La Condition Des Terres Et Des Personnes Dans La Seigneurie

terre, à son vassal en échange de sa fidélité ; sa transmission est héréditaire – la pyramide vassalique : chaque seigneur est lui-même le vassal d'un seigneur plus puissant, en bas se trouve la paysannerie, au sommet le roi qui n'est le vassal de personne Elle est partage de pouvoir et de concordia destiné à assurer la paix entre seigneurs. Le pouvoir royal est plutôt affaibli dans cette organisation politique et sociale. C'est une nouvelle dynastie, les Capétiens, qui va permettre la réaffirmation

est présidé par l'Abbé Oliba. Concile de St Gilles (1042-1043), canon 2 : Hugues, évêque d'Uzès assiste au concile. Concile de Narbonne (1054), canon 7 et 11, il est écrit : « Nous confirmons à partir de ce jour ». Il s'agit de plusieurs personnes, en effet : « dix vénérables évêques, à savoir Bernard de Béziers, Gonthier d’Agde, Rostaing de Lodève, Arnaud de Maguelonne, Frotier de Nîmes, Guifred de Carcassonne, Bérenger de Gérone, Guifred de Barcelone et Guillaume d’Albi […]. Sous la présidence

ainsi donné son nom au peuple FRANC. Le 1er intérêt est de rattaché les franc a un peuple victorieux, avec Priam le roi le plus mythique. Le 2ème intérêt, souligné l’origine combative des Francs, ce sont des hommes conquérants, ils ont quitté les terres d’Asie pour conquérir l’Europe. On estime que Franc signifierait FEROCE. Le 3ème intérêt, forgé une histoire universelle ou plutôt Européenne. Le dénommée FRANCION, Il serait apparenté a Enée qui est également un prince de Troie. Celui-ci a quitté

de révéler la relativité des phénomènes juridique et révélé l'héritage juridique dont nos institutions et notre droit sont porteurs. Du Xème siècle à la fin de l'ancien régime, va se construire progressivement en France un pouvoir souverain, condition essentielle pour qu'un état puisse exister. Cette construction d'un état n'a pas été linéaire, elle est parfois interrompue par des crise, voire suspendue mais malgré tout cette évolution a fini par déboucher sur l'élaboration d'un état moderne.

et exceptionnelles qui lui permettront de triompher à G et d’assurer à la survie de son peuple Les membres de la dynastie tiennent leur légitimité de qualité qui leur est donné Le charisme est d’origine divine Les Dieux ont investi une lignée, une personne, … et cela permet de les différencier des autres Ce charisme est en lien avec le lien qu’à la famille avec une divinité Grand-mère de Clovis aurait eu un enfant avec une divinité Roi chevelu → les hommes ayant un lien divin ont tous les cheveux longs

propriétaire des biens et personnes. Ses ressources sont les tributs payés par les vaincus. Il dispose du royaume, peut vendre, donner des terres (loi de succession de droit privé). 3. Caractère patronal : le roi exige obéissance de ses sujets, qui sont serviteurs, mais doit aussi assurer leur protection. Le lien est la fidélité personnelle (allégance, leudesamio). ⁃ Les leudes font ensuite prêter serment à leur propre entourage. Le roi assure obéissance par des récompenses (e.g. terres). Puisque le serment

domaine avec une réserve et entouré d’un bois. Au sein même des libres, ils se différencient grâce à l’étendue extrême de leur richesse. Un comte, qui est un haut dignitaire de l’empire, possède au environ de 400 manses, soit au minimum 4000 hectares de terres et environ 100 fois plus de manses qu’un paysan riche. Ils ont de nombreux esclaves et colons à leur disposition. Ils peuvent se payer des vassaux. La vassalité consiste en ce qu’un homme libre prête serment de fidélité à un autre plus puissant, qui

de faiblesse). Furetire, Dictionnaire Universel (1690): pauvres: qui na pas de bien, qui na pas les choses ncessaires pour sustenter sa vie, ou soustenir sa condition. Paul Emile Littr, Dictionnaire de la langue franaise (1863): qui na pas le ncessaire, ou ne la peine ou par extension qui na pas de quoi vivre selon sa condition. Larousse, Grand dictionnaire universel du XXme sicle: pauvret: indigence, dnment [sic], pnurie des choses ncessaires la vie . Pauvres: dpourvu ou mal

moyenne d’une maisonnée est donc de 4,47 personnes. 2/3 des gens (179 sur 277) vivaient dans les maisonnées de la Gentry et des yeomen et même si les hommes de métier, les journaliers et les pauvres constituaient 33 familles, ils ne représentaient que le tiers restant. La majorité de la population vivait donc dans de grandes maisonnées. 52 personnes (soit 18% de la population) étaient des domestiques au service des gentlemen et des yeomen. 23 personnes vivaient au manoir tenu par l’Ecuyer Edward

la cérémonie s’enrichit d’éléments religieux à partir de la fin du XIe siècle. Agnatique : relatif à la parenté par les hommes. Alleu : terre possédée en pleine propriété, ne relevant d’aucun seigneur. Amicitia : amitié jurée entre des personnes, physiques ou morales, de rang égal qui s’engagent à se prêter assistance. Ce lien constitue une relation positive, par rapport à la « fidélité » qui se limite souvent à l’absence de nuisance. Anachorèse : choix de vie du moine retiré dans la