La Croyance Est Elle Un Obstacle Au Savoir

La menace du stéréotype. Fabrice Gabarrot « Préjugés & Stéréotypes » Projet à l’initiative de l’AFPS et de www.psychologie-sociale.org Réalisé avec le concours du Ministère de la Recherche Les stéréotypes sont, pour simplifier, des croyances socialement partagées concernant les caractéristiques qui seraient propres à certaines catégories sociales. Ils sont l’un des objets d’études de la psychologie sociale depuis des années. Elle en a étudié les modalités de construction, les contenus, les

la philosophie : → Texte de Russell extrait de Problèmes de philosophie 20eS . lecture activer - consentement : approuver - raison : faculté de penser, raisonner - dédain : mépris, arrogance Dogmatisme Philosophie Emprisonné dans les préjugés croyances habituelles tyrannie de la coutume arrogant monde précis, fini, évident certitude aucune question rejet de l'inconnu pas de raisonnement Connaissance problèmes incertitude diverses possibilités doute libérateur élargir sa pensée réponses incomplètes

l'effroi de l'irréalité ou bien l'émerveillement du familier. En effet, cette remise en question de l'Humanité serait l'origine même du questionnement philosophique. Par Humanité, il faut comprendre tout ce qui est relatif à l'Homme en général : ses croyances, ses habitudes, ses pensées, sa culture, son environnement... Comme a dit Aristote dans Métaphysique : « L'étonnement est ce qui, toujours, pousse les hommes à philosopher. ». C'est sans doute ce « sentiment philosophique », comme le caractérisait

d’être libre est de l’ordre de la certitude intime, la liberté se donne à nous comme un sentiment immédiat, une sorte de fait évident. Descartes « nous liberté se connait sans preuve par la seule expérience que nous en avons » : la liberté est une croyance indémontrable mais nous avons des indices très fort en nous et en dehors de nous de la liberté Je me sens libre : liberté de mouvement, je peux observer en moi des projets : c’est le choix d’inventer un futur ; j’ai des remords : j’étais libre

aux etincelles et le Leviethan au feu : les etincelles representent la cause et le feu la consequence (les etincelles ont créé le feu et le est créé par les etincelles). Les etincelles = le savoir, l’origine (=Dieu) ; Le feu = la creation (=monstre) C’est comme une mere qui éduque son enfant, lui passe son savoir et la mission de continuer la tradition. Un monstre primordial (originel) - originalité : serpent de mer = hybdride -> combinaison de trois especes (classe des reptiles + animaux aquatiques

donnée, mais aussi pour partie construite. Question : La vérité est-elle quelque chose de donné ou de construit ? La notion de vérité est également marquée par son unicité. Autant l’expression « les croyances » ne choquerait personne, chacun admettant aisément la pluralité et la diversité des croyances, autant en revanche la notion de vérité s’accommode mal du pluriel et du relativisme : si chacun a sa vérité, il n’y a plus de vérité du tout. La notion de vérité ne paraît en effet avoir de sens que

plus grande encore. Une abstraction d'abstraction, et quoi ? Quelle serait la crédibilité des sciences si elles devaient avoir pour but ultime d'atteindre l'ineffable ? Revenons sur terre un instant et disons le : l'idée de vérité est le premier obstacle à la connaissance scientifique, qui en ce XXIè siècle semble bien s'en séparer de plus en plus. Ainsi nous découvrons l'inexorable aporie épistémologique : La connaissance scientifique par définition ne peut se passer de l'idée de vérité, et pourtant

rappelle les totalitarismes du XX siècle et surtout le racisme d’Hitler avec sa croyance d’une race supérieur. Donc progrès scientifique ne veut pas dire progrès humain. Mon opinion Ce progrès est présenté comme quelque chose de négatif parce qu’on visant à produire des « hommes parfaits » ils oublient ce qui est le plus important chez l’homme, a savoir son esprit, sa volonté, sa capacité de rêver. Ce qui définit l’homme á savoir que son tout est plus que la somme de ses parties. Dans ce film que l’imperfection

avant qu’ils n’atteignent l’époque éclairée. Mais cette tâche est lente aussi, à cause de son caractère collectif. Kant se place depuis le début du texte d’un point de vue collectif : il utilise le pronom « nous » lorsqu’il s’interroge sur le fait de savoir si les hommes de son temps vivent dans une époque éclairée et il emploie l’expression « les hommes dans leur ensemble ». Le travail de l’Aufklärung est une activité collective et non individuelle. Pour Kant, il est « difficile à chaque homme pris

est absolument convaincu de la valeur incomparable de sa foi. Commençons par une étude en quelque sorte extérieure du fanatisme qui le décrit dans son comportement. Considéré ainsi du dehors, il semble que le propre du fanatisme soit de ne pas savoir qu'il est fanatisme. Il se présente non pas comme une perspective possible parmi d'autres possibles sur le monde et sur les hommes, car ce serait s'avouer relatif et nier par là son essence même, il se donne comme certitude absolue. Le fanatique