La Boulimie Et Anorexie

primaire du fait de lésions. (Dans la dépression il est secondaire), puis des troubles du sommeil secondaire à l’anxiété ou à la dépression ou à des dysfonctionnements neurologique. Dans la dépression on retrouve des troubles de l’appétit (anorexie ou boulimie), dans la SEP, il n’y en a généralement pas c’est plutôt une diminution de l’appétit. 1. Pas de lien statistique entre dépression et niveau de handicap. (handicap léger mais l’affect dépressif prenait le dessus sur son niveau d’autonomie)

comportent l'une ou l'autre. JEAN-LOUIS FLANDRIN Quand manger devient pathologique GILLES MARCHAND La boulimie fait partie des principaux désordres du comportement alimentaire. Moins visible socialement que l'anorexie, avec laquelle on la confond souvent, elle est pourtant aussi à l'origine d'une grande détresse psychologique. « Faim de boeuf » : telle est l'étymologie de la boulimie qui, dans ce sens, rejoint le comportement alimentaire d'un Gargantua, capable de s'offrir six pèlerins en

6 ans dans les cas « normaux ». Quand on l’évoque : cristallisation du problème qui risque de se faire sur le plan alimentaire. Si ça ne sort pas maintenant, ça risque de sortir plus tard : émergence d’une problématique alimentaire après (boulimie, anorexie, surcharge pondérale…) * Troubles du comportement * Le mensonge : Intentionnel et construit à partir de l’âge de 7-8 ans avec préméditation et organisation (Avant, l’enfant ment mal). * Le mensonge utilitaire : on en fait tous

essentiellement pratique. Les aspects psychologiques peuvent déterminent l’occurrence de certaines pathologies : certaines pathologies ont des causes psychologiques comme la dépression, les névroses ou encore les troubles du comportement alimentaire, anorexie ou boulimie. • Anthropologie[4] Science étudiant l’Homme dans une perspective biologique et sociale au sein de sa société. Distinction entre l’anthropologie physique, qui étudie l’évolution et l’adaptation des Hommes en tant qu’êtres biologiques

pour les autres. 
 Les enfants avec une mauvaise estime de soi rencontrent des conséquences : • au niveau social : problème adaptation social • problème d’intégration professionnel • problème de dépression, anxiété • OU troubles alimentaires : anorexie, boulimie, etc. • OU addictions 

pathologies et de psychoses: - Les troubles bipolaires la psychose maniaque dépressive - La schizophrénie qui se développe Il y a trois grandes catégories de troubles possibles: - Psychose autodestructrice: tel que la toxicomanie, l’anorexie, la boulimie ou encore le suicide. - La conduite antisociale telle que la délinquance - La dépression: le retrait relationnel et l’échec scolaire Une nouvelle psychose récente chez l’adolescent est sa remise en question ou trouble envahissant du développement:

mal à faire le deuil de l’enfance, ce qui était qu’imaginaire( la vie d’adulte, le travail…) devient une réalité de plus en plus proche et cela devient intolérable pour eux ! Cela peut conduire à des comportements de fuite (drogue, fugue, suicide, anorexie….)si l’on se sent en grande souffrance il faut en parler ! 2 :le stress est un état physique et psychologique que notre corps subit à chaque fois que nous devons nous adapter à une nouvelle situation ! Si vous êtes épuisés, dormez mal, ne mangez

mais pas immédiatement, ils peuvent aggraver l’anxiété en début de TTTLes Etats de Stress Post Traumatique (PTSD) : · Intérêt des IRS, Tricycliques et IMAO : délai d’action de 8 joursLes troubles alimentaires :· Anorexie : AD sédatifs (pour atténuer hyperactivité motrice) · Boulimie : IRS ( Prozac ) à des posologies élevées Les maladies psychosomatiques :· Maladies come l’asthme, les ulcères, les céphalées, la recto-colite hémorragique, les pb cutanésL’impulsivité :

de 11 ans, elle y a ensuite été séquestrée à 18 ans et y a donné naissance à sept enfants dont l’un est mort. […] » Symptômes post-traumatiques (qui permettent d’identifier l’inceste) : - Trouble de la conduite alimentaire : boulimie, anorexie… - Trouble du sommeil - Tentative de suicide - Difficultés scolaires soudaines - Dessins stéréotypés - Difficultés d’adaptation, méfiance - Culpabilité, honte 3) Les violences morales Le

de la pensée) avec trouble de la mémoire et appauvrissement idéique. –On repère aussi des signes non-spécifiques dont une angoisse toujours présente, des troubles du sommeil (périodes d'insomnie ou d'hypersomnie), des troubles alimentaires (une anorexie avec amaigrissement ou bien une hyperphagie avec obésité), et sexuels (baisse de la libido). Un épisode de dépression majeure est qualifié, selon la sévérité des symptômes, de léger, moyen ou sévère. Voici les critères du DSM IV pour le diagnostic