L'Homme de la rue

L'homme marchait à travers les rues froides et sombres de Madrid, des rues longues et labyrinthiques. L'homme, nommé Robert qui semblait avoir environ soixante-dix-huit ans, mais en réalité, avait quatre-vingt-six ans, marchait dans une nuit froide de Noël, le vieil homme pouvait sentir le doux parfum des châtaignes grillées, qui émané le marché de la grand rue. L’homme était grand avec un physique excellent y un visage harmonieux. Il était parfaitement conservé, sans problème pour se déplacer ni

couvent rue de Picpus. 1824 : Jean Valjean, sauvé par le vieux jardinier du couvent, qui lui est redevable de la vie à l'époque où il était monsieur Madeleine, se fait passer pour son frère Ultime Fauchelevent, grand-père de Cosette, et devient second jardinier du couvent. Quant à Cosette, elle devient pensionnaire du pensionnat adjoint au couvent. 1832 : Jean Valjean habite maintenant une maison rue Plumet, mais il loue par prudence deux appartements modestes rue de l'Ouest et rue de l'Homme-Armé.

à la fin de l'histoire Wang-Fô et son disciple montent dans une barque puis disparaît dans le tableau que Wang-Fô a peint. Apparition C comme cheveux : - Parce que la femme demande à l'homme de peigner ses cheveux. D comme disparition : - Parce que à la fin de l'histoire la police ne trouve ni l'homme ni la femme donc ils ont clôturé l'enquête. F comme fantôme : - Parce que le personnage principal ne sait pas si la femme est un fantôme ou réellement vivante. M comme maison : - Parce que

comme de la flanelle. Il tenait dans sa main droite une canne à pommeau sculpté qui le distinguait des autres de hommes faisant partie de la bourgeoisie. C'était un homme de la haute bourgeoisie, il vivait dans un appartement en plein cœur de Paris rue Rivoli en dessus de la grande chocolaterie Parisienne. Il avait un air timide et semblait contrarié. Il avait un visage corpulent et mélancolique, ses cheveux étaient bruns, longs et ébouriffés, il portait un regard soucieux autour de lui, comme s'il

dans un maillage régulier, arborescent, elle fait partie de l’évidence de la ville à tel point, que le plan de cette dernière se confond avec le plan de ses rues. La rue s’organise en 03 catégories : la chaussée, le trottoir et le stationnement (l’urbanisme moderne à ignorer cette relation) cette mixité devra être retrouvée. La rue et le découpage parcellaire de part et d’autre forment la base de l’édification de la ville, leur projection doit se faire ensemble (tout en instaurant des relations entre

famille en guenilles qu’il déteste la femme qu’il a aimé seulement à cause de sa manque d’empathie pour eux. L’homme contraste le café avec la famille dans la rue en disant que le café est tout nouveau, brillant, et prétentieux mais la famille est sale, épuisée et affligée avec une soif d’avoir une vraie vie sans les contraints de sa station. Le narrateur décrit l’homme pauvre comme « brave » ; l’homme pauvre est en guenilles mais il y a une fortitude de persévérance dans ses yeux, les yeux qui disent « Que

(homonymie). Gavroche à 11 ans Dessin de Victor Hugo (encre et lavis, 1850) Gavroche Illustration d'Émile Bayard Éléphant de la Bastille servant d'abri à Gavroche Illustration par Gustave Brion Gavroche et ses frères (Les Garçons de la rue) Œuvre d'Antonio Sciortino Jardin public Il-Barrakka ta' Fuq La Valette (Malte) Gavroche récupère les cartouches Illustration de Pierre Georges Jeanniot (1887) « Navet, l'ami à Gavroche »1 Dessin de Victor Hugo (encre et lavis) Gavroche

couru à nouveau avec Anya à la recherche de Steph. J'ai espéré avec Anton pour Marie. J'ai encore couru avec Gorgio à la recherche d'une ambulance. J'ai couru avec Steph à la recherche de Marie.Touchée par une balle perdue, Marie s'effondre dans la rue déserte d'une ville ravagée par la guerre alors qu'elle tentait de rejoindre son amoureux, Steph. De leurs retrouvailles dépend la confirmation de leur amour enfin avouée. A l'agonie, Marie ne pense qu'à lui transmettre ce message de confirmation. Andrée

où elle rencontre Marius, petit fils d'un royaliste, fils d'un bonapartiste, qui choisit son camp à 17 ans, quitte son grand-père et fréquente les amis de l'ABC, groupe de révolutionnaires idéalistes, et côtoie la misère. Il habite dans l’immeuble, rue Gorbeau, dans un appartement mitoyen de celui d’un certain Jondrette et de sa famille. Les deux jeunes gens tombent éperdument amoureux l’un de l’autre. Jean Valjean, devenu un riche bienfaiteur, souhait venir en aide à la famille des pauvres, qui ne

suivi d’un nom et d’un participe passé à 3 reprises, contribue à donner un rythme ternaire et scandé à cet extrait.   Extrait Page 19 (…) Tout le monde la méprise la rue Paille. C’est là que la jeunesse du bourg se débauche. C’est là surtout que la mer déverse ses immondices, ses chats morts et ses chiens crevés. Car la rue débouche sur la plage, et la plage ne suffit pas à la rage écumante de la mer. Une détresse cette plage elle aussi, avec ses tas d’ordures pourrissant, ses croupes furtives