La Chair et le Diable

toujours établie, mais qui parfois font de nous de véritables esclaves (loisirs, mode, luxe, bonne chair, bons vins, volonté de domination, belles situations dans la société, pouvoir etc.) Pour satisfaire nos besoins et nos envies, nous avons recours à divers moyens. Soit nous comptons sur notre capacité de travail, soit nous nous en remettons au coup de pouce des autres (hommes, organismes, diables…), soit nous nous confions à Dieu si nous croyons en lui. * De ces différentes orientations,

Spleen et idéal (le poète lutte entre ces deux extrême et tente d’éviter de tomber dans le Spleen) * Tableaux Parisiens (portrait de la ville de Paris) * Le vin (paradis artificiels) * Les fleurs de Mal * La révolte (alliance avec le diable) * La mort (défaite) Il s’agit d’une œuvre très classique de facture (=expression). La plupart des poèmes sont des sonnets, en alexandrins classiques (6+6) Baudelaire, appartient au mouvement symboliste de même que Rimbaud, Mallarmé, Verlaine

cent écus ? » (l.44) Le comique repose aussi sur le langage, par les ruptures de rythme ( décalage entre le long récit de Tartuffe et l’exclamation brève de Géronte citée précédemment), les répétitions qui scandent la scène, dont le fameux « que diable allait-il faire dans cette galère ? », et, surtout, le décalage entre les propos des deux personnages. Le ressort comique de la scène repose en effet sur la progression du dialogue, ou plutôt sa difficulté à progresser, les deux personnages refusant

rire. Dans une confrontation finale, Jorge s'explique. — Mais qu'est-ce qui t'a fait peur dans ce discours sur le rire ? Tu n'élimines pas le rire en éliminant ce livre. — Non, certes. Le rire est la faiblesse, la corruption, la fadeur de notre chair. C'est l'amusette pour le paysan, la licence pour l'ivrogne, même l'Eglise dans sa sagesse a accordé le moment de la fête, du carnaval, de la foire, cette pollution diurne qui décharge les humeurs et entrave d'autres désirs et d'autres ambitions..

ressemblant au merveilleux mais différent tout de même. Origine du fantastique : La véritable source du genre fantastique est le roman gothique anglais de la fin du XVIIIe siècle. Outre l'apparition des thèmes propres au fantastique (les fantômes, le Diable, les vampires) ces romans caractérisés par une atmosphère d'horreur plus prononcée introduisent l'ambiguïté caractéristique du genre. Parmi les œuvres les plus représentatives, citons Le Moine de Matthew Gregory Lewis (1796), Les mystères d'Udolphe

Théologie/ Philosophie I- Le Diable et le Bon Dieu II- En quête d’identité I – 1.1 le nom, le patronyme Pour appréhender le personnage, l’étude de son nom pourrait servir de première clé. Qui lui a attribué ce nom de Grenouille , sobriquet devenu patronyme ? on l’ignore, car il est d’emblée appelé « l’enfant Grenouille »(9) ; Il naît derrière l’étal de sa mère, parme « les déchets de poisson qui gisaient sur le sol »(7). Le mot « poisson » se révèle d’ailleurs le premier qu’il parvient

logis , les  lits , les  chambres , la lessive, la  cuisine , la  pluie , le  beautemps , le  diable . Elle avait pour tout  domestiqueCosette  ; une

et 2 font 4 ». Dom Juan cruel Un tentateur satanique, incarnation du Diable Dans cette scène, D.J est montré comme diabolique en demandant au pauvre de blasphémer en échange d’un Louis d’or. Dom Juan test la volonté du pauvre en lui imposant un dilemme. D.J est comparé au Diable. Répétition de « jurer ». De plus, les interjections tels que « Ah ah » et « eh » peuvent aussi montrer un Dom Juan possédé par le Diable. Il ironise le sort du pauvre : « tu te moque, un homme qui prie le Ciel

SPONDE Tout s’enfle contre moi, tout m’assaut…  Tout s’enfle contre moy, tout m’assaut, tout me tente, Et le Monde et la Chair, et l’Ange révolté, Dont l’onde, dont l’effort, dont le charme inventé Et m’abysme, Seigneur, et m’esbranle, et m’enchante. Quelle nef, quel appuy, quelle oreille dormante, Sans péril, sans tomber, et sans estre enchanté, Me donras-tu ? Ton Temple où vit ta Saincteté, Ton

traitement inhumain qu'il leur fait subir aux seules fins de voir leurs richesses augmenter chaque jour un peu plus. Cette injustice provoque, mon cher,écoeurement à telle point que j'ai eu un profond malaise et regrette de m'être repu de tant de bonne chaire alors que ceux la même qui en assurent la production doivent se contenter de pain noir quand ce n'est pas de famine.   Je sens que tu bouilles d'impatience de connaître la troisième composante de ce triptyque social à la française. Je te le donne