La Bataille d'Alger

La Bataille d’Alger Après la défaite de la France durant la deuxième guerre mondiale et surtout après le débarquement des anglo-américains en Afrique du nord, le nationalisme se développa très rapidement. Au début de 1943, le « manifeste du peuple algérien » demanda, pour la première fois officiellement la constitution d’un état algérien autonome. Le général de Gaulle y répondit en mars 1944, en accordant les droits de citoyenneté à toute l’élite algérienne, et en abolissant toutes les mesures d’exception

LA BATAILLE D’ALGER Au 31 mars 1957, quand s'achève la " bataille d'Alger ", il ne reste pas grand-chose de l'organisation politico-militaire du F.L.N. La mort de Ben M'Hidi et la fuite des autres membres du C.C.E. ont fait de Yacef Saadi le patron de la zone autonome d'Alger. Le premier problème qui se pose à Yacef Saadi est d'établir des liaisons avec ses supérieurs, qui se trouvent quelque part entre la Kabylie et la Tunisie. Dans la Casbah, qu'il n'a jamais quittée, la sécurité est bien plus

consacrée et institutionnalisée comme arme de guerre par l'armée, à laquelle on donne tous les pouvoirs, lors de la « bataille d'Alger », qui fut, en 1957, un « point de non-retour » à cet égard[4]. Toutefois, le passage à une guerre totale et à la systématisation de la torture précède l'année 1957, correspondant, selon la thèse de Raphaëlle Branche, à l’arrivée à la tête de l’état-major d’Alger du général Raoul Salan en décembre 1956. Une loi d'amnistie a été votée le 31 juillet 1968 en confirmation

Fellaghas sont les membres du FLN selon les Français. En 1957, certains évènements on provoqué l’émotion des certains Français de métropole. En effet, suite au développement de la guerre en ville à cause du FLN, les militaires ont lancé la « Bataille d’Alger ». C'est-à-dire une multitude de contrôles, de fouilles, d’arrestations, mais aussi la torture afin de détruire les réseaux des indépendantistes algériens, encore très puissants. Ainsi, l’opinion publique n’est pas insensible aux violences infligées

pouvoir, sous la Présidence de Guy MOLLET qui, président du conseil, donne la priorité à une victoire militaire sur le FLN. D'abord partisan d'une politique de négociations, MOLLET fait machine arrière, après avoir été conspué par les Européens d'Alger, le 6 février 1956, et pose désormais comme préalable une victoire militaire sur le FLN. Le ministre- résident en Algérie, Robert LACOSTE, laisse l'armée conduire la guerre à sa guise. 400 000 hommes bouclent les frontières de l'Algérie, la soumettant

d’attentats en Algérie organisé par le FLN. 1956 : vote des pouvoirs spéciaux (loi qui donne au gouvernement tous les pouvoirs pour rétablir l’ordre en Algérie), envoi du contingent (Français faisant leur service militaire). Janvier –octobre 1957 : bataille d’Alger pour démanteler le FLN. Intensification de la violence : terrorisme, répression, torture. Mai 1958 : émeute à Alger, retour au pouvoir du Général de gaulle (chute de la IV république) Septembre 1959 : discours du Général De Gaulle sur l’autodétermination

premier date du 1er novembre 1954. Il y aura aussi de combats guerrier sous forme de guérilla. La France considère que l'Algérie lui appartient, elle envoie donc des jeunes français faisant leur service militaire, en 1956. En 1957, il y aura la bataille d'Alger entre l'armée et le FLN. Les émeutes de 1958 à Alger amèneront le retour au pouvoir du général de Gaulle. En Janvier 1961, de Gaulle, président de la République, propose un référendum sur l'autodétermination algérienne, en métropole et en Algérie

Zone autonome d'Alger Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Aller à : Navigation, rechercher La Zone autonome d'Alger (ZAA) est la structure de l'ALN-FLN pendant la guerre d'Algérie, créée à l'issue du Congrès de la Soummam tenu le 20 août 1956 et concernant uniquement la capitale, Alger ; les autres délimitations territoriales sont appelées « Wilayas » et sont au nombre de six. La ZAA est structurée, peu avant la grève de huit jours de janvier 1957 durant la bataille d'Alger de la sorte

générale en novembre 1954. Des attentats sont commis.Pour maintenir l'ordre, l'armée francaise y est envoyée.En 1957, durant la bataille d'Alger, la torture est utilisée. Les gouvernements de la 5 eme République sont impuissants. Le 13 mai 1958, l'armée se souleve, soutenue par la population francaise d'Algerie, les pieds noirs et des musulmans. C'est le putsch d'Alger. Rappelé au pouvoir, d Gaulle change la constitution ezt tente de resoudre le probleme. En 1959, il propose l'autodétermination aux

clairement le FLN d'assassin. Les partisans de cet organisation sont donc pour que l'Algérie reste française et ils seront « prêts à tous les sacrifices pour défendre cette cause ». 2) Après avoir expliqué « pouvoirs spéciaux », bataille d'Alger, putsch des généraux, vous démontrerez que la politique de la France se divise en 3 grandes phases.Pouvoirs spéciaux → « Le gouvernement disposera en Algérie des pouvoirs les plus étendus pour prendre toutes les mesures exceptionnelles commandées