La Danse macabre

plusieurs muses. Les muses sont à l’origine, dans la mythologie grecque au nombre de neuf. Ce sont les neuf filles de Zeux et Mnémosyne (déesse de la mémoire).Elles sont les allégories de l’art : elles représentent la musique, le chant, le théâtre, la danse, la rhétorique, la poésie et l’astronomie. Ce sont les muses qui apportent l’inspiration et l’imagination aux artistes car pour les grecs, l’art n’est pas humain, il provient des divinités. De tout temps, les muses sont des femmes qui inspirent

20-30 millions de victimes (1 tiers pop). Elle touche toutes les classes sociales et tous les âges. On transporte des charrettes de cadavres recouverts de chaux vive. Des villages entiers sont dépeuplés, des champs désertés = famine. -Danse macabre, art pictural, littérature. Le thème est la mort. Poème « dit des trois morts et des trois vifs » La mort est omniprésente. 2) … et dynamisme Malgré tous les ralentissements, il y a des périodes de reprises démographiques, des phases

exemple le portail du jugement dernierPour les gens du ma, l’art a fonction d’honorer DieuVitrage = on chercher avec la lumière d’honorer DieuD) L’évolution du sentiment religieuxÀ la fin du MA, il y’a un sentiment macabre en Europe, Une des 17 gravures sur bois de la « danse macabre du Cloître des saints-innnocents » à Paris. Publiées en 1445, elles furent diffusées dans toute l’EuropeCette précision nous montre l’évolution d’un imaginaire collectif. Cette gravure n’est pas isolée car elle a été

(15), « sommes morts ». => L'évocation des suppliciés est pathétique, et pourtant, esthétique. 3- Musicalité - La forme du poème : une ballade, est la forme la plus célèbre du lyrisme médiéval, directement inspirée de la musique et de la danse. - Elle consiste en trois strophes identiques (dizaine de décasyllabes) suivies d'un envoi. Chaque strophe s'achève par un refrain (10-20-30-35). - Le refrain fait entendre un effet de rythme propre au chant et le retour lancinant d'une plainte.

du châtiments : « piéça » vers 7 ; « jamais nul temps » vers 25, « sans cesser » vers 27. En conclusion, les locuteurs inhabituels lancent un appel désespéré et apportent une sensibilité esthétique au poème. II. La danse macabre est représentative de l'esthétique baroque : A/ Une situation d'énonciation inhabituelle : Une prosopopée L 'emploi du pronom « nous » est là pour évoquer l'énonciateur qui se trouve être les pendus (vers 1 et 12/ vers 15 et 17) ou leurs os

témoignage écrit et parlé. Au temps de la Reforme et des disputes théologiques de Luther et de Calvin, la caricature ne manqua pas de s'attaquer à ce mouvement. Nous voyons au XVI e siècles., Rabelais dans les Songes drolaliques, Holbein dans la Danse macabre, Erasme dans l'Eloge de la Folie, stigmatisant toutes les vanités et tous les ridicules. Au commencement de la Révolution on voit un grand nombre de caricatures sur la royauté, le clergé et la noblesse. La pratique de la caricature apparaît comme

monde et convoque par sa ballade, transformée en prière, tous ses frères humains à se rassembler à la manière de Jésus. La mise en mouvement des pendus renvoie à un motif artistique très prégnant dans la peinture du XVème siècle, celui de la « danse macabre ». Elle est fondée sur l’idée de l’effacement des rôles et des hiérarchies sociales devant la mort, symbolisée par des squelettes dansant au milieu de personnages vivant.

chiffonniers, Le Vin de l’assassin, Le Vin du solitaire, et Le Vin des amants. Puis il tente de se noyer dans la foule anonyme de Paris pour y dénicher une forme de beauté (Tableaux parisiens) avec Le Squelette laboureur, Le Crépuscule du soir, Danse macabre par exemple, avant de se tourner vers le sexe, le vice et les plaisirs physiques (Fleurs du mal) nottament avec la destruction, l’amour et le crane . Après ce triple échec vient la révolte c’est celle qui fut la plus attaquée lors du procès, la

plafonds un rang de pâles lustres », « noir tableau », « antre taciturne » -> facilite la représ de ce lieu dégueu, qui montre la tristesse de la vie parisienne, qui s’enferme ds ces lieux, car ne pouvant plus être en harmonie avec la nature. Danse macabre : Description de ce qu’on pense être une jeune danseuse que tout le monde veut baiser. Baud n’aime pas ça, poursuit un peu les enjeux des poèmes précédents. L’amour du mensonge : QD 99 : Description laudative d’une ancienne maison hors de Paris

» (15), « sommes morts ». => L'évocation des suppliciés est pathétique, et pourtant, esthétique. 3- Musicalité - La forme du poème : une ballade, est la forme la plus célèbre du lyrisme médiéval, directement inspirée de la musique et de la danse. - Elle consiste en trois strophes identiques (dizaine de décasyllabes) suivies d'un envoi. Chaque strophe s'achève par un refrain (10-20-30-35). - Le refrain fait entendre un effet de rythme propre au chant et le retour lancinant d'une plainte.