La Femme chocolat

également si DG veut se lancer dans le tailleur strict cela ne marchera pas car cela ne correspond pas à leur image. Mais il y’a aussi la concurrence et le positionnement. Les divers niveaux dans le Luxe : * Le luxe dit accessible : (Parfums, chocolat, lunettes, la petite maroquinerie, les cafés, les restaurants avec les « menus découvertes », les vins, les accessoires, les sous vêtements plutôt masculin et la lingerie, les cigares, …) Celui qui rapporte le plus d’argent à la marque. * Le

qu’ils soient servis pensant que cela était plus pratique du faite qu’ils préfèrent regarder les vitrines en entrant dans le magasin pour choisir la pâtisserie qu’ils désirent. I. Qui êtes-vous ? 1) Vous êtes ? Sexe | % | Homme | 27% | Femme | 73% | Total | 100% | On peut remarquer que quasiment les ¾ des personnes interrogés au cours de cette enquête sont des femmes, et que le reste des clients sont des hommes. On en déduit donc que la majorité des clients sont de sexe féminin ce

dans La rue. Elle est sale, maigre et fatiguée. Elle passe ses journées dans La ville, à La recherche d’un hébergement et de nourriture. Parfois, elle campe avec d’autres SDF. Lou et elle entrent en contact. Lou L’invite régulièrement à boire un chocolat chaud ou de La vodka ! Lou essaye d’en savoir plus sur No, comment elle vit, si elle a de La famille, etc. No parle peu et aime surtout écouter Lou. Un jour, Lou se Lance et explique à Nolwenn Le sujet de son élocution. Elle Lui demande si elle

informatique mis, et j'ai eu à transférer des informations de l'ancien système vers le nouveau. Pourtant, il y avait une bonne ambiance dans le bureau, tout le monde s'entendait bien. Il y avait Mme Brady elle-même, qui a toujours partagé ses biscuits au chocolat avec moi au café du matin. Elle a été secrétaire de M. Arnold. Il y avait trois opérateurs d'ordinateur, Jasmin, Carmen et Eric, un vieux Ted, le gardien, qui portait une salopette grise et était à jamais regarder sa montre, M. Patel, qui a travaillé

man (pl.men) woman (pl.women) husband wife father mother parents son daughter grandfather grandmother grandparents grandson granddaughter uncle aunt nephew niece cousin relatives Dad, Daddy Mum, Mummy, Mom(US) bébé enfant garçon fille homme femme mari femme, épouse père mère parents (père et mère) fils fille grand-père grand-mère grands-parents petit-fils petite-fille oncle tante neveu nièce cousin, cousine parents (membres de la famille) Papa Maman 10. DESCRIBING PEOPLE DECRIRE LES GENS

région lilloise. Une femme perdue sur la route, épuisée, arrête un automobiliste et lui demande de la déposer à Lille. La jeune femme continue là-bas son errance. Connue dans son quartier en tant que flic, Lucie Hennebelle a été prévenue par deux étudiants et vient au secours de cette égarée qui porte des traces de liens aux poignets, aux chevilles, qui est maculée de boue et sur la paume de laquelle on peut lire une étrange inscription gravée : ''Pr de retour''. La jeune femme est choquée et s'exprime

couloir à l’extérieur de l’appartement) Enfin, il m’en a mis une bonne. Si t’avais pas été là, il m’aurait démolie … La porte de l’appartement s’ouvre laissant entrer la lumière du couloir dans cet intérieur sombre. Apparaît alors en silhouette, une femme, Yaelle et un homme, Xavier. YAELLE Pas un mec n’a bougé le resto avant que t’arrives. XAVIER (A la porte) T’es sûre que tu veux pas que je te laisse. YAELLE Entre… J’ai dit aux filles de ne pas monter mais on se boit un petit verre avant

L'attentat amoureux Jade : jeune femme d'une trentaine d'années. Elle travaille dans une banque, mène une vie tranquille, rangée et solitaire. Elle est généreuse. Elle prend le train tous les jours à la même heure, sur le même quai pour se rendre à son travail. Elle porte ici une robe fluide mais distinguée. Un S.D.F., Henry : ancien chef d'entreprise, il a tout perdu lors d'un crash boursier. Il a perdu sa fortune et avec elle sa femme et ses amis. Il est devenu S.D.F. Il est souvent couché

est-il certain que la société change de forme. Pour autant, la garçonne reste un mythe et les femmes sont encore invitées à rester chez elles (dans la droite lignée de la politique nataliste du début de la décennie qui rappelait que le devoir d’une femme est de donner des enfants à la France) La presse des années folles n’est plus une presse de « guerre » mais une presse de joie et d’extravagance que reflète les articles et publicités des journaux. La presse vit très largement de la publicité qui

quinze métiers, les appareils distributeurs de prédictions astrologiques, les photos “avant/après”, les papiers à lettres et toute la menue monnaie mercantile : “Mon enfance fut mal informée : quant aux images que l’on trouvait dans les paquets de chocolat, elles proposaient de l'Auvergnat une version si extravagante que j'en restais hypnotisé. Sur un fond d'or – comme dans les toiles des primitifs – un gnome hydrocéphale aux favoris de bois supportait un sac d'anthracite ; il avait l'air aplati d'un