L'Orphelinat

* 1836 : fondation de la congrégation des sœurs de l’Adoration perpétuelle du Saint sacrement pour l’accueil des orphelins. * 1896 : ouverture d’une pension de famille pour personnes âgées * 1923 : ouverture de l’orphelinat de Trévidy à Morlaix * 1946 : création de l’Association de Trévidy * 1961 : inscription dans le secteur de l’enfance inadaptée et handicapée : ouverture de l’IME de Trévidy à Morlaix et du centre d’Observation Marguerite le Maitre à Quimper

font les camarades de Viviane pour la ramener au groupe ? Y réussissent-elles ? Pourquoi ? 5-Quel sentiment la narratrice éprouve-t-elle envers Viviane ? Qu’est-ce qui le montre ? Nous apprécions le texte La narratrice et les autres filles de l’orphelinat ne se comportent pas de la même façon envers Viviane. Quel est le comportement qui vous semble le meilleur ? Pourquoi ? Nous analysons le texte 1-Quelle est la passion de Viviane ? 2-Relevez l’aspect physique et le caractère de cette fille

mais aussi dans les pays scandinaves. I. L’Espagne Des festivals du film fantastique comme San Sebastián ou Sitgès engendrent une nouvelle cinéphilie. Ensuite, des films espagnols tels que : « L’Echine du diable » de Guillermo del Toro, « L’Orphelinat » de Juan Antonio Bayona ou encore « Les Autres » d’Alejandro Amenábar, rencontrent un succès public énorme. Pourtant, L’essor du cinéma horrifique espagnol se situe vers la fin des années soixante. a) Petit retour en arrière Entre 1968

pensionnaire. Julien 12 ans fils adoptif M. Chevillot le capitaine Loïc Guérineau le second Blaise-Benoît le cuisinier Jos un vieux marin Anselme un charpentier Youenn le timonier de M. et Mme Abalain Rémousin Ancien directeur de l’orphelinat où René est venu chercher Julien. Des ha b it a n t s de l ’ îl e de Ha ït i Victoire Abalain, sœur de René Abalain C’est la propriétaire de la plantation de cacao (européenne, blanche). Anne-Yogo, femme de Youenn (mulâtre) Flore, 2 ans

permettre et tout détruire. Mais Cormery avait crié comme pris de folie furieuse : « Non, un homme, ça s’empêche. Voilà ce qu’est un homme, ou sinon... » Et puis il s’était calmé. « Moi, avait-il dit d’une voix sourde, je suis pauvre, je sors de l’orphelinat, on me met cet habit, on me traîne à la guerre, mais je m’empêche. - Il y a des Français qui ne s’empêchent pas, avait dit Levesque. - Alors, eux non plus, ce ne sont pas des hommes. » Et soudain il cria : « Sale race ! Quelle race ! Tous, tous

et de sommeil, ayant passé une nuit ou deux à la belle étoile, blottis comme des chiens dans les rues de Gênes. C’étaient des ouvriers, des paysans, des femmes avec l’enfant au sein, des adolescents ayant encore sur la poitrine la plaque de l’orphelinat, et beaucoup portaient des sacs et des valises en tout genre à la main ou sur la tête, des brassées de matelas et de couvertures, et le billet avec le numéro de la couchette coincé entre les lèvres. […] Beaucoup allaient pieds nus, les chaussures

de la pièce, on se retrouve en état de guerre sans en connaître l'origine. La guerre s'immisce ainsi qu'un élément de la fatalité dans le quotidien des personnages. »3. Les lieux ne sont pas préciser non plus, sauf quelques-uns, en particulier l'orphelinat de Kfar Rayat transformé en prison en 1978, (après les massacres dans les camps des refugiés Kfar Riad et Kfar Matra4), et devenu un musée en 2000. C'est là que Jeanne découvre l'horrible histoire de sa mèr). Mais ces noms restent vagues, il ne

octogonale avec conciergerie accolée. « Les Orphelins » étaient accueillis et pris en charge par la communauté urbaines dans le cadre d'une vieille institution ayant ses bâtiments dans cette rue . Ce bâtiment, reconstruit au 19èS et appelé « L'Orphelinat de la Faucille » a été remplacé depuis par une école industrielle aujourd'hui transformé en immeuble à appartements. La salle culturelle Victor JARA C'est en mai 2009 que fut inaugurée cette nouvelle salle culturelle. C'est devant le foisonnement

idem 5 voir Aldo Van Eyck, in Aldo Van Eyck Writings. The Child, the City and the Artist, vol.1, Amsterdam, SUN, 2008, p. 62 6 Francis Strauven, in Conférence sur Aldo Van Eyck. Accomplir la nouvelle réalité en architecture, CIVA, 2012 plan de l’orphelinat à Amsterdam, Aldo Van Eyck, 1960 photo extraite de Leçons d’Architecture d’Herman Hertzberger, p.49 5 Nous ne pouvons manquer de mentionner son contemporain, Paul Neefs, qui malgré un formalisme autoritaire, s’efforçait toujours d’opérer à

rivière de Kaboul. Toujours selon Rahim khan, il paya tout de sa poche – les ingénieurs, les électriciens, les plombiers et les ouvriers, sans parler des autorités municipales, à qui il convenait de « graisser la patte ». La construction de l’orphelinat dura trois ans. J’avais huit ans à la fin des travaux. Je me souviens que, le jour précédant l’inauguration, Baba m’emmena au bord du lac Kargha, à quelques kilomètres au nord de Kaboul. Avant de partir, il voulut m’envoyer chercher Hassan, mais