La Femme Et Le Pantin

compréhension de leur nécessité, sait qu’elle est en train de devenir une femme. Elle montre au Prince la femme qu’elle est en train de devenir, en étant féminine au bal. Elle lui prouve sa valeur et il lui prouve la sienne, en recherchant sa dulcinée, en ne tombant pas dans le leurre des deux demi-sœurs et enfin lui tendant le soulier. Elle lui montre qu’elle a besoin de lui pour se remplir intégralement de son identité positive de femme en se lavant les mains et le visage pour lui et en mettant elle-même

précisions le personnage de Jean Valjean (sa taille, son aspect physique, ses vêtements…), dans « Napoléon le petit », Hugo dresse un portrait moral de son personnage grâce a de nombreux adjectifs péjoratifs qui le font paraitre comme une sorte de pantin. Le romancier pour créer son personnage, lui donne un statut social. Flaubert dans « Madame Bovary » crée le personnage de Charles Bovary issu d’une petite bourgeoisie. On voit donc que la création des personnages par le romancier, parfois à son

de second plan au cinéma avant de camper des personnages plus centraux puis de tenir le haut de l'affiche durant les années 1980, essentiellement pour des comédies. En 1984, il obtient un César du meilleur acteur pour son rôle dramatique dans Tchao pantin. Tour à tour provocateur ou agitateur par ses prises de position sociales, il se présente à l'élection présidentielle de 1981 avant de se retirer2. Devenu très populaire et apprécié du public, il fonde en 1985 l'association Les Restos du Cœur, relais

commence à avoir des doutes sur son voisin par rapport à son comportement. La musique nous place dès le début dans un univers étrange et nous donne l'impression que cette petite rue tranquille renferme des secrets inavouables, notamment sur la mort de la femme du professeur d'histoire mais aussi sur la véritable nature de son voisin, homme qui paraît être un homme bien sous tous rapports au début. Dans Requiem for a Dream (2001), nous retrouvons le même schéma que dans les Dents de la Mer. Ce film raconte

qui ne devient qu'un prétexte pour exprimer les nouveautés maniérismes. Rosso se concentre sur l'expression lyrique de la couleur et sur une construction harmonieuse et géométrique. Les personnages qui descendent Jésus de la croix sont comme des pantins aux mouvements désarticulés et aux visages effrayants. On peut opposer ce chaos à la géométrie de la croix et des échelles. La toile supprime toute notion de décor et de profondeur. Seuls les personnages importent. Marie Madeleine incarne l'expression

différence en mêlant la tradition à la modernité donnant ainsi au jardinier un ton omniscient. En somme Giraudoux exprime sa vision de la tragédie, mais surtout des personnages à travers ce pauvre jardinier finalement pas si omnipotent puisque simple pantin du point de vue de l’auteur. Si le jardinier représente l’auteur, il n’en est cependant pas moins un homme du peuple épris d’une solitude pathétique.

bourgeoisie est mise à rude épreuve et très ridiculisée. L’analyse littéraire suivante portera sur les scènes 3 et 4 de l’acte III de cette comédie, lorsque Monsieur Jourdain veut démontrer les nouvelles connaissances qu’il a acquises à Mme Jourdain, sa femme ainsi qu’à Nicole, une servante. Elle portera aussi lorsque Monsieur Jourdain se fait encore emprunter de l’argent par un noble, Dorante. En fait, l’analyse décrira en premier lieu certains thèmes clés se retrouvant dans la majeure partie cette comédie

progressivement · "Quelque chose" > pronom indéfini > il ne connaît pas encore mais il pressent (progression)· "Horrible" terme fort > peut se rapporter au stratagème et stratège · "Ayez pitié" > rapport de force, posture de victime· Aveu (cette femme je l'aime) pour justifier cette pitié > persuasion par les sentiments · Succession de phrases exclamatives, courtes, rythme saccadé, ponctuation mimétique des émotions > met en valeur les émotions · Aveu car "il faut que je vous le dise" et "vous

humaine) il reprend le personnage de Molina, mais Don Juan ne recherche plus la simple jouissance physique. Le personnage est présenté comme égoïste, cynique, hypocrite et froid, il manipule hommes et femmes, séduit par le discours pour faire tomber la femme qu’il désire, promet mensongèrement le mariage, déshonore les femmes. Il a le gout du défi, il est fier et orgueilleux, Dom Juan veut affirmer sa supériorité sur tout et tous, y compris la morale et la religion. De plus il est totalement opposé aux

poupées applaudies ! Mais ne voyez-vous pas qu’en France on ne va au théâtre que pour digérer en paix. Demandez aux auteurs dramatiques de quelque talent les rages qu’ils ont parfois contre ce public pudibond et borné, qui ne veut absolument que des pantins, qui refuse les vérités âpres de la vie. Nos foules demandent de beaux mensonges, des sentiments tout faits, des situations clichées ; elles descendent souvent jusqu’aux indécences, mais elles ne montent jamais jusqu’aux réalités. Lisez l’Histoire