La Belle Verte

d'espace, Mignonne, elle a dessus la place Las ! las ses beautés laissé choir ! Ô vraiment marâtre Nature, Puisqu'une telle fleur ne dure Que du matin jusques au soir ! Donc, si vous me croyez, mignonne, Tandis que votre âge fleuronne En sa plus verte nouveauté, Cueillez, cueillez votre jeunesse : Comme à cette fleur la vieillesse Fera ternir votre beauté. b) Nom des vers : Les vers à 8 syllabes sont appelés octosyllabe. c)Genres des rimes : D’après le Guide des procédés de l’écriture un

réalité la soeur du morholt que Tristan vient d’abattre), séduite par la musique de sa harpe le recueille pour le soigner. Sa fille n’est autre qu’Iseut. Une fois guéri il rentre en Cornouailles où le roi Marc décide de prendre pour femme la plus belle du monde, celle dont un cheveu blond a été déposé par une hirondelle sur sa fenêtre. Les barons un peu jaloux de ce neveu encombrant insistent pour que ce soit Tristan qui aille demander la main de la jeune fille pour son oncle. Tristan part donc

des logements miteux et avec juste assez de revenus pour survivre. Tous les personnages sont rassemblés dans le même immeuble, rue de la Goutte-d’Or. Résumé : L’Assommoir de Emile Zola raconte l’histoire de Gervaise Macquart une Jeune et plutôt belle femme originaire de Plassans vivant à Paris, de son amant, Auguste Lantier ainsi que leurs deux enfants Claude et Etienne. Lantier est infidèle et fainéant, il finit par abandonner Gervaise et les enfants pour partir avec Adèle, la sœur de Virginie

de griffes qui m'avait tellement agacé eût dû m'attendrir » ? 8) Qui désigne le « j' » dans la première phrase du chapitre ? 9) En quoi la fleur peut-elle être assimilée à un véritable personnage ? 10) Que désigne l'expression « chambre verte » ? 11) Identifiez le temps et le mode utilisés à la fin du chapitre? Quel sentiment ressenti par le Petit Prince exprime-t-il? 12) Quelle est la formule de sagesse à retenir de ce chapitre? Séance 6 : Les expansions du nom Définition :

richesse, et aussi le mépris des femmes. III) La sérénité de la nature face au carnage La nature est évoquée essentiellement au vers 7 et 8 : le 2ème quatrain. Rimbaud rend hommage à la nature. Nous sommes en été (belle saison), couleur verte, bleue (ciel). C'est une nature belle et généreuse. "Ô toi qui fis…" v. 8 -> la guerre La Nature crée la vie. Début de cette phrase en majuscule. "Faire saintement" v.8 est un hommage de la Nature qui est sincère, pure, désintéressée. Pour Rimbaud,

d’inspiration, secondement, de la sensibilité du poète qui participe à la transformation de la réalité, puis, de proposer une écriture riche en signification. I) La réalité peut constituer une source d’inspiration : REALITE PAS TOUJOURS BELLE, INTERESSANT. Le poète est avant tout un homme qui exprime la réalité du monde, le monde qui de base possède d’énormes défauts, mais également toutes sortes de cultures et de populations. La poésie permet alors de découvrir ou redécouvrir sous un

temps. [...] [...] tu seras aimée de mes amants, courtisée par mes courtisans. Tu seras la reine des hommes aux yeux verts dont j'ai serré aussi la gorge dans mes caresses nocturnes; de ceux-là qui aiment la mer, la mer immense, tumultueuse et verte, l'eau informe et multiforme, le lieu où ils ne sont pas, la femme qu'ils ne connaissent pas, les fleurs sinistres qui ressemblent aux encensoirs d'une religion inconnue, les parfums qui troublent la volonté, et les animaux sauvages et voluptueux qui

 A quelques instants de calèche seulement de Crouy-sur-Ourcq, un petit bourg de commerce de Seine et Marne, en bordure des sombres bois, face à la plaine verte et infinie, se dressait le vieux manoir de la toute aussi vieille famille des Varifois. C’était un édifice aux formes simples mais au décor extrêmement raffiné, reflétant l’immense et flamboyante fortune des propriétaires, issue du juteux marché de l’immobilier. Ce beau manoir était immense, avec trois corps de bâtiments s’élevant chacun

consiste à vieillir. Quelquefois seulement, près de votre maîtresse, Souvenez-vous d’un coeur qui prouva sa noblesse Mieux que l’épervier d’or dont mon casque est armé ; Qui vous a tout de suite et librement aimé, Dans la force et la fleur de la belle jeunesse, Et qui dort maintenant à tout jamais fermé. Alfred de Musset A Madame G (Sonnet) C’est mon avis qu’en route on s’expose à la pluie, Au vent, à la poussière, et qu’on peut, le matin, S’éveiller chiffonnée avec un

occuper. Au village il ne reste que les vieux, les femmes et les enfants. Ils devront s’occuper seuls de tout. Tout doit continuer, la nature reste ce qu’elle est, ainsi que les besoins des hommes. Joseph est le mari de Julia, jeune femme forte et belle. Il est parti avec Olivier, l’amoureux de Madeleine qui est la sœur de Joseph. Pour eux, cela va être la guerre pendant quatre longues années. Et quelle guerre !… Une horreur sans nom, les tranchées, les gaz, la pluie, la boue, les rats, les assauts