L Homme N Est Rien Sans Les Autre

«Ce qui résulte d'un accord réciproque, d'une règle acceptée (et non de la nature). Ce qui est admis par un accord tacite. (Le Robert) Mais alors la morale est-elle une convention sociale ? Ici, le problème est de savoir si l’obligation morale n’est rien d’autre qu’une obligation sociale — n’étant alors jamais qu’une obligation parmi d’autres, relative à une société donnée, et donc jamais absolue —, ou si l’obligation morale est au contraire irréductible à l’obligation sociale, — relevant alors d’un

pouvoir aux choses profanes et particulièrement à l’homme, quand celui-ci n’est qu’un homme et n’a, par lui-même, rien de sacré. On se le représente, en effet, comme occupant, par rapport à elles, une situation inférieure et dépendante ; et cette représentation n’est certainement pas sans vérité. Seulement, il n’y a rien là qui soit vraiment caractéristique du sacré. Il ne suffit pas qu’une chose soit subordonnée à une autre pour que la seconde soit sacrée par rapport à la première. Les esclaves dépendent

reproduction ou encore leur hibernation (pour certains). Nous, les humains, n'aimons pas le changement ni quiconque qui pourrait perturber notre vie et, par conséquent, fragiliser nos mesures qui nous amèneront à notre but. Ce dernier change d'homme à homme. Certains préfèrent organiser leur vie en fonction de leur carrière pour laquelle ils ont donné tant d'années, d'autres s'appliquent pour que leur famille s'épanouisse dans le meilleur des mondes, et d'autres s'efforcent tout simplement de s'intégrer

et une partie du Finistère, nous arrivions à Douanez ; de la, en une étape, on gagna la sauvage pointe du Raz par la baie des Trépassés…». De plus, le jeune garçon n’a pas eu d’éducation alors le propriétaire de l’hôtel dit qu’il que c’est un bon à rien. Dans cette époque, lorsque tu n’avais pas la chance d’avoir une éducation poussé tu n’allais pas loin dans la vie. Lorsque des mots tel que : «larve d’écurie, hideusement sale, (…)»c’est que les gens qu’il côtois ne le considère vraiment pas comme

que vous sortez si vite? 1 MADAME PERNELLE C'est que je ne puis voir tout ce ménage-ci, Et que de me complaire, on ne prend nul souci. Oui, je sors de chez vous fort mal édifiée; 10 Dans toutes mes leçons, j'y suis contrariée ; On n'y respecte rien; chacun y parle haut, Et c'est, tout justement, la cour du roi Pétaut1. DORINE Si… MADAME PERNELLE Vous êtes, mamie, une fille suivante Un peu trop forte en gueule, et fort impertinente: 15 Vous vous mêlez sur tout de dire votre avis. DAMIS Mais…

actes que j’ai pu commettre. Je ne suis pas un homme de confiance, Pauline. Je suis sombre et je suis mêlée à bien trop de chose, comme vous l’avez découvert, pour être digne de vous. Pourtant, vous devez croire en ma parole. Il y a une chose qui ne changera jamais, qui a toujours était la pure vérité. Je vous aime. Vous êtes la seule femme que je n’ai jamais aimée. J’espérais vraiment que votre présence m’aiderait à changer. Mais, voyez vous, un homme est lié à son passé. Et le mien est bien trop

SGANARELLE, GUSMAN. SGANARELLE, tenant une tabatière.- Quoi que puisse dire Aristote, et toute la philosophie, il n’est rien d’égal au tabac, c’est la passion des honnêtes gens ; et qui vit sans tabac, n’est pas digne de vivre ; non seulement il réjouit, et purge les cerveaux humains, mais encore il instruit les âmes à la vertu, et l’on apprend avec lui à devenir honnête homme. Ne voyez-vous pas bien dès qu’on en prend, de quelle manière obligeante on en use avec tout le monde, et comme on est ravi

qu’il se connaît misérable. Un arbre ne se connaît pas misérable. C’est donc être misérable que de se connaître misérable ; mais c’est être grand que de connaître qu’on est misérable. Pensée fait la grandeur de l’homme. Je puis bien concevoir un homme sans mains, pieds, tête (car ce n’est que l’expérience qui nous apprend que la tête est plus nécessaire que les pieds). Mais je ne puis concevoir l’homme sans pensée : ce serait une pierre ou une brute. […] L’homme n’est qu’un roseau, le plus faible

et percevoir : c'est le propre du sujet. Une chose percu résiste à cette analyse. Autrui est à la fois sujet et objet CAD il est un objet que je ne peux pas reduire à son statut d'objet. Il est à la fois un alter ego ( un autre moi) et en meme temps un ego alter ( un moi autre que moi). D'où l'ambyvalence des relations humaines. D'un coté la tentation de réduire l'autre à l'état de chose ou de moyen, de l'exploiter → à l'état d'objet , de le « posséder » → propriété : esclavage / physique : viol

Socrate était quand même un séducteur de jeunes gens, Au point que beaucoup de personne qui vont l’admirer vont suivre sont ‘mode de vie’.Ce physique donné a Socrate est important puisque l’on dit de Socrate qu’il est laid mais on dit aussi d’un autre coté qu’il a une ‘intériorité rayonnante’ puisqu’il a énormément de qualité comme son courage ‘invincible’, une assurance parfaite. Il y a donc en Socrate, une opposition entre La laideur et la beauté, on dit que c’est une antithèse radicale opposant