La Courbe De Tes Yeux Versification

la femme aimée en poésie connaît son essor grâce à Pétrarque (Italie, XVè), repris en France par Ronsard dans des recueils comme Les Amours. L’Illiade et L’Odyssée, Homère. Le blason permet de célébrer une partie du corps de l’aimée. « La courbe de tes yeux », Eluard "La chevelure", Baudelaire Pour Horace (Ier siècle av. JLa poésie descriptive C), la poésie est une peinture : « ut pictua poesis ». Il s’agit d’utiliser les sujets de la description pour les transcrire par le langage poétique. La

Objet d’étude : la poésie EAF juin 2010 Explication du sonnet de Louise Labé (1524-1566) « Tant que mes yeux pourront larmes épandre » Cette explication est conçue pour vous guider dans la compréhension de ce texte. Mais n’oubliez pas qu’il vous faudra, le jour de l’oral, adapter votre explication à la question que vous posera votre examinateur. Louise Labé fait partie du groupe des poètes lyonnais, avec Maurice Scève (auteur de Délie, recueil de dizains ; s’informer brièvement

d'ensemble : Les principaux registres littéraires en poésie : lyrique, polémique, pathétique Les principaux mouvements littéraires en poésie : la Pléiade, le classicisme, le romantisme, le surréalisme Biographie de Rimbaud notions de versification II. LA BÊTE HUMAINE Extrait du chapitre 1 : Roubaud et Séverine Extrait du chapitre 2 : Jacques et Flore Questions d'ensemble : Lecture cursive de La Bête Humaine : histoire, lieux, personnages... Réflexion sur le titre la focalisation

L’Odyssée, Homère. La célébration de la femme aimée en poésie connaît son essor grâce à Pétrarque (Italie, XVè), repris en France par Ronsard dans des recueils comme Les Amours. Le blason permet de célébrer une partie du corps de l’aimée. « La courbe de tes yeux », Eluard "La chevelure", Baudelaire Pour Horace (Ier siècle av. JLa poésie descriptive C), la poésie est une peinture : « ut pictua poesis ». Il s’agit d’utiliser les sujets de la description pour les transcrire par le langage poétique. La

qui dénoue la ceinture de sa gorge Et qui prend les échos au lasso. Entre des arbres et des barrières, Entre des murs et des mâchoires, Entre ce grand oiseau tremblant Et la colline qui l’accable, L’espace a la forme de mes regards. Mes yeux sont inutiles, Le règne de la poussière est fini, La chevelure de la route a mis son manteau rigide, Elle ne fuit plus, je ne bouge plus, Tous les ponts sont coupés, le ciel n’y passera plus, Je peux bien n’y plus voir. Le monde se détache de

d’être dans les pensées des personnages. Je trouve que le village est tellement bien décrit que l’on pourrait presque se l’imaginer , le faire vivre . Ce qui m’a plu aussi c’est la perspicacité d’Emma à essayer d’aiguayé son quotidien , trop fade à ses yeux. Le moment du bal à été mon préféré. Je m’y croyais vraiment , j’aurais aimé , être Emma à ce moment là. Ce qui m’a donner envie de lire Madame Bovary , c’est le fait que j’ai eu un extrait au brevet blanc , on devais imaginer la suite , ce que

(la caméra est placée au- dessous de l’objet à filmer). - axe (de prise de vue si c’est une photographie) par rapport au sujet : de face, de dos, de profil, de ¾. - hauteur de la caméra, de l’appareil photo, ou de la représentation : hauteur des yeux, ras du sol… - échelle du plan : plan général (embrasse un paysage), plan d’ensemble (des personnages peuvent être intégrés dans le décor), plan moyen (personnage en pied), plan américain (personnage mi-cuisse), plan taille ou rapproché (personnage

assis dodelinent leurs fronts Où brillent leurs yeux clairs comme mes éperons Un bel après-midi de garde à l'écurie J'entends sonner les trompettes d'artillerie J'admire la gaieté de ce détachement Qui va rejoindre au front notre beau régiment Le territorial se mange une salade À l'anchois en parlant de sa femme malade 4 pointeurs fixaient les bulles des niveaux Qui remuaient ainsi que les yeux des chevaux Le bon chanteur Girault nous chante

9 et 10). La méditation est intérieure et continue, le rythme monotone 4/4/4 au vers 5 le montre : « Je marcherai » (4) « les yeux fixés » (4) « sur mes pensées » (4). L'introspection est importante. Il est « seul », « inconnu » et « triste » (v. 7 et 8). Le rythme de vers 8 se fait plus lourd et pesant avec un rythme 1/3/4/4 : « Seul » (1) « inconnu » (3) « le dos courbé » (4) « les mains croisées » (4). L'itinéraire sentimental est soucieux et douloureux. Au fur et à mesure du poème et du voyage

l'heure où blanchit la campagne, Je partirai. Vois-tu, je sais que tu m'attends. J'irai par la forêt, j'irai par la montagne. Je ne puis demeurer loin de toi plus longtemps. Je marcherai les yeux fixés sur mes pensées, Sans rien voir au dehors, sans entendre aucun bruit, Seul, inconnu, le dos courbé, les mains croisées, Triste, et le jour pour moi sera comme la nuit. Je ne regarderai ni l'or du soir qui tombe, Ni les voiles au loin descendant vers Harfleur, Et quand j'arriverai, je mettrai