La Femme Objet

le produit d’une histoire tri-séculaire ayant déposé sur ce mot des sédimentations ethnologique, philosophique et finalement sexologique. Né au XVIIIe siècle, pour désigner une forme de religion (Des Brosses, Du culte des dieux fétiches, 1756) des objets appelés « fétiches » (dérivé du portugais feitiço : sortilège, artifice), le terme en est venu à désigner une forme de perversion sexuelle depuis Alfred Binet (Le fétichisme dans l’amour, 1888). Il est désigné par les fondateurs de la sexologie (Dr

 SEQUENCE 1 : La représentation de la femme dans la poésie surréaliste Lecture analytique 1 Paul Eluard : Capitale de la douleur ( 1929 ) Même si les surréalistes révolutionnent l'art et la poésie en inventant de nouveaux modes d’écriture, ils se rattachent à la tradition lyrique en chantant les beautés de la femme et de l'amour. Ainsi, Paul Eluard dédie le recueil Capitale de la douleur à son épouse Gala, qui devient la muse du poète et symbolise pour lui la force de l'amour.

de la femme en politique ? Nous verrons à travers différents textes et articles, que de tout temps et en tout lieux, la réponse n'est en aucun cas une évidence. Dans un premier temps nous constaterons que les hommes en privant les femmes d'un certain nombre d'outils, assoient leur pouvoir. Dans un second temps, comment les hommes profitent de l'espace pour exclure les femmes de la vie politique. Dans un troisième temps, l'instrumentalisation de l'homme, en utilisant la femme comme un objet. Et dans

Dans les romans courtois, la femme, la dame, est adulée par le chevalier. Celui-ci la vénère, fait tout pour son bonheur, pour la protéger. Cependant, Georges Duby, un historien du moyen-âge, soutient qu’»en réalité, le désir masculin [...] fait de la femme noble un objet» En d’autres termes, la dame ne serait qu’une marionnette manipulée par le chevalier pour satisfaire ses propres caprices. L’affirmation de Duby va ainsi à l’encontre de l’opinion couramment admise selon laquelle la dame est la

travers la Clio. Métaphore avec Evian et la fleur. Métaphore qui utilise un cliché. La femme est remplacée par la fleur. Toute les caractéristiques que la fleur : fragilité, élégance = attribué à la femme via la fleur donc métaphore, fleur substitué à la femme. Métaphore contrairement à la métonymie ne substitue pas dans un rapport logique (ex de la pub du chapeau melon), mais pas de rapport logique entre la femme et la fleur = un clichée. + La métaphore est de la l’ordre de la qualification. Publicité

Dans l’œuvre “Candide” il y a beaucoup des themes, mais parmi la plus interesante est l’image de la femme. La société du 18ème siècle est une société masculine. A part quelques aristocrates ou grandes bourgeoises qui tiennent salon, les femmes sont réduites à un rôle de mère et d’épouses. Candide, qui est, dans une certaine mesure un miroir révélateur de cette société, donne de la femme une image dévalorisée même si Cunégonde joue un rôle narratif très important. Cunégonde représente

conséquences marketing de l’évolution de la répartition des rôles homme femme L’évolution de la femme dans la société Ces cinquante dernières années ont été pour les femmes, une ère de changement considérables. Le droit qui ouvrit la marche est le droit de vote accordé aux femmes (1944). Avec la naissance des nouveaux droits dont elles disposent, on constate un nouveau type de femmes : « la femme égalitaire » qui s’oppose à la « femme ménagère ».. Désormais, elle peut exercer une activité professionnelle

encore la table pour déjeuner, de nombreux objets envahissent notre quotidien. Qu’ils aient été fabriqués artisanalement ou industriellement, tous répondent à nos besoins et ont une fonction bien définie : un couteau pour couper une pièce de bœuf. La société de consommation est une société matérialiste qui permet à ceux qui ont les moyens financiers d’accéder au bonheur. Ceci nous amène à nous interroger : Quels rapports entretenons-nous avec les objets ? Sont-ils présents pour nous désirer ou bien

ici), en effet elle représente la femme en elle-même, à moitié nu, face au spectateur. La lumière ici est dominante puisque que cette publicité situe l’action en pleine ville parisienne et en journée, mais on peut aussi justifier cela par le fait que l’angle de prise de vue est de dessous ce qui nous montre principalement le ciel, cette lumière nous vient donc du haut. Les lignes qui semblent dominer ici sont les lignes verticales, avec le corps de la femme notamment mais aussi avec le décor

forcement se rattacher au produit vendu, cela suggère qu’elle en soit la seul consommatrice. - objet en « association avec le produit » : la femme est secondaire et « fait partie du décor », il y une totale inadéquation entre le produit vendu et la présence féminine, le plus souvent représenté de façon sexy ou potiche. Objet ou sujet? Stéréotypée ou représentée? La présence de la femme dans la publicité n’a cessé d’être au cœur du débat. Les publicitaires jonglent entre jeux de mots et