La Cité des dames

le règne de Louis IX les rois ont pour titre « roi de France ». Le biographe de Louis IX est Jean de Joinville, « La vie de Saint Louis », présenté comme un homme pieu (il participe à deux croisades, il fait bâtir la Sainte Chapelle sur l'Ile de la Cité), juste (il rend la justice au bois de Vincennes) humble, généreux, charitable. Du sacre à la mort la dynastie capétienne s'appuie sur des lieux symboliques : le sacre à Reims, la Sainte Chapelle à Paris, la Basilique des Rois de France à Saint Denis

jardin, Balance ses schakos dans la Valse des fifres : – Autour, aux premiers rangs, parade le gandin ; Le notaire pend à ses breloques à chiffres Des rentiers à lorgnons soulignent tous les couacs : Les gros bureaux bouffis traînent leurs grosses dames Auprès desquelles vont, officieux cornacs, Celles dont les volants ont des airs de réclames ; Sur les bancs verts, des clubs d’épiciers retraités Qui tisonnent le sable avec leur canne à pomme, Fort sérieusement discutent les traités, Puis prisent

singularité de l’événement et le rend ainsi bien plus spécial. Il saute aux yeux que ce bal n'est pas ouvert à tous. Le champ lexical de la noblesse est omniprésent : « noble », « rois », « princesse », « reine », « prince », « souverains » et « grandes dames ». De plus, nous retrouvons à nouveau l'importance de la beauté à la ligne 6 : « Les plus belles femmes de Rome leur disputaient le prix de la beauté. » et 7 : « [..] M. le duc de B*** ne prie que de jolies femmes. », ce qui propose une certaine sélectivité

Classification selon les déterminants externes, qui sont sociologiques (sexe, âge, situation conjugale, culturelle, raciale, économique) : par exemple, « General Motors » est une conversation d’hommes, alors que « la Cuisine » est une conversation de dames. * Classification structurale-transactionnelle (cette classification étant plus personnelle) : par exemple « Association des parents d’élèves » peut se pratiquer de trois façon : Enfant-Enfant, Adulte-Adulte, Parent-Parent. * Classification

dictateur du personnage. Ce côté autoritaire est très bien cerné par les autres protagonistes de l’histoire. Je cite : « Nous autres professeurs, nous le craignions. Et même le proviseur avait peur. (…) Cet homme, qui portait toujours des caoutchoucs et un parapluie, a tenu tout le gymnase entre ses mains pendant quinze longues années. Si ce n’était que le gymnase ! Toute la ville ! Le samedi, les dames n’organisaient pas de spectacles d’amateurs, craignant qu’il ne l’apprît ; les religieux avaient peur de

régions, détectant les artisans, producteurs, viticulteurs...la maison Fauchon innove dans le domaine de la gourmandise de luxe. (Voir annexe n°4.) La collection 2010/2011 dévoile ses tendances : choc visuel, choc émotionnel, choc gustatifs. Je cite ci-dessous un commentaire récent du site de Fauchon : Nezumi le 10/02/2011 « Magnifique! Cher, mais la perfection. La présentation est excellente et le personnel est attentif et prévenant. » (Traduit automatiquement via Google translate) Voir

peut dire que chacun est libre d'apprécier ou non un livre, de le trouver bon ou mauvais, on peut estimer que les critères objectifs ne sont pas suffisants (sauf si c'est dans le cadre d'une étude de texte littéraire par exemple, où ils ont droit de cité, et où les règles d'analyse sont strictes) pour distinguer le bon livre du mauvais. Nous avons chacun une personnalité et une conscience propres. A nous d'exploiter les richesses de notre subjectivité. Nous pouvons aussi affirmer que le roman remplit

préjugé absurde qui exclut les femmes du droit de cité. Condorcet, « Essai sur l’admission des femmes au droit de cité », juillet 1790, extrait de Bosc, Les Voix de la Révolution, Documentation française, 1990 […] [Les philosophes et les législateurs] […] n’ont-ils pas violé le principe de l’égalité des droits, en privant tranquillement la moitié du genre humain de celui de concourir à la formation des lois, en excluant les femmes du droit de cité ? Est-il une plus forte preuve du pouvoir de l’habitude

grande partie, que des hôpitaux, aujourd'hui de grande renommée, ont pu voir le jour. À Montréal, en 1905, l'hôpital Royal Victoria compte un service de dames auxiliaires qui n'aura cesse de se développer. En 1907, l'hôpital Sainte-Justine débute modestement dans un petit logement de la rue Saint-Denis grâce au travail bénévole de quelques dames ayant à leur tête madame Lacoste Beaubien, présidente-fondatrice de l'hôpital. La réputation de ces deux institutions dépasse maintenant les frontières québécoises

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