour s’amuser »// grignotage], modes de consommation, lieux, règles… + Temporalité alimentaire :

Grand’mère, une cuillérée pour l’Empereur, une cuillérée pour le Prince Impérial, une autre pour les Dames Augustines, et puis, tant pis, une autre pour maman, faut bien, Prunelle de mes yeux ! rien pour papa…) » Cite des comptines de la mère-grand. Folle du petit. Calino. Appartement : foutoir exotique. Pieuse. « Par la fenêtre, monte l’odeur des acacias. » IV Pierre et la Bourse comme baromètre social. S’intéresse à Law. « Il faut être de son temps, aimait-il à dire, sans que cela l’engageât à

peu de fond de teint et du mascara et ça passe inaperçue. Et tout recommence, une journée de mensonge, une journée à sourire, une journée d'illusion. Et maintenant je parle au passé de notre histoire. Nous nous sommes quittés comme nous nous sommes aimés : sans savoir pourquoi. Faudrait que t'arrives à en parler au passé. Faudrait que t'arrives à ne plus penser à ça. Faudrait que tu l'oublies à longueur de journée. Dis-toi surtout qu'il ne reviendra pas. Puis a un moment, tu arrêtes de chercher