La Courbe De Laffer Interets Et Limites

biens seront laissés de côté. En raison de la rareté des ressources, nous sommes contraints d'effectuer des choix. Pour atteindre un certain objectif, nous sommes contraint de sacrifier d'autres fins, de ne pas appliquer à leur réalisation des moyens limités et un temps rare. Toutes les sociétés sont confrontées au problème du choix de ce qui sera produit et à celui de la répartition de la production entre les individus dans la société. 1. Le cadre général 1.1. La méthode économique Si l'on veut saisir

loi spécial de financement 23 Tableau sur le budget des pouvoirs publics 23 Principales composantes des recettes 24 Principales composantes des dépenses 24 Poste des dépenses les plus importantes 24 Poste des recettes les plus importantes 24 La courbe de LAFFER 24 L’importance des dépenses publiques dans les pays de l'OCD (organisation pour la coopération et le développement économique) 25 Les fonctions économiques et sociales de l'Etat 26 La loi de Wagner 27 Remarque sur les observations de Wagner

scientifique » soit par la taxation des équipements, des profits de recherche, soit par les déductions fiscales sur les dépenses de recherche. Enfin, l’ampleur de l’imposition des revenus influence la formation des capitaux .De même, la taxation des intérêts et des dividendes détermine l’affectation des ces capitaux ainsi que leur mobilité. En effet, pesant directement sur le niveau de rémunération du capital selon la localisation du bénéfice, la fiscalité est l’un des déterminations des flux internationaux

Remarquons également l’importance particulière du facteur temps dans cet exemple. Le crédit, qui établit un lien entre une consommation (ou un investissement) immédiat et des ressources futures est aussi facteur de création monétaire. B) Les limites au pouvoir de création monétaire des banques commerciales. Les banques créent de la monnaie par leurs opérations de crédit. Elles sont à ce tître tributaires de la demande de financement des agents. Si l’activité économique est dynamique, cette demande

FRIEDMAN Milton | FRIEDMAN (David) | | | |   | GALBRAITH | GIFFEN | | |   | HAAVELMO | HARROD | HAYEK (von) | HECKSCHER | HICKS | HIRSCHMAN |   |   |   | KAHN | JEVONS | |   |   |   | KALDOR | KEYNES | KLEIN | KUZNETS |   | LAFFER | LAFFEMAS | LÉNINE | LEWIS | LIST | LUCAS |   |   |   |   | MALINVAUD | MARKOVITZ | MALTHUS | MARSHALL | MARX | MEADE | MENGER | MILLER | MISES (von) | MILL | MODIGLIANI | MONTCHRESTIEN (de) | MUN | MUSGRAVE | MUNDELL | MYRDAL

l’intervention de l’état dans une économie de marché, c’est reconnaitre également que la seule régulation par le marché connait des imperfections ou conduit à des situations socialement inacceptables. Mais il est tout aussi nécessaire d’évaluer les limites de l’intervention de l’Etat, et d’en comprendre les raisons. Les politiques économiques sont un champ potentiel d’action extrêmement étendu et il est d’usage de les ranger dans des catégories soit en fonction des objectifs qu’on leur assigne

constants) Baisse du nombre de cotisants Baisse de la compétitivité Substitution du capital au travail Baisse du niveau de l’emploi (générant une baisse de la demande ❖ L’économiste LAFFER a rendu célèbre ce slogan « trop d’impôt tue l’impôt ». [pic] L’augmentation du taux de prélèvement obligatoire jusqu’à un certain seuil génère une augmentation des recettes ; passé ce seuil les recettes fiscales décroissent car les actifs vont

l’apparition de mécanismes naturels de retour à l’égalité de l’offre et de la demande qui passaient tantôt par le marché noir, tantôt par des queues devant les magasins, tantôt par l’existence de privilèges accordés à une partie de la population pour limiter l’expression de la demande sur certains produits. L’équation de répartition du revenu R = C + S + T.Cette équation indique simplement que ceux que les statisticiens appellent les ménages, c’est-à-dire l’ensemble de la population, répartissent le revenu

inégalités et qu'il est «juste» de partager la richesse en fonction des «efforts», du «travail» ou du «mérite ». Si ce n'était pas le cas, il y aurait de grandes chances pour que l'on se heurte au problème de la production des richesses, chacun ayant intérêt à lai sser l'autre travailler à sa place. (Source : L. MAURIN, « Pourquoi accepte-t-on les inégalités ? », www.inegalites.fr. Observatoire des inégalités, 22 décembre 2003). DOCUMENT 3 – L’ordre issu du marché permet à chacun de recevoir, en

amènerait à un taux de 75% et ce pour une durée de deux ans. Il n’y a que 1500 personnes concernées par cet impôt. En ce qui concerne les revenus de capital, ils étaient jusqu’en 2013 proportionnels avec des taux pour les dividendes d’action, les intérêts, les obligations ou les plus-values réalisées, variant entre 19 et 24%. Lorsqu’on ajoute à cette fiscalité sur le capital la CSG, et la CRDS, les taux de prélèvement s’élevaient de 32 à 40%. La CSG est une contribution créée en 1991 pour financer