La Bruyère De La Mode 2

dans le domaine esthétique et dans l’importance relative des deux courants qui dominent le siècle : d’abord le mouvement baroque, plus long et paneuropéen, puis le classicisme, plus spécifiquement français et moins long, lié au « siècle de Louis XIV » 2 . Si le baroque est une esthétique de l’incertain, du flou et de la surabondance, le classicisme est fait de retenue, d’ordre et d’ambition morale : c’est ce courant qui s’imposera en France dans la deuxième moitié du siècle avec l’intervention du monarque

arrière-pensée. 2) Le décor utopique L’île des esclaves -> utopie, art du déguisement II / L’engagement 1) Le retour à l’ordre L’ordre familial -> Tartuffe 2) Le théâtre révolutionnaire Beaumarchais -> Barbier de Séville III / La morale : la catharsis 1) Le rôle de la comédie Enseigner la vertue par le vice : la comédie de Molière -> l’avare (vice particulier), les précieuses ridicules (vice social), Dom Juan (hypocrisie) 2) Le rôle de la

C’est malin ! ». Antithèse : figure qui oppose fortement deux termes évoquant des réalités contradictoires. « Un noble, s’il vit chez lui dans sa province, vit libre mais sans appui. S’il vit à la cour, il est protégé, mais il est esclave. » (LA BRUYÈRE, Les Caractères). Grâce à une double antithèse (« sans appui/ protégé » ; « libre/ esclave »), le moraliste oppose ici la vie du noble en province et sa vie à la cour, en suggérant les avantages et les inconvénients de chacune. Antonomase : un

Jean qui pleure - Mieux vaut en rire qu'en pleurer - Qui rit vendredi, dimanche pleurera - Rira bien qui rira le dernier 1 Air des bijoux chanté par Maria Callas, 6 minutes http://www.youtube.com/watch?v=FHrSfxtTe64&feature=related CBC Page 2 On peut les faire travailler sur des expressions à commenter en classe * Rire comme un fou, rire comme une folle * Rire de bon cœur * Rire à se décrocher la mâchoire * Rire comme un bossu * Rire comme une baleine * Rire à gorge déployée * Rire dans

les affiches qui chantent tout haut » (Apollinaire). L’allégorie. Cette figure permet de représenter sous une forme concrète une idée abstraite : « […] l’Angoisse atroce, despotique,/ Sur mon crâne incliné plante son drapeau noir » (Baudelaire). 2 Les figures par substitution Elles permettent de substituer un mot à un autre, selon des rapports plus ou moins proches. La métonymie. Elle rapproche un mot d’un autre mot ayant avec lui un rapport de contiguïté ou un rapport logique : boire un verre

| |Axe 1 | | |Axe 2 | | |Eléments pour la conclusion

fée au baptême de leur fille qui lui jette une malédict, atténuée par une fée + jeune : la princesse se piquera la main à un fuseau, dormira 100 ans, sera réveillée par un prince. Se réalise ’15 ou 16 ans après’ > prince > s’épousent secrètmt et 2 enfants > mariage déclaré à la mort du père du prince > nv roi part à la guerre et confie ses enf et sa f à sa mère. Mais ‘race ogresse’. Au retour du roi : elle se jette dans la fosse à reptiles destinée pr ses victimes. ✎ Symbolique du

adaptations cinématographiques des nouvelles ......... 5 Bibliographie ..................................................................................................... 5 POUR COMPRENDRE : quelques réponses, quelques commentaires Étape 1 Étape 2 Étape 3 Étape 4 Étape 5 Étape 6 Étape 7 Happy Meal ............................................................................. Pauvre petit garçon ! ........................................................ Continuité des parcs ..........

ce poète Alfred de Vigny (1797-1863) Le plus sombre Dans ses poèmes antiques et modernes, Alfred de Vigny exploite avec un e solennité aristocratie la veine moyenâgeuse que les romans de l’écossais walter Scott viennent de mettre à la mode (Ivanhoé en 1819) ainsi, le poète nous sert une nouvelle, version de la chanson de Roland dans l’un de ses plus célèbre poèmes Poèmes antiques et modernes Le cor J’aime le son du cor, le soir, au fond des bois, Les destinées(1838-1863)

solitude de Cnémon est l’une des dynamiques essentielles à l’œuvre, puisque sans cet objectif les scènes IV, V et VI du dernier acte seraient superflus. Dès l’exposition les nœuds de l’intrigue se forment : à la scène 1, l’intrigue amoureuse, et à la scène 2, l’intrigue morale et quasi politique de la solitude et de la violence faite à la solitude de Cnémon. On observera toutefois que cette scène est une mise en abyme. Il y a une distance créé avec les faits, et pour cause : le Cnémon de cette scène est