La Fée

tout cela n’et perçu par nous distinctement. Entre la nature et nous, que dis-je ? entre nous et notre propre conscience, un voile s’interpose, voile épais pour le commun des hommes, voile léger, presque transparent, pour l’artiste et le poète. Quelle fée a tissée ce voile ? Fût-ce par malice ou par amitié ? il fallait vivre, et la vie exige que nous appréhendions les choses dans le rapport qu’elles ont à nos besoins. Vivre consiste à agir. Vivre, c’est n’accepter que des objets les impressions utiles

car il parle 8. Je pense que la moral de se conte est qu'il ne faut pas se meller des affaires des autres si on ne veut pas leur causer de tord . 9. je l'ai aimé car les conte parle d'un pays que l'on ne connaît guère 10. Il me rappelle « Les fée » .

B/: L'objet de la vision : Mystérieux, cabinet noir, lien clos Sang caillé Réalisme des détails (accroît l'angoisse, horreur) C/: L'élément merveilleux : Clé : le merveilleux fait son apparition, personnage magique (sauf que mauvais fée : instrument de la perte de la jeune femme). Mélange des registres : – Réalisme : recette pour nettoyer – Pathétique : Destin fatal – Merveilleux : clé, le spectateur attend un retournement merveilleux. 2/: Une image de la société traditionelle

(raconter) …………………….. un conte de fée. Vous (aller)………………… au lit et vous (se laver) ……………………. les dents avant. Vite au lit ! Les fées ont prédit à Aurore la princesse son futur : tout le monde (adorer) l’……………….. elle (avoir) ………………….. tout ce qu’elle (désirer) ……………………….. Ses parents (vivre) ……………………….heureux jusqu’au jour où elle (se piquer) ………………………. le doigt alors elle (mourir)…………………………… Heureusement sa marraine peut corriger la prédiction de la méchante fée : Aurore (ne pas mourir) …………………………………

l’imparfait car il s’agit de présenter la situation initiale et tous ses personnages. Ensuite, si le lecteur retrouve d’emblée le langage du conte, il retrouve aussi tous les éléments traditionnel de celui-ci . Les lieux sont dignes d’un conte de fée, le récit débute dans un pays peu connu, « la Westphalie », (l.1 ) et surtout se déroule dans un « château », ( l.1) lieu symbole du conte. Non seulement les personnages font pratiquement tous partie de la noblesse, qui voudrait ici montrer le rang

Dans le deuxième couplet, on retrouve un rythme de sept syllabes : « Chaque flot est un ondin », « qui nage dans le courant ». Les allitérations en [f] et [s] suggèrent le mouvement de l'eau. Les assonances en [i] font entendre la voix pointue de la fée. Le troisième couplet est en opposition complète avec le précédent sur le plan phonétique ; les sons sont plus durs : « coassante », « caressent », « écume », « moquent », « caduc » ; « bat », « branche », « bras », « barbu ». Leur caractère monosyllabique

Charles Perrault. La bonne femme ayant bu, lui dit «  Vous êtes si belle, si bonne et si honnête, que je ne puis m'empêcher de vous faire un don ( car c'était une fée qui avait pris la forme d'une pauvre femme de village, pour voir jusqu'où irait l'honnêteté de cette jeune fille). - Je vous donne pour don, poursuivit la fée, » qu'à chaque parole que vous direz, il vous sortira de la bouche ou une fleur, ou une pierre précieuse. -Lorsque cette belle fille arriva au logis, sa mère la gronda

peut pas s’y rendre, car elle n’a pas d’habits convenables, ni un moyen de transport pour se rendre au bal. Elle va aider ses demi-sœurs à se préparer pour le bal, et c’est quand toute la famille sera partie au bal que la marraine apparaîtra. Cette fée dotée de pouvoirs magiques, qui joue le rôle de l’adjuvant, va permettre à Cendrillon d’aller au bal. Elle va, grâce à ses pouvoirs magiques, changer ses vieux habits en «des habits de drap d’or et d’argent tout chamarrés de pierreries» (p.48) et lui

qu’elle bût plus aisément. La bonne femme, ayant bu, lui dit : « Vous êtes si belle, si bonne et si honnête, que je ne puis m’empêcher de vous faire un don (car c’était une fée qui avait pris la forme d’une pauvre femme de village, pour voir jusqu’où irait l’honnêteté de cette jeune fille). Je vous donne pour don, poursuivit la fée, qu’à chaque parole que vous direz, il vous sortira de la bouche ou une fleur, ou une pierre précieuse. » Lorsque cette belle fille arriva au logis, sa mère la gronda

superflu puisqu’elles ne sont qu’en réalité des apparences qui peuvent reflétées quelque chose de faux. Alors que dans le texte de Cendrillon la fille, elle à de bonne valeurs et ne semble pas les reflétées assez du a son manque d’argent alors lorsque la fée lui donne toute les apparences nécessaires le prince tombe amoureux d’elle non seulement parce qu’elle est belle, mais ce n’est pas seulement pour cela parce qu’elle l’était déjà de l’intérieur en plus. Ceci à juste permis au fils du roi qui selon moi