L Homme Peut Il Se Mentir à Lui Même

suite à cette citation, on peut constater que leur relation est plutôt dysfonctionnelle : « Simon doute encore mais n’a pas tellement envie d’explorer le terrain de ses relations avec David. »1. David espère le jour où il aura une vraie conversation père-fils, homme à homme, mais tous deux éprouvent de la difficulté à établir ce lien. On perçoit une barrière psychologique qui bloque son père à vouloir être coopérant et ouvert d’esprit. De plus, Simon trouve que son garçon est un sous-homme. Selon

Juan. Tirso de Molina, écrivain espagnol écrit la même histoire quelques années avant; certains pensent que Molière a plagié la pièce de Tirso de Molina car c’est si similaire. Dans cette scène, Sganarelle, le valet de Dom Juan, discute avec Gusman, l'écuyer de Done Elvire, qui s'étonne du départ précipité de Dom Juan. On apprend qu'Elvire, après avoir été enlevée d'un couvent puis épousée par Dom Juan, vient d'être abandonnée par lui. Sganarelle dit a Gusman de enlever tout espoir que son maître revienne

Sans doute Camus, par ce roman du « cycle de l’absurde », a-t-il transposé sur le plan romanesque la théorie du Mythe de Sisyphe. C’est du moins la lecture immédiate que l’on peut faire de ce récit, celle que Sartre a fort bien éclairé dans Situations I. L’existence ici-bas n’a pas de sens. Les événements s’enchaînent de manière purement hasardeuse, et c’est une sorte de fatalité qui se dresse devant nous. C’est pourquoi Meursault se borne à faire l’inventaire des événements de manière froide, distante

Le personnage principal s'appelle Meursault. Le nom du narrateur n'est sans doute pas anodin. On peut en effet penser à « meur » qui renvoie à la fois à la mer et au meurtre et « sault » qui fait phonétiquement référence au soleil. Nous constatons une absence de portrait physique, sans doute parce que de cette façon, le lecteur peut plus facilement s'y identifier. On ne connait que son nom et son appartenance socioprofessionnelle.   C'est un personnage qui vit dans une rare insensibilité et indifférence

prés-supposé : La question "faut il" nous portent tout d'abord sur une interprétation en particulier c'est à dire qu'elle permet de se demander si le "faut il" est une liberté d'agir ou une obligation , si il porte vers une nécécité physique ( matérielle , économique etc...) ou moral ( dans le devoir etc...)l'obligation menne en effet sur quelque chose de désagréable , une perte de liberté, quelque chose a faire par devoir ou conviction. falloir ici représente effectivement une notion de devoir, mais devoir

T E X T E Arrias a tout lu, a tout vu, il veut le persuader ainsi, c’est un homme universel, et il se donne pour tel ; il aime mieux mentir que de se taire ou de paraître ignorer quelque chose : on parle à la table d’un Grand d’une cour du Nord, il prend la parole, et l’ôte à ceux qui allaient dire ce qu’ils en savent ; il 5 s’oriente dans cette région lointaine comme s’il en était originaire ;

le considérer comme n'importe quel objet du monde extérieur. Il est à la fois même que moi mais différent de moi. Il est ce par rapport à quoi je cherche à me différencier pour m'affirmer. Devoir = pression sociale, respect, valeurs, normes, obligations, restrictions de ma liberté devoir // contrainte car contrainte → nécessité absolue devoir → obligation, on est invité à obéir pour servir notre intérêt mais on peut choisir d'enfreindre la règle et d'assumer les conséquences. Si je

comique. a. Le comique de la double énonciationLe procédé de double énonciation permet au lecteur d’en savoir plus que les personnages sur scène. Ce procédé rend le stratagème savoureux car le lecteur est complice du personnage qui expose sa manœuvre. Ex : I,2 « projet ». Le spectateur peut rire de la duplicité du personnage. b. Les quiproquo, ressort comique du théâtre. Stratagèmes donnent lieu à des quiproquos -> figure de Marton comme objet du stratagème organisé par M. Rémy (I,4). Ce même quiproquo

comment il réagirait soumis à ses pulsions instinctives, sans aucun respect de la morale ni des valeurs inculquées par l'éducation. Ce serait un homme sans artifices qui obéirait à son cerveau reptilien. C'est aussi une exploitation des conséquences engendrées par ce comportement. Nous allons donc analyser cette assertion en nous référant au Dom Juan de Molière pour montrer qu'il agit contrairement à la morale et qu'il ne respecte ni l'autorité ni la foi à l'instar d'un homme non civilisé. (147 mots)

L ’Étranger peut être défini comme un roman philosophique, même si aucun système de pensée n’y est explicitement exprimé. Mais à travers le personnage de Meursault, plus com- plexe qu’il n’y paraît, Albert Camus nous présente sa conception du monde en 1942. L ’auteur lui-même a insisté sur cet aspect dans la préface à la première édition américaine du romant : « J’ai résumé l’Étranger , il y a très longtemps, par une phrase dont je reconnais qu’elle est très paradoxale : dans notre société