La Bourgeoisie Et Ses Stereotypes

deviennent tous deux français à leur majorité. De plus, ils n’appartiennent pas tous à la même classe sociale. La majorité provient de la petite bourgeoisie appuyée sur le petit commerce : le père de Gambetta possédait une épicerie et celui de Spuller était boucher. Tandis que d’autres comme Allain-Targé ou Challemel-Lacour proviennent de la grande bourgeoisie. Cependant, les membres du groupe ont un point commun fondamental : ils ont tous un apprentissage du politique dans des cercles familiaux progressistes

de médecin parvint au suicide et à l’endettement par ennui. Peu de temps après son mari mit également fin à ses jours, laissant derrière lui une orpheline. Le personnage principal, Emma Bovary, plus qu’une héroïne de roman, est l’égérie d’une bourgeoisie empreinte de son époque vue à travers le prisme satirique de l’auteur réaliste qu’est Flaubert. « Ma pauvre Bovary souffre et pleure dans 20 villages de France » Flaubert. Flaubert meurt en 1880 et ainsi, on gardera de lui, l’image d’un homme vibrant

peur des classes dangereuses ayant des réactions primitives, se retournant contre leur outil de travail. Il retient que l’Etat n’est pas indistinctement du côté des patrons. Il peut être arbitre. Cf site images.histoire.org Discours de la bourgeoisie sur le bon (honnête, courageux, reconnaissant) et le mauvais travailleur (gréviste, paresseux, alcoolique) Tableau : Paul SERUSIER Le tisserand (ouvrier du textile à domicile travail qui disparaît après la crise des années 1890). 3. Les ouvrières

pour accéder à la culture, et donc paradoxalement capables d’y réussir, puisque la culture scolaire est la culture de l’élite. La petite bourgeoisie transmet à l’inverse une « bonne volonté culturelle », les parents tentent ainsi d’inculquer des règles a leurs enfants afin qu’ils adhèrent à la culture bourgeoise. En fait, ils tentent de copier la bourgeoisie, sans en avoir réellement les moyens ; ceux sont eux alors qui feront prendre des cours particulier à leurs enfants. Les défavorisés, enfin

population, ici les femmes dans le sport, des droits identiques aux autres. HISTORIQUE D’EMANCIPATION 19e / début 20e siècle: naissance du sport moderne en France • Club de gymnastique (peu de club ouvert aux femmes) • Sport anglais de la bourgeoisie: cricket (femmes exclues) • Activités réservés à l’aristocratie: l’équitation (présence de femmes) Après la première guerre mondiale : on remarque la participation des femmes dans des mouvements sportifs sélectifs 1928: intégration des femmes dans

chagrin Travail préparatoire le portrait de l’antiquaire Introduction : Le portrait de l’antiquaire contient, en plus des métaphores, oppositions, accumulations,..., deux axes de lecture : le portrait d’un « vieillard juif » relevant du stéréotype du XIXe   siècle et le portrait archétypal d’un personnage fantastique. En quoi réside l’originalité du portrait de l’antiquaire ? Développement : I / a) Raphaël est étonné par l’apparence de l’antiquaire, dans le passage « Tel

communication entre les individus Au début, une scène d’exposition nous est présentée : on assiste aux entrées successives des personnages, et des informations sur leur personnalité, leur physique et leur comportement sont données. Les personnages sont stéréotypés : la Bonne représente la servante au théâtre, maladroite et d’allure « paysanne », personne vive : « en courant » et d’autres gérondifs ; l’élève représente le personnage innocent et naïf, elle est jeune, polie, bonne élève et jolie, elle apparaît

fait vivre l'horreur de la prison et de la peine de mort n'est en fait que la pensée de Victor Hugo, par lui, il nous confit son dégout face à cela et son mépris de cette justice. Enfin, nous allons voir que le personnage de roman est souvent un stéréotype, servant à "imager" la société et la culture de l'époque de l'auteur. En effet il existe de nombreux "types" de personnages de roman, comme l'aristocrate, l'ouvrier ou encore le paysan…Balzac à été un des auteurs à s'être le plus servi des types

IV-Commentaire Personelle Le barbier de Séville est selon moi une pièce de théâtre très intéressante et fortement drôle et plaisante pour plusieurs raisons : -Tout d’abord les personnages sont très charismatiques, le Comte Almaviva est le stéréotype même du noble. On apprécie beaucoup le lien qu’il tisse avec la belle Rosine,pour qui il est prés a tout ce qui va le mettre dans des situation parfois plus que causasses pour notre plus grand plaisir .Mais plus j’avançait dans l’œuvre ,plus je

l’ainée (même caractère acariâtre, mauvais, désagréable) et la cadette et le père (un caractère doux, honnête, mais aussi la beauté). On ne sait pas à quel milieu appartiennent les personnages, mais on peut déduire qu’ils font partie de la petite bourgeoisie. Dans le texte, rien n’évoque la disparition du père. Nous sommes dans une situation ou le père n’est plus là pour défendre la cadette. Les 2 épisodes ne donnent comme détails, concernant les lieux, qu’une fontaine, un chemin, un environnement.