La Focalisation Dans Le Horla

une vision pessimiste sur son temps, et s’y oppose (construction de la Tour Eiffel). Vers la fin des années 1880, sa santé se détériore. Après 1890, il est atteint de syphilis et se fait interné, il tombe dans la folie comme peut le voir dans le Horla qu’il écrit à ce moment là. Maupassant a passé les douze dernières années de sa vie à consulter des médecins, à la recherche d'un traitement susceptible d'apaiser ses douleurs mais cela n’est pas suffisant et il meurt le 6 juillet 1893 dans la démence

(exemple : Le Horla, de Maupassant). Dans ce cas, pour que l’identification au lecteur soit plus intense et plus facile, le héros est faiblement caractérisé et peu décrit. ● Le point de vue est totalement subjectif : nous venons de voir que le récit fantastique est écrit à la première personne, sur le mode du « je », pour que nous participions à l’aventure avec un maximum d’intensité.
C’est « je » qui voit, qui sent, qui interprète.
→ À consulter : Les points de vue ou les focalisations dans un récit

légèrement accéléré d’une courte séquence narrative (il montait lentement … il sonna). L’ordre de la narration est perturbé par le retour en arrière (8 à 16) d’une pause explicative assumée par le narrateur (il ne s’était même pas reconnu 13). Mais la focalisation interne a donné le moment de la méprise à vivre au lecteur (Il aperçut en face de lui 2). Les sentiments du personnage sont rapportés par le narrateur omniscient sous la forme du psycho-récit (un élan de joie le fit tressaillir 6, une confiance

l’allitération en S de la l.14 à 17. Quand a la l.20, une pensée entre en lui d’une façon brutale que le héro doit se battre le lendemain même. II) de la raison à la folie a) le discours de la raison La focalisation concerne surtout le héro ce qui rend le discours très subjectif la répétition des adjectifs démonstratif fait entré le lecteur dans la pensée de Duroy l.4 « cette volonté », l.7 « se doute », «  cette inquiétude, cette épouvante » dans notre passage

presque la totalité de Pierre et Jean, (quatrième roman dont le thème central est la bâtardise) et, en septembre, à la demande de son éditeur qui juge le manuscrit trop court, il compose sa célèbre préface, son « Etude sur le roman ». Et enfin Le Horla paraît aussi chez Ollendorf. Cette oeuvre ouvre la voie à de nombreuses interprétations ; on pense y voir dans la folie du narrateur des signes prémonitoires de la fin tragique de son auteur. Les publications s’enchaînent toujours au même rythme, Sur

littérature française par ses six romans, dont Une Vie en 1883, Bel-Ami en 1885, Pierre et Jean en 1887-1888, mais surtout par ses nouvelles (plus de 300), parfois intitulées contes, comme Boule de Suif en 1880, les Contes de la bécasse en 1883 ou le Horla en 1887. Ces œuvres retiennent l’attention par leur force réaliste, la présence importante du fantastique et par le pessimisme qui s’en dégage le plus souvent mais aussi par la maîtrise stylistique. La carrière littéraire de Guy de Maupassant se limite

description du paysage et les réactions de Pierre : la réaction suit toujours la description ce qui montre bien que l'ambiance du spectacle conditionne l'état d'esprit du personnage. B. La structure des parties descriptives 1. Point de vue : focalisation interne Indices spatiaux : "sur sa droite" (l. 1), "tout près de lui" (l. 41) Verbe de perception, "il vit" (l. 44) 2. Structure -> le personnage fait le tour de la situation Relevé de la toponymie : NORD OUEST â "Sainte-Adresse" (l

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personnage ou homodiégétique. B. La focalisation (ou vision ou point de vue) Alors que l’étude de la voix narrative répond à la question « qui raconte ? », celle de la focalisation répond à la question « qui perçoit/voit ? » Le narrateur doit se situer par rapport aux événements racontés. La situation qu’il occupe face aux événements s’appelle la focalisation ou vision : La focalisation Neutre ou Vision illimitée : La focalisation Interne La focalisation Externe C. Le temps Il y

homodiégétique. B. La focalisation (ou vision ou point de vue) Alors que l’étude de la voix narrative répond à la question « qui raconte ? », celle de la focalisation répond à la question « qui perçoit/voit ? » Le narrateur doit se situer par rapport aux événements racontés. La situation qu’il occupe face aux événements s’appelle la focalisation ou vision : ❖ La focalisation Neutre ou Vision illimitée : ❖ La focalisation Interne