La Femme Gelée

lui permet de « disjoindre »19, comme il le dit lui-même, « la lie » et « le manteau » et de leur attribuer un sens métaphorique différent: « la bête » est selon lui « une métaphore pour la terre », « le manteau », pour « les premières neiges ou la gelée blanche», et «  la lie » pour « le sédiment de pommes et de poires pourrissantes qui couvre en automne le sol des vergers». Jean-Charles Gateau opère ainsi ce que Michel Ballabriga appelle une « réduction rhétorique » des expressions surréalistes :

éprouver ses premières craintes, devant parfois fuir, lutter et se battre pour ne pas périr. Il finit ses incarnations animales dans une batterie industrielle d’élevage de porcs. Enfin, le règne humain lui ouvrit ses portes, il choisit de naître femme. Parce que je l’aimais depuis toujours, j’avais voulu la soutenir lui révélant des dons de médium dés sa toute petite enfance. Mais en venant la posséder, je ne faisais que faire éloigner son âme. J’aurai pu contrôler un autre médium et goûter ma promise

l’Hospitalier (Œuvres complètes, Seuil, l’Intégrale, 1964, t. II) : le récit comprend trois chapitres, l’enceinte du château paternel est triple (p. 178), la malédiction du cerf est répétée trois fois (p. 181), la maladie de Julien dure trois mois, sa femme joue d’une mandoline à trois cordes (p. 183), il aperçoit des perdrix « à trois pas d’intervalle », gravit trois terrasses (p. 184), ses parents sont enterrés à trois journées du château (p. 185). ailleurs, admirait). Mais il convient de rappeler

latéral. Globe oculaire : divisé en deux chambres. Séparé par l'iris et le cristallin chambre intérieur : petite, remplie de l'humeur aqueuse (fluide, transparent) → reçoit la lumière chambre postérieur : grande, remplie de l'humeur vitrée (gelée transparente) 2 parti oculaires testées lors visite chez un spécialise : acuité visuelle : (précision, détail) vision trichromatique (synthèse additive de 3 couleurs → percevoir beaucoup de couleur) rétine : constituée de types de cellules nerveuses

Elle jouit actuellement d’une renommée internationale, elle a visité de nombreux pays pour y tenir des conférences, et ses œuvres sont traduites dans plusieurs langues dont l’arabe. Certains textes ont fait l’objet de mises en scène, notamment La Femme gelée et L’Événement en 2002 par Jeanne Champagne, et Passion simple en 2007. Un « Prix Annie Ernaux » attribué à l’écriture de nouvelles a été de plus initié il y a plus de trois ans, destiné aux adultes comme aux jeunes; le thème de 2005 est par exemple

obscurité », in Mélusine moderne et Sidur, la divine cabaretière, est presque une prophétesse. L’épithète de sabituque le vin »), « vigneronne » et « échansonne ». 6. par sa traduction en hittite, langue indo-européenne : sal-tinna, (= « la femme du Le dieu du soleil. poème lui applique, issue d’une racine qui a donné sabu(= « vin, cidre ») est expliquée Le passage est difficile et le chemin pénible, et les Eaux de la Mort sont profondes qui interdisent son accès. À quel endroit, ô Gilgamesh

dunes, entre deux marées, autour de la petite ville jetée ainsi loin du monde, un vieux berger, dont on ne voit jamais la tête couverte de son manteau, 5 et qui conduit, en marchant devant eux, un bouc à figure d’homme et une chèvre à figure de femme, tous deux avec de longs cheveux blancs et parlant sans cesse, se querellant dans une langue inconnue, puis cessant soudain de crier pour bêler de toute leur force. Je dis au moine : « Y croyez-vous ? » Il murmura : « Je ne sais pas. » Je repris :

bretons. Un Roland, un Guillaume, sont les barons chrétiens et français, qui se battent pour leur pays et pour leur Dieu, contre les Sarrasins. On les voit uniquement occupés de frapper de grands coups ; vaincre ou mourir, telle est leur devise. La femme n’apparaît que très discrètement dans les chansons de gestes, et ses sentiments sont aussi de nature héroïque. – Le chevalier de la Table ronde n’est plus un combattant au service du pays ; il porte les couleurs de la « dame de ses pensées », et c’est

dans un beau pays riche et verdoyant, une jeune femme qui rêvait d’ avoir un enfant . Elle alla trouver une sourcière ,elle lui dit : * J’aimerais tant avoir un enfant ! voila si longtemps que j’attends ! aidez –moi s’il vous plait ! * Je vais te donner ce grain d’ orge ! lui répondit la sourcière. Mais prends en grand soin ! car il n’est pas de ceux qui poussent dans les champs. Rentres chez-toi et plantes le dans un pot. La jeune femme rentra chez elle pour planter son grain d’orge.

Naissance en Algérie; mort du père en 1914, Camus vit seul avec sa mère (c'est le cas de Rieux ici, et de Meursault dans l'Etranger)- cette « femme qui se taisait toujours », comme la mère de Rieux. Milieu modeste, tout comme Rieux. Il suit des études de philosophie tout en pratiquant passionnément le théâtre; atteint de Tuberculose (cf la femme de Rieux, malade, part se faire soigner dans une ville de montagne avant les évènements), il ne peut se présenter à l'agrégation. Il sera journaliste