La Femme Du Roi Arthur

aussi amoureuse de Jérôme. Elle se des robes sans cesse à Jérôme et préfères une vie de pureté, au plaisir charnel. Elle meurt et lègue, son journal intime à l’homme qu’elle n’a pourtant jamais cesser d’aimer, Jérôme. Juliette : sœur de Alyssa et femme d’Édouard Édouard : fiancé puis, Mary de Juliette. THÈMES La vertu : c’est la morale et le puritanisme, qui sont une entrave au bonheur. Les valeurs religieuses amène des notions comme celle du sacrifice et de l’abnégation, ce qui conduit inéluctablement

littérature s'est nourrie de récits occultes, de légendes, de contes faisant intervenir la magie, le surnaturel, l'étrange. Au Moyen-Age, on parle de "merveilleux" parfois lié aux questions religieuses, comme dans Merlin de Boron, où se mêle légendes du roi Arthur et imaginaire chrétien, on parle d'ailleurs de "merveilleux chrétien". D'ailleurs cette matière sera reprise par Perrault dans ses contes de fées au XVIIe siècle. Mais la grande différence entre le merveilleux et le fantastique, qui n'apparaît qu'à

notre entourage et pour nous même. Ce personnage qui se plait dans son mal être nous montre les côté les plus désagréable d'un narcissique. L'auteur nous fait ainsi réfléchir sur notre propre comportement car si on trouve le comportement de cette femme très désagréable on ne peut que pensée à nous et à comment nous apparaissons aux yeux des autres. Dorian Gray est un jeune homme d'une très grande beauté. Son ami artiste peintre Basil Hallward est obsédé par ce dernier et en tire toute son inspiration

trouvais les poèmes très beaux et poétiques. Ces poèmes me faisaient penser à toute l'attention que l'on peut porter à une femme et donc au fait que les poètes en parlaient beaucoup dans leurs poèmes. J'ai choisi l'un des ces quatre poèmes , celui de Guillaume Apollinaire, car la forme de son poème est magnifique et m'a laissé sans voix ( son poème représente une femme ). Ensuite, le thème de la pluie sera évoqué avec deux poèmes ( « La Pluie » de Francis Ponge et « Il pleut » de Raymond Queneau

portée l’inscription « A la plus belle. » Trois déesses se la disputaient, Athéna déesse guerrière, Héra femme de Zeus et Aphrodite déesse de l’amour et de la beauté. Pour déterminer la gagnante les trois femmes allèrent demander à Zeus, celui-ci ne voulant pas crée un favoritisme envoya son fils, Hermès, sur le mont Ida afin qu’un mortel choisisse la gagnante. Pâris était le fils de Priam, le roi de la ville de Troie. Alors que l’épouse de ce dernier, Hécube, était enceinte, elle eut une vision :

couchants »…………………………………… Page 3 Charles Baudelaire, « L’albatros » …………………………………… Page 5 Charles Baudelaire, « Hymne à la beauté »………………………… Page 7 Arthur Rimbaud, « Voyelles »……………………………………… Page 9 Louis Aragon, « Les lilas »………………………………………… Page 11 Deuxième partie : Poésie de mon choix Arthur Rimbaud, « Le mal »………………………………………… Page 13 Arthur Rimbaud, « Aube »……………………………………………Page 15 Jacques Prévert, « Déjeuner du matin »……………………………Page 17 Victor Hugo, « Demain dès l’Aube »…………………………………Page

publicationAdaptée par Françoise Rachmuhl LA LÉGENDE DE TRISTAN ET YSEUT L ILLUSTRATION : Fred SOCHARD En conduisant la nouvelle reine sur son bateau, Tristan ignorait que cette femme était l’image de son destin et qu’elle transformerait sa vie en une suite de délices et d’infi nis tourments. » DÈS 12 ANS e roi Marc de Cornouailles a décidé de prendre pour épouse la belle Yseut. Il charge son neveu, le chevalier Tristan, d’aller la trouver en Irlande. Après avoir affronté un terrible dragon

effet, la longévité du règne d'Henri VIII, son énergie et parfois sa cruauté, en font une figure marquante de l'histoire du XVI ème siècle. Ainsi, nous allons nous demander quels changements furent menés volontairement ou involontairement par le roi Henri VIII et ce au-delà des frontières et voir s'il est un mythe ou une réalité. Il serait donc judicieux, dans un premier temps, de nous intéresser à sa jeunesse, au contexte historique de sa jeunesse puis de nous pencher sur son règne dans un second

rose dont il s’agit de détailler les atouts, le poème propose une métaphore filée de la femme : La mention de la « robe » (v. 3), reprise par le détail des « plis de sa robe » (v. 5), renvoie aux parures de la femme. Ensuite La personnification de la fleur « elle a dessus la place » (v. 8), « ses beautés laissé choir » (v. 9), donne à la fleur des attitudes humaines, favorisant le rapprochement entre la femme et la fleur. D’un autre point de vue la rose est aussi tout d’abord assimilée à une beauté

tout cela, voilà ce qui pourrait arriver. Ainsi donc voilà qui est fait. Patience ! Une heure est une heure, et l'horloge vient de sonner. Si vous y tenez cependant — mais non pourquoi ? — Emporte le flambeau si tu veux; la première fois qu'une femme se donne, cela est tout simple. — Entrez donc, chauffez-vous donc un peu. — Oh ! mon Dieu, oui, pur caprice de jeune fille; et quel motif de croire à ce meurtre ? — Cela pourra les étonner, même Philippe2. Te voilà, toi, face livide ? (La lune