La Ficelle

au-dessus de sa boutique, n'avait pas de rideaux. Les moindres détails de la pièce se dessinaient comme sur une gravure au burin, les fleurs de la tapisserie, les taches de mouches sur la glace, le morceau de craie plate et grasse qui pendait à une ficelle, les patrons en papier brun accrochés au mur, et Kachoudas, assis sur sa table, les jambes repliées sous lui, avec, à portée de la main, une ampoule électrique sans abat-jour qu'il rapprochait de son ouvrage à l'aide d'un fil de fer. La porte du fond

« mécanique plaquée sur du vivant », ce que la citation suivante nous montre : « La comédie est bien un jeu, un jeu qui imite la vie. Et si, dans les jeux de l'enfant, alors qu'il manœuvre poupées et pantins, tout se fait par ficelles, ne sont-ce pas ces mêmes ficelles que nous devons retrouver, amincies par l'usage, dans les fils qui nouent les situations de comédie ? Partons donc des jeux de l'enfant. Suivons le progrès insensible par lequel il fait grandir ses pantins, les anime et les amène

Angélique lui confier filialement, si ce n’est lui ressasser, son amour pour Cléante. Comique 1. Quel procédé du comique de situation la didascalie « faisant semblant de s’être cogné la tête » (sc. 2, l. 215) implique-t-elle ? Il s’agit du pantin à ficelle : Toinette tente de manipuler Argan. 2. Dans la première partie de la scène 2, quel procédé du comique de situation est employé ? Quelle caractéristique stylistique en accentue le rythme ? Il s’agit du diable à ressort. La colère d’Argan tente de

récit à partir d’une structure de base. — Ecrire plusieurs suites possibles à un récit. - 63 - «La ficelle», Guy de Maupassant Guy de Maupassant est un maître dans l’art de conter. La nouvelle, qui s’inspire souvent d’un fait divers, est un genre littéraire difficile qui exige une extrême économie de moyens sans préjudice sur la qualité de la narration. Le plus bénin des défauts humains — une ficelle ramassée par un paysan normand — peut, sous la plume de Maupassant, se transformer en drame, au gré

boite (à chaussures, par ex.)- tu collectes du matériel pour décorer ta boite :Feutres /crayons de couleurs / gouaches /papiers de couleurs, de tailles, de matières différentes /feuilles d’arbres séchées, branches, mousse, paillettes, perles, rubans, ficelles, morceaux de tissus…Tout ce qui sera en rapport avec l’histoire de ton livre!!!      3. DÉCORATION DE LA BOITE : (tu mets ta classe et ton nom sous la boîte)• tu colles, je coupe, tu peins, tu dessines SUR et DANS ta boite ; tu ne laisses aucun blanc

journalisme : un art du mensonge 5) Mentir et plaire pour faire de l’argent (et non une quête de la vérité)  * Pp. 59-60 * Madeleine et Saint Potin vont donner à Bel Ami ses premières leçons de journalisme, ils lui apprennent les rouages, les « ficelles » du métier. C’est l’occasion pour l’auteur de donner au lecteur une vision très critique de la profession : * Le journalisme est l’art du mensonge : l’article de Madeleine Forestier est un tissu de mensonges : champ lexical de l’imagination :

cette bourgeoise. Elle balbutia : « Mais... Madame !... Je ne sais... vous devez vous tromper – Non. Je suis Mathilde Loisel. » Guy de Maupassant, La Parure, 1884. Exercice 3 Voici l’ouverture de la nouvelle normande de Maupassant « La Ficelle » qui raconte la mésaventure d’un homme injustement soupçonné d’un vol un jour de marché. a) Dites quelle est la scène décrite. Un village précis « Goderville » et le jour du marché et description des paysans (hommes-femmes-foule) b) Étudiez

plus finir » apportent la vie dans ce village. Personnages merveilleux La mère apporte des nouvelles de Paris, d'un autre monde : denrée exotiques, musique de différents pays. Son habillement est décrit avec admiratio, même la ficelle qui entoure les paquets est une ficelle d'or. « C'était à voir ! » s'écrie le narrateur : Madame Tim, par la mise en scène de ses fêtes, par aon habillement magnifique offre un spectacle aux habitants émerveillés. Puissances tutélaires de la famille, au statut quasi

dernière, puis se nommer. Si elle échoue, elle doit continuer à tourner autour du serpent.  | | | | La ronde des pancartes | | | | Matériel : papiers, crayon, ficelle Déroulement : Tout le monde est en cercle. Chaque personne reçoit une petite pancarte (10X15 cm environ) avec son nom et une ficelle assez longue pour passer la pancarte autour du cou. Chacun se nomme puis va porter sa pancarte au milieu du cercle. Quand toutes les pancartes sont au milieu, une personne va en chercher

absolument infaillible » La répétition de l’adjectif amplifiée par l’adverbe « absolument » exprime en effet la certitude de Dubois afin de redonner confiance à Dorante. L’adjectif possessif « Notre affaire » rappelle que c’est bien Dubois qui tire les ficelles de l’intrigue.Réplique 6 : Marivaux amplifie l’opposition des caractères des deux personnages, par cette phrase exclamative « Quelle chimère ! », qui dans une métaphore liée à l’illusion, exprime le doute de Dorante. Réplique