La Fable Plaisant

et les maux de son siècle. Toutefois, dans le livre VIII, publié en 1678, il adresse une fable, intitulée « Le pouvoir des fables », à Monsieur de Barillon, ambassadeur de France en Angleterre, dans laquelle il dramatise les bienfaits du genre littéraire lui-même. Il s'agit en effet pour le fabuliste de s'appuyer sur la dimension réflexive de l'apologue pour vanter la supériorité et l'efficacité de la fable sur les longs et ennuyeux discours. Problématique : Nous nous intéresserons donc à la

essemple, fable, lai, proverbe, risée, roman, truffe (« plaisanterie »). C’est dire que la désignation médiévale du genre, reste flottante (bien que chacun des termes utilisés caractérise un des aspecte du genre). En fait le terme de fabliau paraît interchangeable avec celui du conte pour désigner des récits d’imagination que s’opposent à ceux désignés par le terme estoire que sont censés rapporter des faits authentiques. L’explication la plus plausible de terme es d’en faire un dérivé de fable que, au

aussi le public mondain et cultivé. En quoi La Fontaine renouvelle-t-il le genre de la fable ? 1 Le genre de la fable - « Fables choisies, mises en vers par M. de La Fontaine » : par ce titre modeste, le poète se présente comme le continuateur des fabulistes anciens, Esope et Phèdre. - « L’apologue, dit-il dans la Préface de 1668, est composé de deux parties… Le corps est la fable, l’âme la moralité. » Dédiant au Dauphin son Premier Recueil composé pour les enfants, La

de la cour du roiLouis XIV pour des raisons politiques, mais a connu le succès grâce à ses Fables et ses Contes. Ses Fables sont du genre de l'apologue, c'est-à-dire que c'est un récit plaisant et imaginaire,contenant une morale. La Fontaine renouvelle la forme de la fable grâce à son écriture poétique. Cette fable Le Lion, le Loup et le Renard est la troisième du livre VIII. C'est un apologue où La Fontaines'est inspiré d'Esope. Elle est composée en vers mêlés avec des alexandrins et des octosyllabes

le roman de Rousseau est lui aussi un ouvrage de réflexion. Je pense qu’un ouvrage est surement moins plaisant mais il peut être plus étoffé dans ses explications ou les recherches. Les Fables de la fontaine donne une morale mais elle n’explique pas d’où vient cette morale et pourquoi. Rousseau lui explique sa façon de pensée et amène donc la morale qui en découle. Seulement voilà, une fable c’est une histoire et même une poésie (bon nombre les ont apprises à l’école). Elle a en surface une facilité

une réflexion au lecteur. Par exemple, dans la fable du Lièvre et de la Tortue , la morale « rien ne sert de courir, il faut partir à point » fait réfléchir le lecteur. Dans cette fable, souvent lue aux enfants, la réflexion sur la précipitation dans un travail ou dans l’exécution de tâches quotidiennes peut permettre d’en tirer un enseignement. De même pour un lecteur plus âgé nous retrouvons ce but, notamment dans la fable la Tortue et les deux Canards,

La Fable La fable est un récit (elle raconte quelque chose, des personnages, des épisondes). COURT (( du Roman) Sous forme : Allégorique (les personnages symbolisant vices et vertus). Les vers en prose, qui vise à illustrer un précepte, une leçon, une morale. • Fable (( Fabula = récit mensonger. La morale des fables de La Fontaine peut-être explicite, ou simplement suggérée par le récit, (exemple : La Cigale et la Fourmi, Le chêne et le roseau, …). Quand elle est explicite, la morale

de façon plaisante, la morale. Le livre I, destiné au dauphin, propose une réflexion sur la société humaine, les puissants et la vie de la cour. Tirée de ce livre, la fable « Le Loup et L’Agneau » laisse ensemble deux animaux représentatifs, bien sûr, de types humains et sociaux. Le message de la fable, directement accessible, montre l’écrasement du faible par le puissant et dénonce ce scandale permanent. SITUATION D’ENONCIATION : L’auteur associe le lecteur à la Fable : « nous

plaire au lecteur, par exemple l’apologue, qui peut toucher tout âge, la fable pour les enfants ou il s’en suit une morale avec par exemple La Fontaine qui cite dans une de ses œuvres : « Une morale nue apporte de l’ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui ». Pour les adolescents, il s’agirait plutôt des contes de Voltaire, des contes philosophiques avec par exemple Candide ou Zadig, qui sont des contes plaisants avec des actions mouvementés et ou l’on peut en tirer une leçon morale ou

chefs-d’œuvre de la littérature française. Les écrivains classiques puisent leur inspiration dans l’Antiquité et obéissent à deux règles d’or : « Plaire et instruire ». La Fontaine affirme dans la Préface de son premier recueil au sujet de la fonction de la fable : « Il faut plaire pour instruire ». Dès lors plusieurs questions se posent : Faut-il plaire pour instruire ? Cette fonction de la littérature peut-elle concernée d’autres écrits de périodes historiques différentes ? Dans quelles mesures pourrait-elle