La Beauté De La Tragédie

Solange se sentent emprisonnées et réduites à leur condition sociale. Le malaise tient aussi du fait que Solange et Claire se confondent continuellement; l'une incarnant la raison (Claire) et l'autre la passion (Solange). On a donc une parodie de tragédie classique; avec un héros tragique (Claire/Solange) et un dilemme (tuer Madame, ou un dilemme intrinsèque qui repose sur la volonté de se découvrir, départ à la recherche de soi-même). Comme l'a bien précisé Jean Genet, la pièce n'est pas un plaidoyer

Ronsard rencontre, dans une fête à la cour de Blois, Cassandre Salviati, fille d’un banquier italien. Il a 20 ans, elle en a 13. Le surlendemain, la cour quittait Blois. L’année suivante, elle se mariera ; mais Ronsard la reverra et chantera autant sa beauté radieuse que le souvenir d’un beau nom antique. Ces poèmes ( 183) étaient voués à être chantés.  Lecture du poème Quelles similitudes constatez vous entre les deux textes, à 4 siècles de différence ?  Même thème que la chanson : la fuite du

on développe la philologie, car les textes antiques offrent des clefs essentielles. Machiavel s’inspire ainsi de Tite-Live, Thomas More et Érasme de Lucien. • Le culte de l’homme : on exalte son pouvoir créateur, son intelligence, sa vivacité, la beauté de son corps. • L’éloge de la connaissance : l’homme est conçu en parfaite harmonie avec la Nature, car il est fait à son image. L’homme est un abrégé du Tout, et la philosophie du microcosme et du macrocosme préside à la connaissance de l’univers

(elle ressemble à la Vénus), et est réservée à Alphonse. Elle est naturelle, discrète et d’une grande générosité, tout le contraire d’Alphonse. Elle donne l’effet d’être belle et intelligente. Elle ne sait pas qu’elle va perdre son mari dans une tragédie pendant la nuit de noce et aussi son équilibre mental. Mme de Peyrehorade L’épouse de M. de Peyrehorade. Elle incarne l’étroitesse d’esprit de la bourgeoisie provinciale. C’est une femme sceptique, elle se méfie de la venus  et aimerait faire fondre

de l'exil), "Le Flacon" (figure biblique métaphorique de Lazare). Le symbole est utilisé et approprié pour décrire ce qu'il veut dire. Le vocabulaire est partagé entre passé et avenir ("haine", "cieux", "gouffre", "ennuie" = mots typiques de la tragédie, termes raciniens). Il va même parfois jusqu'à utiliser des archaïsmes : "mignard" ("Le Masque", poème 20) : niais ou "gueusant", "coturne" ("A une Passante Rousse", "Rouès" = rusé, malhonnête). Mais il ne craint pas d'ajouter un vocabulaire moderne

Flaubert et de voir ce qui peut motiver sa condamnation Nous pourrons alors analyser la conception qu'il lui oppose et discerner ce qu'elle implique. Il ne restera plus qu'ŕ se demander si elle condamne effectivement l'existence du beau sujet. Que la beauté d'une œuvre d'art réside déjŕ, en grande partie, dans son sujet, voilŕ une conception fort ancienne dont l'apparente évidence a longtemps régenté et régente męme encore une part importante de la création artistique. Ainsi parle-t-on de sujets

Jours 2 Les vers , rythmes, sonorités, les poèmes à fores fixes Jours 3 Les stratégies d’argumentation Jours 4 Discours rapportés autobiographie Jours 5 Humanisme classicisme JOurs 6 le siècle des lumières Jours 7 Le langage théâtrale comédie tragédie Jours 8 Intertextualité, mythe - Les différents registres Le registre désigne la tonalité générale d’un texte, liée à des genres ou des procédés d’écriture. Admiration, pitié, joie, angoisse, amusement, sont créés par les différentes composantes

«la pitié», estime pourtant qu'un écrivain doit d'abord s'accommoder à son génie. Là-dessus, s'engage entre les quatre amis une longue discussion, spirituelle et subtile, sur la valeur comparée du rire et des larmes, c'est-à-dire, au fond de la tragédie et de la comédie; et c'est comme un dialogue platonicien, qui s'intercale dans le roman et oppose l'une à l'autre la douleur et la joie. Après cet intermède, Polyphile reprend la lecture. Le récit de l'histoire de Psyché est enclavé dans un autre

classique (2ème moitié du XVIIe siècle) La tragédie classique (2ème moitié du XVIIe siècle) Palais en Grèce ou dans l’Empire romain Le drame romantique (1ère moitié du XIX » siècle) Le théâtre du XXe siècle Lieux Grèce ou Empire romain Intérieurs bourgeois ou domestiques, cadre urbain Diversité des lieux : palais, chambre, cours… Contemporains de l’auteur et du public Antiquité, époque biblique - Tragédie : personnages mythologiques ou historiques

Antithèses : désordre des sentiments, « désolante – innocente » « peine – espérance » - Valmont : être protéiforme « monstre » puis « aimable ami » « ne nous séparons plus » Confusion des sentiments. • Registre pathétique : chagrin et pitié b. La tragédie en marche - Accents tragiques • Gradations (« tourmentée, dégradée, ..) en rythme ternaire • Hyperboles (« criminel » « séjour de ténèbres ») Vie insupportable -> sacrifiée Sacrifice ultime relève du suicide (héroïne Racinienne) • Refus