La Fable Moyen De Divertissement

exemples après lecture ou recherche Introduction : De l’Antiquité à nos jours, l’apologue a toujours été présent dans notre littérature. Il a pris différentes formes au fil du temps : les fables d’Esope, de Phèdre, de La Fontaine, les fabliaux du Moyen-Âge, les paraboles bibliques, les contes, les récits utopiques sont autant de textes développant une partie narrative au profit d’une leçon. Aussi, peut-on se demander si les apologues n’ont qu’une vocation didactique. Dans un premier temps, nous nous

message est explicité. Il n’utilise pas d’intermédiaire, il argumente personnellement (l’Essai=réflexion personnelle) Il argumente indirectement lorsque l’auteur a recours à une fiction. C’est à travers un narrateur, un personnage de théâtre, de fable, de conte que l’auteur transmet son message. Le message est implicite. Le lecteur déduit un message de la fiction racontée. (apologue, le conte philosophique) Les genres de l’argumentation : L’Essai : c’est un texte qui expose le point de

l'usage de la raison, persuader en faisant appel aux sentiments, ou délibérer en tenant compte des thèse différentes des nôtres. Il existe des argumentations directe tel que l'essai ou le dialogue d'idée ou des argumentations indirecte tel que la fable ou le conte philosophique. La littérature argumentative peut-elle être utile à la société? Nous étudierons dans un premier temps le cas des essais, puis nous montrerons que le discourt peut dans certaines mesure être utile a la société, enfin nous

Introduction La littérture n’est pas qu’un divertissement, elle n’est pas que fiction, elle représente souvent le monde et a parfois un pouvoir sur les hommes. I. La littérature : un moyen agréable de sensibiliser les hommes 1 La fiction permet d’attirer des lecteurs exemple : « A travers les airs » de Bradbury : sensibilise au problème du racisme avec le point de vue d’un raciste. 2 La compréhension est facilitée par des images exemple : genre de la fable, par exemple par La Fontaine. Opoosition

des Anciens se fonde sur ce double souci. Pour atteindre cet idéal, il faut respecter des certaines conditions que les théoriciens définissent. - Chaque genre littéraire s’imposera, par des moyens différents ( le rire, le récit plaisant de la fable, la catharsis*) de répondre à cette exigence de divertissement et d’éducation du lecteur.  Maîtriser son art - Les classiques sont persuadés que la beauté ne peut être le fruit du désordre ou du libre jaillissement créatif. - Un chef d’œuvre naît

Chez l’être humain, le rire est un besoin vital aussi bien physiquement que moralement. Toutes sortes de divertissements permettent de subvenir à ce besoin notamment en littérature. On peut distinguer au théâtre un genre qui se définit par sa capacité à faire rire le lecteur, ou le spectateur : la comédie. On peut pourtant être amené à réfléchir sur les réelles fonctions de ce genre théâtral comme le fait remarquer Jacques Lassalle en proposant de faire graver au fronton de tous les théâtres la formule

Les formes poétiques Moyen Âge (du IX au XVe siècle) : On trouve une écriture versifiée dans des poèmes épiques (registre épique : renvoyant aux faits de guerre, aux batailles) appelés chansons de geste ou lais (textes courts narratifs en octosyllabes). On trouve aussi de la poésie lyrique (expression de sentiments personnels). Autre forme du Moyen Âge : le rondeau ou la ballade qui comprennent un refrain d'un ou plusieurs vers. Plusieurs autres formes fixes sont créées. La Renaissance (XVIe siècle)

Un exemple rédigé de dissertation : la fiction vous paraît-elle le meilleur moyen pour convaincre le lecteur ? Au XVIIIe siècle, le genre du conte philosophique connaît un franc succès : des auteurs comme Voltaire ou Diderot publient des ouvrages appréciés du public, mais aussi censurés. Alors que ce siècle est un siècle de philosophes, dans lequel les lumières de la raison doivent illuminer l'esprit humain, il est étonnant de constater que des genres narratifs fictifs soient appréciés :

là l’occasion pour Baudelaire de mettre en valeur ici, non pas la balade, mais ce que l’on voit pendant cette balade, à savoir ces enfants qui trainent sur les chemins. La phrase : « je veux donner l’idée d’un divertissement innocent. », prendrait alors un sens ironique. Le divertissement renvoi il au sujet du texte : le joujou, ou plutôt d’avantage, à l’autre partie du titre : le pauvre ? La tradition Baudelairienne dans son engouement pour le « mal », le laid, l’absurde, nous amène sur cette deuxième

treizième fable du livre VI des Fables qui est situer dans le premier recueille de Jean de la Fontaine qui a était publié en 1668, Le villageois et le serpent illustre cette redoutable efficacité de l’apologue qui, au travers de la rencontre improbable d’un manant et d’un serpent ici, nous invite à réfléchir aux rapports humains. Jean de la Fontaine disait : ‹je me sert d’animaux pour instruire les hommes › Mais jusqu’où vont ses intentions ?? Nous verrons dans un premier temps comment la fable se