La Chambre Double Baudelaire

Français BAUDELAIRE PREVOST Les fleures du mal - Manon l’Escaut BARBARA.C RACINE L’assassinat du pont rouge - Phèdre CAMUS.A V.HUGO L’étranger - Melancolia La peste -Aux morts de la nuit CORNEILLE du 4 L’illusion comique -Hernanie Le cid VOLTAIRE FLAUBERT - Candide Mme Bovary ZOLA MOLIERE - Thérèse raquin l’école des femmes Don juan LA MARTINE Le lac PLAUTE Amphitryon Le soldat fanfaron Baudelaire Biographie :

disparaissent, laissant le spectateur libre de leur attribuer une part de réalité, d'imagination, ou de souvenir : objets de l'enfance, fourmis, revolvers, pianos chargés d'ânes morts ; un personnage hermaphrodite qui connaît une fin tragique, un double du héros abattu par le héros lui-même, un boiteux passionné, des séminaristes ligotés. Le récit est disloqué par des changements subits de lieux (un bois, une plage) et par des intertitres indiquant des sauts temporels de plusieurs années en avant

devant quoi il s’élide. « Pré/ten/dai/t a/rri/ver/ san/s en/com/br[e] à/ la/ vill[e] » (La Fontaine) = 12 syllabes En revanche, le e se prononce devant une consonne ou un h aspiré. « J’im/plo/re/ ta/ pi/tié/, Toi,/ l’u/ni/que/ que/ j’aim[e] » (Baudelaire) = 12 syllabes Diérèse ou synérèse ? Quand deux voyelles se suivent dans une syllabe, elles peuvent être prononcées de deux façons ; l’usage les prononce généralement en une seule émission de voix, dans une seule syllabe ; en revanche, la

devant quoi il s’élide. « Pré/ten/dai/t a/rri/ver/ san/s en/com/br[e] à/ la/ vill[e] » (La Fontaine) = 12 syllabes En revanche, le e se prononce devant une consonne ou un h aspiré. « J’im/plo/re/ ta/ pi/tié/, Toi,/ l’u/ni/que/ que/ j’aim[e] » (Baudelaire) = 12 syllabes • Diérèse ou synérèse ? Quand deux voyelles se suivent dans une syllabe, elles peuvent être prononcées de deux façons ; l’usage les prononce généralement en une seule émission de voix, dans une seule syllabe ; en revanche, la

utilise non seulement la persuasion mais essaye également de convaincre. C'est le vieux Tahitien qui essaye de convaincre Bougainville et les Tahitiens de l'avenir qui s'annonce et des défauts de la société actuelle. Mais c'est Diderot, à travers une double énonciation, qui utilise la persuasion pour «parler» au lecteur à travers le vieux, dénonçant le malheur des Tahitiens que les hommes occidentaux, représentés par Bougainville et son équipage, vont apporter à cette civilisation. En mélangeant les

nos regards se sont croisés, Tu a renversé mon coeur, tu l'a fait chaviré. Un vent d'amour m'a fait perdre la tête Notre histoire est née pour ne pas qu'elle s'arrête. Notre amour grandit de jour en jour Je te laisse entrer et ferme mon coeur à double tour. Tout deviens beau et merveilleux Quand je vais me noyer au large de tes yeux. Des sentiments encore ignorés se sont crées Il faut les conserver et ne jamais les briser. Dans tes bras je pars m'envoler Dans un monde doux et sucré.

dégradation morale du personnage. Il y a qqch de théatrale : « déguisement «  « trahir » « shakespear ». « Pot de chambre » -> on retrouve l’essence de l’asperge dans le pot de chambre pacre que l’asperge laisse une odeur particulière dans l’urine. C’est une allusion au sadisme apparent de Mlle Vinteuil qui cache sa nature précieuse, sa bonté -> Dans un aspect plut^to trivia, le pot de chambre, on retrouve l’essence précieuse de l’asperge. De plus, visuellement, on a une féerie dans l’asperge, on a l’impression

de l'amant. Puisque la dame le dédaigne et ne l'accepte pas, il ne peut pas le trouver aussi valoreux qu'avant. Il veut même le banir! Pour empêcher une autre dame d'en profiter!! Si sa dame ne le sécourira pas dans son exile, elle lui fait faute double: à l'auteur et encore plus à elle-même puisque le cœur l'aime davantage. L'image du regard de la dame est utilisé souvent par Pétrarch, Shakespeare et Sidney. S'il se détourne, tout est perdu pour l'amant. Paul SCARRON « vous faites voir des os

Pour Pascal, l’homme ne peut accéder au bonheur, en raison de sa condition misérable. I. Une argumentation rigoureuse dénonçant les divertissements humains a) La rigueur du mathématicien Le texte est construit selon une double logique, déductive (généralité sur les hommes dans les deux premiers paragraphes), puis inductive (l’exemple du roi), puis de nouveau déductive (on repart vers les hommes dans les deux derniers paragraphes). Ce fragment se présente comme le compte

tête, les yeux fermés [...]. Sac et ombrelle à la même place qu'au début du premier acte. Revolver bien en évidence à droite de la tête " (Beckett) ; on la trouve aussi dans le texte romanesque, avec le même rôle de notations descriptives : " La chambre à coucher du couple Deume [...]. Une odeur composite de camphre, de salycilate de méthyle, de lavande, et de naphtaline. Sur le dessus de la cheminée, une pendule en bronze doré, surmontée d'un soldat porte-drapeau mourant pour la patrie " (A. Cohen)