La Flexibilité Reduit Elle Le Chomage

agir sur les dépenses et les recettes de l’Etat * La politique monétaire : elle consiste à agir sur l’évolution de la masse monétaire pas l’intermédiaire de taux d’interêts Politique de relance : lorsque les pouvoirs publics luttent contre le chômage et cherchent à stimuler la croissance économique. Politique de rigueur (ou de stabilisation) : lorqu’ils luttent contre l’inflation et les déséquilibres extérieurs. Le plan Barre de 1976 constitue un bon exemple de cette politique : diminution des

l’économie (relance par la demande), sur le rôle du secteur public en matière d’allocation des ressources, sur les instruments de redistribution nécessaires pour soutenir la consommation et l’investissement. L’objectif de plein emploi et la gestion du chômage étaient au cœur de la politique économique. Cette dernière trouve sa légitimité dans le défaut de coordination par les prix. Durant les années 80 et 90, la remise en cause de la régulation keynésienne5 a fait prévaloir les thèses néo-libérales – lesquelles

ailleurs, le chômage est égal à la différence entre population active (PA) et population active occupée (PAO), c'est-à-dire le nombre d'emplois offerts (N) : (7) CH = PA - PAO = PA - N En termes de variations, cette équation (7) devient : (8) ΔCH = ΔPA - ΔN Soit, en remplaçant ∆N par l’équation (6) réduite aux seules variations pour dégager le sens des différentes relations : (9) ΔCH = ΔPA - [ΔY - Δd - Δ (Y/L)] Soit encore : (10) ΔCH = ΔPA - ΔY + Δd + Δ (Y/L) Par conséquent, le chômage est une fonction

de l’Union européenne sur le plan politique instaurant une cohérence dans la politique budgétaire européenne. Ces conditions n’étant pas réunies François Hollande demande une renégociation du traité. De plus, le phénomène de stagflation, montée du chômage accompagnée d’inflation ici inflation dû aux coûts et non à un excès de demande, ne peut se résoudre par une politique monétaire propre à Keynes dans la zone euro car c’est la BCE qui a le contrôle sur les taux d’intérêt. Seules des outils fiscaux

navale. Ce processsus a permis un rattrapage en termes de productivité, mais les licenciements massifs qui en ont découlé ont engendré une chutte du taux d’emploi. Le debut des années 80 est donc marqué par un chomâge de masse pour atteindre les 20% en 1985. (Cf Graphique 1). Ce chomâge de masse conduit l’etat à assumer un rôle croissant de financement de la protection sociale permettant ainsi à l’Espagne de rattraper son retard dans ce domaine. b. Intégration dans l’UE En 1986 l’Espagne intègre

catégorie macro de politiques publiques et par ailleurs vécu comme telle par les citoyens, qui distinguent fondamentalement des directions pro-sociétales (fondées sur la sécurité et la solidarité garanties par l'État) et pro-mercantiles (fondées sur la flexibilité et l'individualisme envers les marchés). Par ailleurs, il est avéré diatopiquement et diachroniquement que les mesures sur ces trois axes retenus s'accompagnent et se renforcent, établissant une sorte de système social. Conscients de l'hétérodoxie

QUEL MODELE PRODUCTIF ? La croissance de l'économie française s’est progressivement réduite à cause d’un ralentissement du progrès technique et d'un retournement au niveau de la balance commerciale. En 2008, l’économie française a connue un grand retournement a cause de la crise. Et donc il est nécessaire aujourd'hui d'établir un diagnostic afin de déterminer les différents déséquilibres au niveau macro-économique. À identifier les freins à l’innovation et à l’investissement dans les entreprises

déjà des questions monétaires et financières : §67: les Etats membres suppriment progressivement les restrictions aux mouvements des capitaux. §104: Etat pratique la politique éco nécessaire pour maintenir l'équilibre de sa Balance des Paiements, chômage, stabilité des prix, stabilité de la monnaie. §105 : création d’un comité monétaire consultatif pour coordonner les politiques monétaires. §107: mener leur politique de change dans l'intérêt commun. => On parle d'une coordination dans l'intérêt

Kaldor donne 4 indicateurs qui apparaissent : -Le taux de chômage (qui doit être très proche de 0) -le taux de croissance (en pourcentage du PIB) qui est élevé -le taux d'inflation (en pourcent) est proche de 0 -L'équilibre extérieur (en pourcent du PIB) Lorsqu'on a des problèmes économiques et sociaux on a l'inverse de ce carré magique, le carré magique de la France en 2013 représente l'opposé du carré de Nicholas Kaldor, le taux de chômage est a 10,3%, le taux de croissance est de 0,8%, cette croissance

la demande et avec de très faibles coûts (la matière première leur parvenait par les négociants qui l’apportait). Le travail était donc adapté aux petits niveaux de production puisque l’organisation était simpliste avec un nombre de travailleurs réduit et des outils ne permettant pas de produire à grande échelle. Ce système ne laissait place à aucune revendication salariale puisqu’aucun syndicat ou de classe représentative ne pouvait se former du fait que les moyens de production n’étaient pas