La Damnation de Faust

l'alliance du génie avec la raison, de la hardiesse avec le goût, de l'originalité avec le respect des règles… Ce n'est pas vous qui faites cause commune avec ces amateurs de belle nature… qui de grand cœur échangeraient Phèdre et Iphigénie contre Faust et Goetz de Berlichingen». Portrait du jeune Victor Hugo Bientôt le ton se haussa, et le langage de l'Académie ne fut rien moins qu'académique. Baour-Lormian, tira son Canon d'alarme, traitant les romantiques de pourceaux, à l'aide d'une périphrase

secourt le frère d’Elvire attaqué par des voleurs se joue sur fond de musique agressive, provocatrice et discordante, quelque chose comme du NTM… Mais le dernier acte se déroule avec comme musique de fond la chevauchée fantastique de Faust dans la Damnation de Faust de Berlioz… parce que Dom Juan a en quelque sorte vendu son âme au Diable. J’ai la même optique pour le décor : traditionnel au premier acte : une maison aristocratique, mais j’ai transporté le troisième acte – celui de la forêt – dans

l'alliance du génie avec la raison, de la hardiesse avec le goût, de l'originalité avec le respect des règles… Ce n'est pas vous qui faites cause commune avec ces amateurs de belle nature… qui de grand cœur échangeraient Phèdre et Iphigénie contre Faust et Goetz de Berlichingen». Portrait du jeune Victor Hugo Bientôt le ton se haussa, et le langage de l'Académie ne fut rien moins qu'académique. Baour-Lormian, tira son Canon d'alarme, traitant les romantiques de pourceaux, à l'aide d'une périphrase

l'alliance du génie avec la raison, de la hardiesse avec le goût, de l'originalité avec le respect des règles… Ce n'est pas vous qui faites cause commune avec ces amateurs de belle nature… qui de grand cœur échangeraient Phèdre et Iphigénie contre Faust et Goetz de Berlichingen». Portrait du jeune Victor Hugo Bientôt le ton se haussa, et le langage de l'Académie ne fut rien moins qu'académique. Baour-Lormian, tira son Canon d'alarme, traitant les romantiques de pourceaux, à l'aide d'une périphrase :

cartes, le Déshabillage impossible, le Manoir du diable, l'Auberge ensorcelée, l'Homme à la tête en caoutchouc, L'automaboulof, Jeanne d'Arc, le Royaume des fées, l'Éruption du Mont-Pelé, le Livre magique, l'Affaire Dreyfus, les Incendiaires, la Damnation de Faust, Cendrillon, Barbe-Bleue, 20000 lieues sous les mers, et surtout la série des « voyages imaginaires »: le Voyage dans la Lune (1902), le Voyage à travers l'impossible (1904), les Quatre Cents Farces du diable (1906) et À la conquête du Pôle

contraintes, qui imposent un film musical représentant les musiciens que l’on voit en scène. La mise en scène de Robert Lepage pour La Damnation de Faust de Berlioz, d’abord présentée au Japon en 1999 et reprise au !24 Metropolitan Opera de New York en 2008 avec une technologie encore plus affirmée, montrait juste cela. Le cheval de Méphisto dans « La course à l’abîme », Faust qui se noie dans le bonheur, étaient des projections mélangeant des images existantes avec une capture en temps réel des chanteurs

la littérature s’est toujours avérée infiniment plus riche en suggestions que les ouvrages théoriques. Un seul exemple (des plus récents) : l’un des romans de l’écrivain contemporain Andrei Codrescu, Wakefield, reprend magistralement le thème du Faust : l’invention fertilise miraculeusement le support mythique et l’intertexte littéraire, en offrant bien plus de suggestions, plus utiles à notre démarche critique, que les livres d’anthropologie ou d’histoire des religions. Et c’est là encore l’un

Déshabillages (Rabeux) et récemment pour Feu l’amour d’après trois pièces de Feydeau. Pour l’Opéra, Pierre-André Weitz a collaboré aux productions du Freischütz (Weber) à Nancy en 1999, des Contes d’Hoffmann (Offenbach) à Genève en 2001, de La damnation de Faust (Berlioz) à Genève en 2003, tous mis en scène par Olivier Py puis Othello (Verdi) dans une mise en scène de Michel Raskine à l’Opéra de Lyon. En tant que chanteur, Pierre-André Weitz a participé à plusieurs productions de l’Atelier Lyrique

Déshabillages (Rabeux) et récemment pour Feu l’amour d’après trois pièces de Feydeau. Pour l’Opéra, Pierre-André Weitz a collaboré aux productions du Freischütz (Weber) à Nancy en 1999, des Contes d’Hoffmann (Offenbach) à Genève en 2001, de La damnation de Faust (Berlioz) à Genève en 2003, tous mis en scène par Olivier Py puis Othello (Verdi) dans une mise en scène de Michel Raskine à l’Opéra de Lyon. En tant que chanteur, Pierre-André Weitz a participé à plusieurs productions de l’Atelier Lyrique

mauvaise conscience, c’est-à-dire, ce que Freud nommera depuis un autre aplomb Surmoi. La version moderne du phallus est moins poétique. Divisée entre un appétit de jouissance sans frein (Don Juan) et un désir d’Absolu converti en amour de la science (Faust), l’hystérie masculine se tourne décisivement vers le corps que des siècles de théologie avaient réprouvé. Le phallus y est toujours un organe détachable qui met en série les trous du corps en sorte qu’il délivre la structure d’un corps qui enforme