La Chair et le Diable

tomba Et que le cheval fit un écart en arrière. - Donne-lui tout de même à boire, dit mon père. La légende des siècles de Victor Hugo Bal des pendus Au gibet noir, manchot aimable, Dansent, dansent les paladins, Les maigres paladins du diable, Les squelettes de Saladins. Messire Belzébuth tire par la cravate Ses petits pantins noirs grimaçant sur le ciel, Et, leur claquant au front un revers de savate, Les fait danser, danser aux sons d'un vieux Noël ! Et les pantins choqués

deux amis au sein du personnel. D. Pennac cite même Zola dans son livre: « A moi Zola ! La déchéance alcoolisée. » Des Ogres: On peut considérer que les Ogres sont les 6 hommes ayant fait parti de la « chapelle des 111 » (ils se nourrissaient de chaire humaine durant l'année 1942). Les hommes qui se sont fait explosés à l'aide de bombes dans le magasin. Des Ogres car Le Petit (frère de Benjamin) dessine des ogres de Noël. Au Bonheur: Les fameux orges se suicidaient en se procurant du plaisir

élèves de l’école laïque. Ainsi le Père Noël devenait-il par ses soins un héros païen, radical et anticlérical, et le curé lui opposait le Petit Jésus de sa crèche vivante célèbre dans tout le canton comme on jette une ondée d’eau bénite à la face du Diable. Oui, Pouldreuzic allait-il connaître une trêve? C’est que l’instituteur, ayant pris sa retraite, avait été remplacé par une institutrice étrangère au pays, et tout le monde l’observait pour savoir de quel bois elle était faite. Mme Oiselin, mère

trois ennemis de l’homme sont le diable, la chair et le monde » ; par ses voyages, le narrateur tend à réhabiliter par l’expérience ces trois corruptions « contraires à la pureté chrétienne » en faisant à plusieurs reprises l’éloge du sexe, en mettant en scène « d’autres mondes » dans leur défaut et dans leur indéniable qualité et en niant – plus ou moins ostensiblement [négation de l’hôte, assimilation à la Nature] – le principe divin (équivalent contraire du Diable, réduit à une simple superstition)

« comme à un chien » montre un mépris de l’ennemi, un désir de l’humilier. La bataille se révèle être un massacre : « on fait voler la tête en pièce », un carnage, une boucherie. Le sens du nom de frère Jean des Entommeurs (des Entameures : hachis/ chair à pâté) prend alors tout son sens. L’utilisation de termes savants : « commissure lambdoïde » associé à des passages d’une très grande grossièreté : « empaler par le fondement » renforce en même temps l’aspect horrible et comique de la scène. Le passage

) Qui est -il ? : Le Diable ou Satan pour les chrétiens, a reçu de nombreux noms montrant ainsi qu'on le considère comme universel et qu'il a su prendre de nombreuses formes. Il est Mâra qui tenta Bouddha, Belzébuth chez les Philistins (peuple combattu par Samson dans la Bible), Ham Shatan pour les Hébreux, Ahriman chez les Perses, Lucifer pour les Babyloniens et les pères de l'église chrétienne, Méphisto dans la légende du docteur Faust, il est aussi Iblis qui refusa de se prosterner devant

= מלאך‬MaLeHaK arbre: ‫ = עץ‬HèTs baptême: ‫ = טבל‬ThaBaL beau, bon : ‫ = טוב‬ThÔB bénédiction: ‫ = ברכה‬BaRaKaH ; bénir : ‫ = ברך‬BaRaK bonheur: ‫ = אשר‬HaSchèR ; ‫ = שלוה‬SchaLÔaH ; ‫ = טוב‬ThÔB bras : ‫ זרוע‬ou ‫ = זרע‬ZeRÔHa ou ZeRHa chair ou corps : ‫ = נשר‬BaSaR chaste : ‫ = טהור‬ThaHOR ; être pur : ‫ = טהר‬ThaHeR châtiment : ‫ = מוסר‬MOUSaR ; châtier : ‫ = יסר‬IaSaR circoncision : ‫ = מול‬MOUL colère : ‫ = אף‬HaPh ; rage, fureur : ‫' = חמה‬HéMaH courroux : ‫ = עבר‬HèBeRaH indignation

été dans sa jeunesse . Il a écrit 13 recueils , six romans et huit pièces de théâtre à l'instar du dialecte sans affecter la poésie et le lyrisme du texte. Ses contes les plus importants sont: “L'héros”, “Une histoire d'honneur” , “Une maison de chair” , “La fin du monde” , “La langue de l'Aï Aï”, “Al Naddaha”. Ses romans les plus importants sont: “La vice”, “Le tabou”, “Hommes et taureaux”, “New York 80”, “la blanche ”. Ses pièces de théâtre: “La République de Farahat”, “Le roi du coton”, “L'instant

femme : « empaqueter » Il rencontre une none (« elle ») (personnage de Rabelais) avec qui il nettoie les morts b) Représentation du corps Mise en scène du corps mort, déjections On observe les derniers soubresauts avant la mort, la nudité et la chaire sont exhibées (« lèvres », « dentitions », « bouches », « œil », « visage », « bajoues », « seins », « muscles », « cuisses », « figure », « nudité », « mains », « yeux ») c) Révélation de la noirceur de l’être humain Giono porte un regard pessimiste

moines et de la vie monacale   Il s’agit là d’une abbaye bénédictine, à « Seuillé », ordre auquel Rabelais appartenait encore malgré tous ses manquements à la règle.   Le jeu de mots initial « les pauvres diables de moines » se moque des moines en les associant à leur opposé, le diable. Il s’agit de dénoncer la nature proprement diabolique des moines (l’expression ne peut passer pour un simple juron dans le contexte du XVIe siècle). Ironie / Moines par le jeu de mot, l.2, qui juxtapose la réunion