L'Honneur du dragon

Le mythe du dragon en Occident et en Asie : Pour commencer, Le dragon est une créature légendaire représentée comme une sorte de gigantesque serpent écailleux, généralement capable de cracher du feu et de voler grâce à des ailes de cuir En chine, le dragon est à la fois une créature mythologique et traditionnelle. Dans les croyances populaires chinoises, le Dragon est donc la divinité des phénomènes aquatiques par exemple les chutes d'eau, les rivières, les mers et détermine les sécheresses

Plus tard, au cours du Moyen Age, le héros devient le vaillant chevalier sans peurs affrontant armées et dragons dans l’espoir de sauver sa princesse ou son royaume. Il est un symbole de courage, d’honneur et de loyauté. On peut voir dans cette catégorie : « Robin des bois » s’opposant à la couronne, le roi Arthur ou encore Rodrigue qui doit choisir entre son amour pour Chimène ou l’honneur de son père dans « Le Cid ». Et enfin, de nos jours, le héros n’est plus toujours le personnage légendaire

une bonne image à cette ville détestée.L’architecture de la ville la fait passée pour le lieu des utopies avec la Porte d’Ishtar, une des huit entrées de la ville construite en briques d’argiles cuites et emaillées et ornées de dragons de lions et de taureaux, en l’honneur d’Ishtar, la déesse de l’amour chez les Sumériens et les Mésopotamiens. Athanasius Kircher a représenté en 1726 les célèbres jardins suspendus de Babylone construits sous le règne de Nabuchodonosor II pour sa femme venant de Médie

divers fortunes de la ville (notamment Eusebi Güell), Gaudi va pouvoir librement exprimer ses folies. Voilà quelques exemples archiconnus mais incontournables du surinspiré Antoni Gaudi : Le dragon, récurrant dans l'oeuvre de Gaudi (à cause de St-Georges, patron de la Catalogne), est ici à l'honneur dans ce superbe portail qui orne le pavillon Güell dans le nord-ouest de Barcelone. Un formidable travail de ferronerie, de quoi faire fuir les intrus (ou attirer les touristes).   Au détour d'une

soit Tristan qui aille demander la main de la jeune fille pour son oncle. Tristan part donc en Irlande pour chercher la promise qui n’est autre qu’Iseut. Arrivé sur place il apprend qu’un dragon enlève chaque jour une jeune fille et que la reine a promis la main d’Iseut a qui parviendra a terrasser le dragon. Tristan y parvient non sans blessures. C’est une nouvelle fois Iseut qui le guérit, et c’est alors que Tristan explique qu’il est venu chercher la main d’Iseut non pour lui mais pour son

sentiments envers la reine et trahit son maître et le tu tout comme Lorenzo. Dès que le pouvoir prime sur les sentiments, les détenteurs du pouvoir engendrent un dénouement tragique. C’est le cas de la pièce du Cid de Corneille où Rodrigue défend l’honneur de son père au dépend de son amour pour Chimène. On retrouve également cette opposition dans la pièce de Roméo et Juliette de Shakespeare mais ici c’est plus par devoir et non par avidité de pouvoir que les héros tragiques agissent ainsi. La tragédie

s’allient aux Saxons mais ils sont massacrés par l’armée d’Arthur. Ensuite Arthur part avec son armée secourir le roi Leodegraunce de Camerlaird contre les Gallois du Nord il arrive à temps et les tue tous. Le soir même une fête est organisée en l’honneur d’Arthur, il entend jouer de la harpe s’approche et découvre une jeune fille dont il tombe éperdument amoureux. Merlin lui explique qu’il s’agit de Guenièvre la fille du roi et qu’elle est souffrante Arthur veut aller la voir mais Merlin l’en empêche

Et jo muer, amis, de tendrur " Le merveilleux: dans Tristan et Iseut est présent à différentes reprises, se manifestant par des actions extraordinaires. Tristan est un preux chevalier qui se bat contre des adversaires terrifiants (ex: Morholt/Dragon) qu'il tue toujours. Il survit aux blessures de ses combats par la magie des plantes guérisseuses d'Iseut. Un philtre d'amour aux pouvoirs extraordinaires unit la vie de nos deux héros comme deux cordes qui se nouent pour l'éternité. Ce boire sera

JASON ET LA CONQUETE DE LA TOISON D’OR LE FAUX ORPHELIN Jason fête ses 20 ans avec des amis dont Orphée le plus important. Ils boivent en l’honneur de son père Chiron, un centaure, un homme cheval. Tous lui vouent reconnaissance et respect. Son père lui avait promis 2 surprises pour ses 20 ans. Il commença à évoquer le 1er secret : sa mère Alcimède et ses 3 frères ont été attaqués par Pélias et égorgés. Elle a sauve son bébé en le confiant à Chiron. C’est JASON le fils d’Eson et c’est l’héritier

fin’amor (amour courtois) et à la transformation psychologique du héros. Il a donc, un comportement chevaleresque, tout en suivant un code moral. Par prouesse, il est amené à se battre pour défendre les faibles. La courtoisie comprend le sens de l’honneur, le respect du droit de chacun et la galanterie à l’égard de la femme. L’amour courtois et de (re) conquérir la dame grâce à des nouvelles prouesses. Sa renaissance en tant que Chevalier au lion. L’aspect du merveilleux se présente sous trois