La Bruyère Caractères

ARRIAS COMMENTAIRE Arrias, est un texte écrit par La Bruyère en 1688. Ce texte vient des Caractères. C'est un portrait satirique. La Bruyère était un grand auteur du XVIIème siècle, un moraliste. L'histoire s'ouvre sur un portrait en action d'Arrias. On apprend qu'il se donne pour homme universel, et prétend avoir tout lu et tout vu. On apprend aussi, que c'est un menteur, et qu'il aime avoir la parole. Vers la fin du texte, un homme contredit Arrias. Il réplique alors que ce qu'il dit

de La Bruyère Écrivain français, essayiste et moraliste né à Paris le 16 août 1645, mort à Versailles le 10 mai 1696. Il est le deuxième fils d’une famille constituée de huit enfants issue de la petite bourgeoisie. Après avoir obtenu une licence en droit, il devient, a l’âge de 27 ans trésorier de France à Caen. Puis, il est chargé d'enseigner l'histoire au duc de Bourgogne, il passera d’ailleurs le reste de ses jours auprès de ce dernier. Moraliste et observateur, La Bruyère s'attache

I- La vie de Jean de La Bruyère: Jean de La Bruyère naquit à Paris en 1645. Ses parents, qui avaient huit enfants, étaient de petit-bourgeois parisiens vivant chichement d'un office de contrôle des rentes. Reçu avocat au Parlement de Paris, il n'exerça pas le métier paternel, mais acheta, grâce à un héritage, un office de trésorier des finances; il put ainsi mener une vie calme et solitaire et observer les hommes de son temps. À quarante ans, il entre dans la maison de Condé comme précepteur de

 Jean de La Bruyère écrit Les Caractères en 1688, qui comprend l’extrait de « De l’homme », un portrait tendant vers le blâme. Jeanne-Marie Leprince de Beaumont écrit quant à elle le conte La Belle et la Bête en 1757 soit près d’un siècle plus tard. Ces deux auteurs utilisent tous deux dans leurs textes respectifs la persuasion et l’argumentation indirecte. Comment choisissent-ils de faire réfléchir le lecteur sur l’homme ? Tout d’abord, il est à noter que La Bruyère et Leprince de Beaumont n’ont

Jean De La Bruyère, moraliste du XVIIème siècle originaire de Province, était un homme peu connu de la société. Après avoir obtenu une licence en droit, il occupe le poste de trésorier général de France au bureau des finances de la région de Caen. Malgré sa certaine discrétion, ses relations amicales avec Bossuet le mèneront à la rencontre du Grand Condé, qui n’est d’autre que Louis II, duc d’Enghien. La rencontre de cet homme lui permettra de devenir le précepteur du petit fils de celui-ci. En 1688

GNATHON I. Un être répugnant 1) Un goinfre Le portrait de Gnathon est un portrait en actes. La Bruyère présente son personnage dans différentes situations de la vie courante et accorde en particulier une grande attention au comportement de son personnage à table. En effet, sa manière de manger occupe plus de la moitié du texte et Gnathon apparaît d'emblée comme un être répugnant et goinfre. Il semble affamé et se remplit de nourriture sans arrêt et presque sans discernement, comme le soulignent

s’en repentir, si cela sert à insinuer et à faire recevoir les vérités qui doivent instruire » (LA BRUYERE, préface des Caractères). « ... comme les hommes ne se dégoûtent point du vice, il ne faut pas aussi se lasser de le leur reprocher... » (LA BRUYERE, préface des Caractères). « L’on n’écrit que pour être entendu ; mais il faut du moins en écrivant faire entendre de belles choses » (LA BRUYERE, Des ouvrages de l’esprit). « Quand une lecture vous élève l’esprit, et qu’elle vous inspire

Commentaire Composé sur Pamphile Comment le portraitiste-moraliste qu’est la Bruyère opère-t-il un passage du type de « Pamphile » à l’écriture d’un genre bien particulier qui est celle du caractère ? Pamphile représente un autre type de personnes qui aiment habitudes, la vie, les divertissements de la haute société particulièrement centré sur l’image qu’il s’attache à donner de lui-même aux autres mondains du milieu de la cour dans lequel il évolue. I Un portrait qui s’auto-construit au

littéraires repose la dénonciation de la guerre ? Nous avons affaire ici, à un corpus de quatre œuvres littéraires, et d’un document iconographique, portants tous sur la dénonciation de la guerre : le premier texte est extrait de l’œuvre Les Caractères de La Bruyère intitulée «Du souverain ou de la République», le deuxième est un autre extrait mais de l’œuvre nommé L’Encyclopédie, « Paix » de Damilaville (œuvre emblématiques des Lumières écrites par des centaines d’auteurs différents), le troisième texte

publiés en 1670 , un extrait des Maximes de François de La Rochefoucauld parues en 1678, les Maximes firent polémique à cause de leurs pessimiste et de leur violence dans la description de l'homme dans la société, un extrait d'une œuvre, Caractères, De la cour , de La Bruyère écrit en 1688, un comte , Les fées de Charles Perrault, et pour finir un extrait des Fables de la Fontaine qui répond aux Maximes de François de La Rochefoucauld. Tous ces extraits de textes appartiennent au mouvement du classicisme