La Culture Sépare T Elle L Homme De La Nature

Culture et Politique Bibliographie - D.M Constant : l’article du cours. - J.F Bayart, Le constructivisme. - Brubaker « ARSS n°139 sept 2001 » - P. Nora, Les lieux de mémoire. - F. Braudel, Identité de la France. - M. Wieviorka. - N. Barley. - R. Lewis. - M. Augé, Un ethnologue dans le métro. - B. Badie. - J.C Kaufmann. - Revue « terrain » et « anthropologie » Plan du cours - Introduction - Partie 1. La notion de culture I°) La genèse de la notion A. Evolution du mot dans la langue française (du

lui l’absolu qui est en lui. L’homme a tendance à considérer ce qui est grand et fort comme étranger et surhumain. En faisant, il se rapetissait et se méprisait. C’est ainsi qu’il a inventé l’idée de « Dieu » pour désigner sa face puissante et « Homme » pour désigner sa face faible et pitoyable. Pour réunir ces deux faces, l’Homme doit selon Nietzsche proclamer la mort de Dieu. C’est alors qu’il cessera de chercher hors de lui l’absolu qui est en lui et tendra à devenir le « surhomme ». Il prendra

organisation en triangle. A la base de la pyramide il y a la mort représentée par le soldat, et au sommet l’espoir symbolisé par la lampe. Le tableau est monumental par dans tous les sens du terme. Tous les personnages sont d'une taille plus grande que nature. Son format, le choix des couleurs et le travail des formes impressionnent le spectateur. Picasso cherche à provoquer des émotions et une réflexion sur l'horreur de la guerre en immergeant le spectateur dans son œuvre, le spectateur se sent tout petit

c’est une interaction forte : elle détermine le monde, car ce n’est que de son point de vue qu’il y a monde. Il n’y a monde que du point de vue de l’Esprit. Ajoutons à cela, nous l’avons vu, qu’elle est ce que la nature a réalisé de plus haut : elle est en elle-même une fin de la nature, et donc une finalité du monde en lui-même. Le Monde a voulu la raison et la raison veut le monde comme elle-même. Or le but ultime de la Raison c’est la réalisation de la morale universelle, le bien absolu. Comme

progressive de l'agriculture qui a été remplacée par une économie plus commerciale et industrielle -> ville devient autonome car séparée de la campagne. Aujourd'hui, les petites exploitations ont disparu au profit de grandes propriétés foncières via des cultures intensives (conséquence: appauvrissement des campagnes, bois et pâturages). Pendant l'Empire, on distingue 2 types de villas (= espace regroupant le bâtiment et son jardin): villa rustique ou hortus: un bâtiment compact réunissant les fonctions

tendre que je l'aurois été pour eux, pour peu que l'habitude eût aidé la nature. » Avec Emile, composé de cinq livres, Jean-Jacques Rousseau expose les différentes phases de l'éducation idéale d'un enfant, futur citoyen, depuis sa naissance jusqu'à son mariage. On a vu comment la Nouvelle Héloïse tentait de répondre au moins partiellement au problème soulevé par l'opposition apparemment irréductible entre nature et culture. L'Emile aborde la question sous l'angle pédagogique en proposant un idéal

du monde. De l'éprouver si pareil à moi, si fraternel enfin j'ai senti que j'avais été heureux et que je l'étais encore". Dans l'interprétation de ces quelques lignes tient la compréhension d'une œuvre pour laquelle le rapport à la mère et/ou à la nature (là est le nœud du problème et la durée initiatique d'une histoire) joue le rôle essentiel. Si l'on tente de lire le dénouement de L'Étranger à la lumière théorique et rétrospective du Mythe de Sisyphe, plusieurs interprétations se présentent à

René, Chateaubriand (1802) René met en scène un jeune homme atteint du « vague des passions », c’est-à-dire de cette sorte de vague à l’âme et d’ennui qui frappe les jeunes gens « nés avec le siècle ». Le « je « est celui du narrateur, René lui-même, mais les multiples analogies avec la vie et les sentiments de Chateaubriand laissent penser qu’il s’agit d’une œuvre d’inspiration autobiographique. C’est aussi un témoignage sur le mal de vivre de toute une génération. Le succès remporté par

d’opinion faire paraître leurs tristes nécessités de police comme des articles de morale, c’est que nous sommes bien peu attentifs à nos propres pensées. Je dirais même que nous sommes trop peu attentifs aux pensées de notre contradicteur ; car tout homme, à toute minute, se règle sur ce qui devrait être, et n’accorde valeur à rien d’autre. Mais il y a mieux à dire. L’humanité existe ; l’humanité est un fait. Comte, considérant les choses en naturaliste, a enfin aperçu ce grand être, trop grand même

permanence dans toute vie humaine. Il s’agit d’un ensemble de phénomènes regroupés sous le nom de pulsions qui prennent leur origine dans notre nature physique mais se manifestent dans la vie de l’esprit et dans la société. Plus exactement, Freud refuse de séparer l’esprit du corps et considère que nous sommes indissociablement des êtres de nature et de culture. Le concept de pulsion est complexe. Il n’a pas la rigidité de celui d’instinct car une pulsion est susceptible d’évoluer quand elle entre